Cet article présente les faits marquants de l'année 1480 en santé et médecine.
Événements
L'expérience est tentée à Tours, « en présence du maire, des échevins et des élus de la ville », d'un poison administré à un chien, des effets duquel sept barbiers et chirurgiens sont chargés de rendre compte au roi Louis XI[1].
Construction de l'hôpital Saint-Louis de France à Rome[2].
Après 1480 : Rolando de' Capelluti (né vers 1430), médecin parmesan, fils de Rinaldo Capelluti, également médecin, auteur de divers traités, sur la peste, sur l'otite, sur la profession de médecin[14].
Références
↑Alessandro Pastore, « Médecine légale et investigation judiciaire : Expérimenter le poison sur les animaux en Italie à l'époque moderne », Revue d'histoire des sciences humaines, vol. 22, no 1, , § 12 (lire en ligne).
↑Jérôme Lalande, Voyage d'un Français en Italie, fait dans les années 1765 et 1766, t. 4, Yverdon, F. B. de Félice, , 560 p. (lire en ligne), p. 83.
↑Louis de Backer, Recherches historiques sur la ville de Bergues, en Flandre, Bruges, Vandecasteele-Werbrouck, (lire en ligne), p. 187.
↑Mémoires de la Société d'émulation de Cambrai : Séance publique du 16 août 1825, Cambrai, chez S. Berthoud, (lire en ligne), p. 170.
↑Pascal Montaubin (dir.), Hôpitaux et maladreries au Moyen Âge : Espace et environnement (actes du colloque international d'Amiens-Beauvais, 22-24 novembre 2002), publications du Cahmer, coll. « Histoire médiévale et archéologie » (no 17), , 362 p. (lire en ligne), p. 306.
↑Wilhelm Fleischer, Dictionnaire de bibliographie française, vol. 2 : Ap-Bh, Paris, Bureau de bibliographie française, , 630 p. (lire en ligne), p. 141.
↑Pierre Franco et Édouard Nicaise (éd.), Chirurgie, Paris, Félix Alcan, , 384 p. (lire en ligne), p. XXII-XXIII.
↑Nicolas Éloy, Dictionnaire historique de la médecine ancienne et moderne, t. 3 : L-P, Mons, H. Hoyois, , 648 p. (lire en ligne), « Planeri (Jean) », p. 582.
↑Nicolas Éloy, Dictionnaire historique de la médecine ancienne et moderne, t. 1 : A-C, Mons, H. Hoyois, , 750 p. (lire en ligne), « Adriani (Matthieu) », p. 38.
↑André Finot, « Les Médecins des premiers Valois (fin) », Histoire des sciences médicales, vol. 12, no 2, , p. 122 (lire en ligne).