Jean Ferrier II, archevêque d'Arles« décide la fermeture des trente-deux établissements charitables de la ville et leur regroupement en un seul, au centre de la cité », acte qui peut être considéré comme fondateur de l'hôtel-Dieu, dont la construction ne commencera qu'en [2].
Première édition, parue en latin, à Bâle chez Michael Isingrin, de l'Herbier[6] de Leonhart Fuchs ; la deuxième, en allemand, sortira des mêmes presses l'année suivante [7].
Jean Fernel publie le De naturali parte medicinae, première ébauche de sa Physiologia[8].
Jacobus Sylvius, De medicamentorum simplicium delectu, à Paris, chez Jacques Gazeau[9].
↑Jacqueline Vons, Le Médecin, les Institutions, le Roi : Médecine et politique aux XVIe et XVIIe siècles, 1re partie : Docteurs et lecteurs royaux en médecine, Paris, Cour de France, (lire en ligne), « Les Premiers Lecteurs royaux en médecine », p. 10.
↑« Espace Van-Gogh (ancien hôtel-Dieu) », Arles patrimoine, Ville d'Arles, s. d. [lire en ligne (page consultée le 7 mars 2021)].
↑Marie-Philippe Scheurer et Jérôme Raimbault, « Notice Mérimée : Hôpital, maison », dans Plateforme ouverte du patrimoine, ministère de la Culture, (lire en ligne).
↑« Hôpital de Ribeauvillé : Historique », sur le site de l'établissement (Jean-Claude Hess (éd.)), 2020 [lire en ligne (page consultée le 7 mars 2021)].
↑Guy de Chauliac (trad. Jean Canappe), Le Guidon en français, nouvellement revu, et au vrai corrigé par maître Jehan Canappe, Paris, Jehan Longis, (lire en ligne).
↑(la) Leonhart Fuchs, De historia stirpium commentarii insignes, maximis impensis et vigiliis elaborati […], Leonharto Fuchsio, medico hac nostra aetate longe clarissimo, autore, [etc.], Basileae [à Bâle], in officina Isingriniana [chez [Michael] Isengrin], anno Christi M.D.XLII [l'an du Christ 1542] (lire en ligne).
↑Ariane Lepilliet, Le De historia stirpium de Leonhart Fuchs : Histoire d'un succès éditorial (1542-1560) (mémoire de master, sous la direction de Raphaële Mouren), Université Lumière-Lyon II, , 115 p. (lire en ligne), p. 97.
↑Jean-François Cordier, « Jean Fernel et l'Esprit humaniste », Bulletin de l'Académie nationale de médecine, vol. 195, no 6, , p. 1399-1407 (lire en ligne).
↑(la) Jacobus Sylvius, De medicamentorum simplicium delectu, praeparationibus, mistionis modo, libre tres, Jacobo Sylvio medico authore, Parisiis [à Paris], per Jacobum Gasellum [chez Jacques Gazeau], (lire en ligne).
↑Nicolas Éloy, Dictionnaire historique de la médecine, contenant son origine, ses progrès [etc.], t. 1, Liège, J. F. Bassompierre, (lire en ligne), « Capiton (Wolfgang-Fabrice) », p. 215.
↑Jacqueline Vons, « Les « Anatomies » d’André Vésale (1514-1564) », dans Élisabeth Gavoille (dir.) et François Guillaumont (dir.), Conflits et polémiques dans l’épistolaire, nouvelle édition [en ligne], Tours, Presses universitaires François-Rabelais, , 542 p. (ISBN978-2-86906-565-9, lire en ligne), p. 397-408 [§ 2 en ligne].
↑(it) Augusto De Ferrari, « Corti, Matteo », dans Dizionario biografico degli Italiani, vol. 29, Istituto Treccani, (lire en ligne).