Cet article présente les faits marquants de l'année 1184 en santé et médecine.
Fondations
Pierre d'Amiens, seigneur de Flixecourt, Vignacourt et autres lieux, donne un fief situé entre Vaux et Flesselles, acte qui peut être tenu pour fondateur de l'hôpital Saint-Jean d'Amiens[1],[2].
Gilles de Portugal ou de Santarem (mort en 1245 au plus tôt), dominicain, prieur provincial d'Espagne, étudia la médecine à Paris, auteur d'une traduction latine de Rhazès et d'au moins un autre ouvrage à caractère médical[9].
↑Louis Doüet d'Arcq, « Victor de Beauvillé, Recueil de documents inédits concernant la Picardie, Paris, impr. impériale, 1860 compte rendu », Bibliothèque de l'école des chartes, vol. 22, , p. 291 (lire en ligne).
↑Jehan Sauval, « Saint-Leu : Hôtel-Dieu », Amiens hier et aujourd'hui : Histoire de notre ville, [lire en ligne] (source : archives municipales d'Amiens).
↑Charles Moiset, « L'Ancienne Maladrerie de Saint-Florentin », Annuaire historique du département de l'Yonne, vol. 39 (14e de la 2e série), , p. 191 (lire en ligne).
↑Nicolas-Michel Troche, « Notice sur l'ancien hôpital de Sainte-Catherine, primitivement de Sainte-Opportune, rue Saint-Denis, no 72, à Paris », Revue archéologique, vol. 19, no 2, , p. 432-439 (lire en ligne).
↑Jean Cheymol, « L'Hôpital Sainte-Catherine à Paris (1181-1794) », Histoire des sciences médicales, vol. 16, no 4, , p. 239-261 (lire en ligne).
↑« Sainte-Catherine (1184-an II) », blog de l'Assistance publique - Hôpitaux de Paris, [lire en ligne (page consultée le 18 avril 2020)].
↑Pierre Astier, L'Hôtel-Dieu de Lyon et le Département du Rhône, Lyon, impr. de P. Legendre et Cie, , 294 p. (lire en ligne), p. 39.
↑Eliakim Carmoly, Histoire des médecins juifs anciens et modernes, t. 1, Bruxelles, Société encyclographique des sciences médicales, , 272 p. (lire en ligne), p. 56.