Vers 1364-1368 : Maynus de Maynis[4],[5] (né à une date inconnue), astrologue et médecin français, maître régent à la faculté de médecine de Paris, médecin des Visconti, auteur d'un « Régime de santé » (Regimen sanitatis Magninus Mediolanensis[6]) et d'un « Traité des eaux artificielles » (De aquis artificialibus[7]).
Après 1368[8] (ou en 1369[9]) : Ibn Hatima (né vers 1300[9]), poète et médecin arabo-andalou, auteur du Taḥṣīl ġaraḍ al-qāṣid fī tafṣīl al-maraḍ al-wāfid (« Réponse à la demande de qui désire étudier la maladie venue d'ailleurs »), important témoignage sur la peste noire en Espagne musulmane[8].
Références
↑Jean-Luc Collart, « Les Léproseries en Vermandois », dans Mémoires, vol. 16 : Histoire de la lèpre et des maladreries de l'Aisne, Fédération des Sociétés d'histoire et d'archéologie de l'Aisne, (lire en ligne), p. 41.
↑« Azerbaïdjan : Manuscrits du Moyen Âge relatifs à la médecine et à la pharmacie (formulaire de proposition d'inscription. REF : 2004-3) », dans Registre mémoire du monde, Unesco, (lire en ligne).
↑(en) Farid Alakbarli, Medical Manuscripts of Azerbaijian, Bakou, HAF, (lire en ligne).
↑Maynus de Maynis et Denise Hillard (éd. sci.), Traité des eaux artificielles ou Vertus des eaux et des herbes : Le texte, ses sources et ses éditions, Genève, Librairie Droz, coll. « Cahiers d'Humanisme et Renaissance » (no 102), , 569 p. (ISBN978-2-600-01520-2, SUDOC159244145).
↑Simon de Phares et Jean-Patrice Boudet (éd.), Le Recueil des plus célèbres astrologues de Simon de Phares : Edité pour la Société de l'histoire de France, t. 1 : Edition critique, Paris, librairie Honoré-Champion, , 607 p. (lire en ligne), p. 502.
↑ a et bAbū Ǧa'far al-Anṣārī et Suzanne Gigandet (éd.), La Grande Peste en Espagne musulmane au XIVe siècle : Le Récit d'un contemporain de la pandémie du XIVe siècle, Damas, Presses de l'Institut français du Proche-Orient (Ifpo), , 116 p. (ISBN978-2-35159-313-4, présentation en ligne), p. 1.
↑ a et b« Ibn H̱ātimaẗ, Aḥmad ibn ʿAlī (1300?-1369) » (BNF16520279).