Fondation par les frères Sconditi de l'hôpital de l'Annonciade à Naples, en Campanie, voué à l'accueil des enfants trouvés[4].
Une maison-Dieu, « qualifiée prieuré ou aumônerie » et dont la fondation est peut-être antérieure à 1250, est attestée à Aixe, en Limousin, au bas du faubourg d'Outre-Vienne[5].
Première mention de l'hôpital Saint-Martin-du-Pont à Rouen, en Normandie[6].
Personnalités
Fl. Richard Leclerc, médecin au Tertre-Saint-Laurent à Angers[7].
Vers 1304-1310 : fl. Pierre d'Encre, médecin de Mahaut, comtesse d'Artois[7].
Publication
Maynus et Johannes de Planis collaborent à la traduction de l'hébreu en latin des Canones qui debent considerari in dandis medicinis laxativis (« Règles d'emploi des médicaments laxatifs ») d'Averroès[7].
Naissance
Hua Shou (mort en 1381), médecin chinois[9], auteur du Shi Si Jing Fa Hui (vers 1341) et du Nanjing Benyi (1361).
↑Frédéric Gingins de la Sarraz, Développement de l'indépendance du Haut-Valais et conquête du Bas-Valais (paru dans les tomes III et IV de la Revue de la Société générale suisse d'histoire), , 76 p. (lire en ligne), p. 75.
↑Micheline Rapine, « L'Hôtel-Dieu de Château-Thierry au Grand Siècle », Mémoires de la Fédération des sociétés d'histoire et d'archéologie de l'Aisne, vol. 30, , p. 11 (lire en ligne).
↑Steven Le Guellec, « L'Hôtel-Dieu de Château-Thierry : La Construction d'une idée patrimoniale », In Situ, , § 3 (lire en ligne, consulté le ).
↑Dictionnaire historique et géographique portatif de l'Italie, vol. 1, Paris, Lacombe, (lire en ligne), p. 573.
↑André Lecler, Dictionnaire historique et géographique de la Haute-Vienne, Limoges, Archives départementales de la Haute-Vienne, (1re éd. 1902-1909) (lire en ligne), p. 12.
↑Thérèse Eude, « Le Prieuré Sainte-Madeleine de l'hôtel-Dieu de Rouen » (séance du 30 mars 1985), Groupe Histoire des hôpitaux de Rouen, CHU de Rouen (lire en ligne), p. 2.
↑ ab et cErnest Wickersheimer et Guy Beaujouan (éd.), Dictionnaire biographique des médecins en France au Moyen Âge, vol. 2, Genève, Droz, coll. « Hautes études médiévales et modernes » (no 34/2), (1re éd. 1936) (ISBN978-2-600-04716-6, lire en ligne), « Richard Leclerc », p. 694 et 702, « Pierre d'Encre », p. 631, « Maynus », p. 533.
↑Éric Marié, Le Diagnostic par les pouls en Chine et en Europe : Une histoire de la sphygmologie des origines au XVIIIe siècle, Paris, Springer-Verlag France, coll. « Médecines d'Asie : Savoirs et pratiques », , 469 p. (ISBN978-2-8178-0009-7, lire en ligne), « Sphygmologie du Nanjing », p. 105, n. 8.
↑Heinrich Graetz (trad. Lazare Wogue et Moïse Bloch), Histoire des Juifs, vol. 4, A. Lévy, (lire sur Wikisource), « Progrès de la bigoterie et de la Cabale (1270-1325) », p. 241.