Cet article présente les faits marquants de l'année 1159 en santé et médecine.
Fondations
Probablement au début de 1159 : fondation, par le roi Henri II, de l'hospice ou prieuré de Hornchurch, dans le comté d'Essex, seule dépendance en Angleterre de l'hospice savoyard Saint-Nicolas et Saint-Bernard de Montjoux[1].
-1159 : fl. Bremond, l'un des « deux premiers médecins narbonnais connus [avec Raoul (-)], l'un et l'autre parmi les plus proches d'Ermengarde, vicomtesse de Narbonne[5] ».
Vers 1159- : fl. Fortius, qui enseignerait la médecine à Montpellier[3].
1159- : fl. Anselme, médecin qui figure dans des chartes concernant l'abbaye de Bonnevaux, peut-être le même que le « maître Anselme » qui est cité en dans un acte de Lambert d'Allevard, évêque de Maurienne[6].
Références
↑(en) « Alien Houses : Hospital or Priory of Hornchurch », dans William Page (dir.) et J. Horace Round (dir.), A History of the County of Essex, vol. 2, Londres, Victoria County History, (lire en ligne), p. 195-196.
↑Félix de Salles, Annales de l'ordre de Malte ou des hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, chevaliers de Rhodes et de Malte [etc.], Vienne, impr. Saint-Norbert, , cité dans Jack Bocar, « Le Grand-Prieuré de Bohême-Autriche (1183-1886) », Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, s. d. [lire en ligne (page consultée le 14 novembre 2018)].
↑ a et bErnest Wickersheimer et Guy Beaujouan (éd.), Dictionnaire biographique des médecins en France au Moyen Âge, vol. 1, Genève, Droz, coll. « Hautes études médiévales et modernes » (no 34/1), (1re éd. 1936) (ISBN978-2-600-04664-0, lire en ligne), « Guillaume », p. 220, « Fortius », p. 150.
↑Jacqueline Caille, « Recherches sur les « professions médicales » à Narbonne du XIIe au XVe siècle (médecins, chirurgiens, barbiers, apothicaires) », Acta historica et archaeologica mediaevalia, vol. 26, , p. 224 (lire en ligne).