Vers 1268 : le Livre des métiers d'Étienne Boileau, prévôt de Paris, soumet au même régime les « ciriers », les « poivriers » et les « apothicaires », mais il ne dit rien des « herbiers », « pourtant distingués des apothicaires par les maîtres en médecine en et mentionnés parmi les taillables en [4] ».
Publication
Guillaume de Salicet (-c.) achève la première version de sa Chirurgie, dont la dernière ne sera rédigée qu'en 1275[5].
1268- : fl. Bertrand, médecin, mort en au plus tard, cité dans les testaments du doyen de Montbrison et de Pierre, chevalier de Marcilly, et peut-être identifiable à Bertrand de Cossat, père d'un juge du Forez[8].
Décès
1267 ou 1268 : Ibn al-Lubudi (né en 1210 ou 1211), médecin, mathématicien, astronome et philosophe arabe originaire d'Alep, auteur du Recueil de discussions sur cinquante questions de psychologie et de médecine[9].
Références
↑Pierre Labrude, « Les Difficultés de la Pharmacie du cerf de Strasbourg », Revue d'histoire de la pharmacie, vol. 88, no 327, , p. 412 (lire en ligne).
↑« Rhinau. Hôpital de Johannites Saint-Barthélemy », dans Histoire de l'art, sur un site du CRDP de Strasbourg, s. d. [lire en ligne (page consultée le 19 octobre 2019)].
↑Anselme de Sainte-Marie et Honoré Caille du Fourny, Histoire généalogique et chronologique de la maison royale de France [etc.], t. 1 : Contenant la maison royale de France, Paris, Compagnie des libraires, , 3e éd., 806 p. (lire en ligne), p. 545.
↑Danielle Jacquart, « Médecine et pharmacie à Paris au XIIIe siècle », Comptes rendus des séances de l'Académie des inscriptions et belles-lettres, vol. 150, no 2, , p. 1008 (lire en ligne).
↑Marilyn Nicoud, Les Régimes de santé au Moyen Âge : Naissance et diffusion d’une écriture médicale en Italie et en France (XIIIe – XVe siècle), École française de Rome, coll. « Bibliothèque des Écoles françaises d'Athènes et de Rome », , 1112 p., 2 vol., 4 pl. coul. (présentation en ligne).
↑ ab et cErnest Wickersheimer et Guy Beaujouan (éd.), Dictionnaire biographique des médecins en France au Moyen Âge, vol. 1, Genève, Droz, coll. « Hautes études médiévales et modernes » (no 34/1), (1re éd. 1936) (ISBN978-2-600-04664-0, lire en ligne), « Clément », p. 102, « Girard », p. 202, « Jacques », p. 318.
↑ a et bErnest Wickersheimer et Guy Beaujouan (éd.), Dictionnaire biographique des médecins en France au Moyen Âge, vol. 2, Genève, Droz, coll. « Hautes études médiévales et modernes » (no 34/2), (1re éd. 1936) (ISBN978-2-600-04716-6, lire en ligne), « Mathieu », p. 543, « Salvagnus », p. 730.