Année possible de la fondation de la léproserie Saint-Barthélemy de Douvres, dans le comté de Kent, au Sud-Est de l'Angleterre, « par un propriétaire terrien, pour deux de ses frères et pour les chanoines lépreux du prieuré augustin voisin[4] ».
↑Jean Ogéeet al., Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, t. 2, Rennes, Molliex, (1re éd. 1778-1780), 986-[4] (lire en ligne), p. 580.
↑(it) Ludovico Antonio Muratori, Giosuè Carducci (éd.) et al., Rerum Italicarum scriptores : Raccolta degli storici italiani dal cinquecento al millecinquecento, vol. 12, Bologne, Nicola Zanichelli, (1re éd. 1728) (lire en ligne), p. 609 et 658.
↑Monique Perrogon (ill. M. A. Pilard), Promenade… au pays du temps jadis : Entre Charente et Arnoult, Foucher, , 195 p. (lire en ligne), Geay : Le Port de l'Hôpiteau, p. 60.
↑Bruno Tabuteau, « La Lèpre dans l'Angleterre médiévale : À propos d’un livre récent [compte rendu, référence : (en) Carole Rawcliffe, Leprosy in Medieval England, Woodbridge, The Boydell Press, , XIII-421 p., 1 vol. in-8° (ISBN978-1-84383-454-0)] », Revue belge de philologie et d'histoire, vol. 87, no 2, , p. 402 (lire en ligne).
↑ ab et cErnest Wickersheimer et Guy Beaujouan (éd.), Dictionnaire biographique des médecins en France au Moyen Âge, vol. 1, Genève, Droz, coll. « Hautes études médiévales et modernes » (no 34/1), (1re éd. 1936) (ISBN978-2-600-04664-0, lire en ligne), « Adalbert de Sarrebruck », p. 5, « Baudouin », p. 64, « Arnaud », p. 41.
↑ a et bAndré Finot, « Les Médecins des rois capétiens », Histoire des sciences médicales, vol. 7, no 3, , « Dultianus », p. 235, « Salomon », p. 234 (lire en ligne).
↑Meyer A. Halévy, « Contribution à la proto-histoire de la médecine montpelliéraine : Ibn-Zabarra et les relations hispano-languedociennes au XIIe siècle », dans Gad Freudenthal et Samuel Kottek (dir.), Mélanges d'histoire de la médecine hébraïque : Études choisies de la Revue d'histoire de la médecine hébraïque (1948-1985), Leyde, Brill, coll. « Études sur le judaïsme médiéval » (no 24), , 591 p. (ISBN90-04-12522-1, lire en ligne), p. 104.
↑Dan Scher, Juda Halevi, penseur de Sion, Panama, fondation Matanel, , 33 p. (lire en ligne).
↑Julien Weill, « Un poète juif du XIIe siècle : Juda Halévi » (conférence faite à la Société des études juives le 10 mai 1899), Revue des études juives, vol. 38, no 76, , p. LXV-XCIII (lire en ligne).