L'hôpital Saint-Georges (St. George's Hospital) est attesté à Bodmin en Cornouailles[4].
Les statuts de l'université de Bologne, en y autorisant officiellement les dissections qui s'y pratiquent en fait depuis longtemps, limitent le nombre des étudiants qui y assistent à vingt ou à trente, selon qu'il s'agit d'un homme ou d'une femme, le second cas étant plus rare[5].
La citoyenneté romaine est accordée à Elijah di Sabbato, médecin juif que les papes Martin V et Eugène IV prendront à leur service[6].
1405-1406 : fondation de l'Officium pietatis pauperum de Milan, composé de clercs et de laïcs chargés d'organiser l'assistance aux pauvres et leur placement dans les hospices[7],[8].
Publications
Rédaction à Erfurt d'un Tractatus de peste sananda ad rectores Erfodenses[9].
↑(en) Katharine Park, « The Criminal and the Saintly Body : Autopsy and Dissection in Renaissance Italy », Renaissance Quaterly, vol. 47, no 1, , p. 15 (lire en ligne).
↑Caroline Giron-Panel, Gilles Bertrand (dir.) et Giovanni Morelli (dir.), À l'origine des conservatoires : Le Modèle des ospedali de Venise (XVIe – XVIIe siècles) (thèse pour le doctorat d'histoire, soutenue le 30 octobre 2010), Université de Grenoble, école doctorale « Sciences de l'homme, du politique et du territoire » et université Ca' Foscari de Venise, Scuola di Dottorato « Scienze umanistiche », , 678 p. (lire en ligne), p. 70, n. 2.
↑Nicolas Weill-Parot, « La Rationalité médicale à l'épreuve de la peste : Médecine, Astrologie et Magie (1348-1500) », Médiévales, no 46 « Éthique et pratiques médicales », , § 27, n. 36 de l'édition numérique (lire en ligne).
↑Guillaume l'Anglais et Laurence Moulinier-Brogi (éd. et trad.), Guillaume l'Anglais le frondeur de l'uroscopie médiévale (XIIIe s.) : Édition commentée et traduction du De urina non visa, Paris, Droz, coll. « Hautes études médiévales et modernes » (no 101), , 304 p. (ISBN978-2-600-01363-5, présentation en ligne).