1394-1418 : fl. Jean Mernen, originaire de Saint-Malo, bachelier en médecine à Montpellier ; sa présence est attestée à la cour de Bretagne de 1404 à 1418 et à celle de Bourgogne en 1412[4].
Jean Le Lièvre (né à une date inconnue), professeur de médecine à Paris, médecin de Louis Ier, duc d'Orléans, puis de son fils Charles, et auteur d'un traité sur la saignée[13].
Références
↑Louis Dulieu, « À propos des statuts des chirurgiens barbiers de Montpellier : Les Statuts des rois de Majorque », Histoire des sciences médicales, vol. 26, no 1, , p. 64 (lire en ligne).
↑(en) « Sultan Al-Muayyad Hospital », World Monuments Fund, s. d. [lire en ligne (page consultée le 31 janvier 2018)].
↑(en) Marek Słoń, « Hospitals in the City of Lwów », Acta Poloniae Historica, vol. 75, , p. 21 (lire en ligne).
↑ a et bLaurie Baveye Kouidrat et Bertrand Schnerb (dir.), Exercer la médecine en milieu princier au XVe siècle : L'Exemple de la cour de Bourgogne (1363-1482), vol. 3 : Catalogue prosopographique des praticiens de la cour de Bourgogne (v.1363-v.1482) (thèse de doctorat en histoire soutenue le 27 mars 2015), Université Charles-de-Gaulle - Lille III, (lire en ligne), « Nicolas Joliette », p. 271, « Jean Mernen », p. 367.
↑Thierry Grandmougin, Catherine Bourdet et Jean-Marc Gurruchaga, « De la danse de Saint-Guy à la chorée de Huntington : Rappels sur l'émergence d'un concept médical », Histoire de la médecine et des sciences, vol. 13, nos 6-7, , p. 851 (lire en ligne).
↑Albert Ohl des Marais, « Le Culte des pierres dans la région vosgienne », Bulletin de la Société philomatique vosgienne, vol. 63, , p. 111 (lire en ligne).
↑Alain Bouchet, « Les « Leçons d'anatomie » françaises au cours des siècles », Histoire des sciences médicales, vol. 37, no 3, , p. 371 (lire en ligne).
↑La Médecine arabe dans l'Algérie médiévale, Alger, Fondation nationale pour la promotion de la santé et le développement de la recherche, (lire en ligne).
↑Ernest Wickersheimer, « Le Traité de la saignée de Jehan Le Lièvre, maître régent en la faculté de médecine de Paris († 1418) », dans Mélanges offerts à M. Émile Picot, membre de l'Institut, par ses amis et élèves, t. 1, Paris, Damascène Morgand, (lire en ligne), p. 11-19.