Cet article présente les faits marquants de l'année 1152 en santé et médecine.
Fondations
Une maison d'asile pour les pèlerins de Saint-Jacques est attestée à Vendôme et serait à l'origine de l'actuel centre hospitalier[1].
Mentionné pour la première fois, l'hôpital San Pietro in Senna, près de Lodi en Lombardie, est décrit comme un établissement déjà ancien et bien établi[2].
Les statuts donnés par Pierre II, évêque de Rodez, à l'hôpital d'Aubrac, « prévoient que tout ce qu'un malade désire doit lui être procuré [...] sauf ce qui pourrait lui être nuisible[5] ».
« La maladrerie d'Amiens semble sous l'administration des échevins », indice des « restrictions apportées à l'autorité [des évêques] sur les hôpitaux dès le XIIIe et même le XIIe [siècle] par les seigneurs ou les organisations communales[6] ».
↑(it) Giuseppina Coscarella et Franca Cecilia Franchi, La grancia di Cuna in Val d'Arbia : Un esempio di fattoria fortificata medievale, Salimbeni, coll. « Collana di studi storico-territoriali » (no 8), , 70 p. (lire en ligne), p. 17.
↑« Abbaye Saint-Gilbert de Neuffontaines », sur le site de l'Observatoire du patrimoine religieux, s. d. [lire en ligne (page consultée le 28 septembre 2020)].
↑(it) Carlo Pioppi, « Il servizio della carità nella storia della chiesa : Tra creatività e adeguamento ai mutamenti sociali », dans Jesús Miñambres (dir.), Diritto canonico e servizio della carità, Giuffrè Editore, coll. « Pontifica Università della Santa Croce / Monografie giuridiche » (no 33), , XV-540 p. (ISBN978-88-14-14091-4, lire en ligne), p. 125.
↑Paul Hildenfinger, « Les Maisons-Dieu et léproseries du diocèse de Paris au milieu du XIVe siècle, d'après le registre de visites du délégué de l'évêque, par Léon Le Grand [compte rendu] », Bibliothèque de l'École des chartes, vol. 61, , p. 214 (lire en ligne).