Vers 1165 ou en - : Al Idrissi (né vers ), géographe, botaniste et médecin arabe, auteur d'une importante pharmacopée mentionnée sous divers titres, dont celui de Kitāb al-Jāmiʿ li-ṣifāt aštāt al-nabāt wa ḍurūb anwāʿ al-mufradāt (« Livre des propriétés de diverses plantes et remèdes variés »), où les noms sont donnés en plusieurs langues, dont le syriaque, le grec, le persan, le hindi, le latin ou le berbère[5].
1165 ou [6] (ou [7]) : Abraham ibn Ezra (né en ou [6] (ou ou [7]), rabbin espagnol, philosophe, astronome, poète, médecin, philologue et cabaliste, auteur de nombreux ouvrages, dont un d'astrologie médicale, Sefer ha-Me'orot, traduit en latin sous le titre De luminaribus et diebus criticis, « le seul qui ait rapport à la médecine », et qui sera imprimé pour la première fois à Lyon en [6].
↑Anne-Laure Huet, « L'Hôtel-Dieu, un hôpital millénaire au cœur de Paris », Histoire des hôpitaux parisiens, Le Blog Gallica, [lire en ligne].
↑Isabelle Pignot (dir.), « En maison-Dieu », Meursault (21) : Rapport final d'opération archéologique : Fouille préventive, vol. 1 : Résultats scientifiques, service régional de l'Archéologie de Bourgogne, (lire en ligne), p. 68.
↑Jean Fournée, « Les Chanoines réguliers dans l'ancien diocèse de Bayeux », Cahiers des Annales de Normandie, no 23 « Recueil d'études en hommage à Lucien Musset », , p. 264 (lire en ligne).
↑(en) Elma Brenner, Leprosy and Charity in Medieval Rouen, Woodbridge, The Boydell Press, coll. « Royal Historical Society Studies in History, nouvelle série » (no 93), , 203 p. (ISBN978-0-86193-339-6, lire en ligne), « Introduction », p. 9.
↑Anneliese Nef, « Al-Idrīsī : Un complément d’enquête biographique », dans Henri Bresc (dir.) et Emmanuelle Tixier du Mesnil (dir.), Géographes et voyageurs au Moyen Âge, Nanterre, Presses universitaires de Paris Nanterre, , 274 p. (ISBN978-2-84016-066-3, lire en ligne), § 27, § 13 (n. 26) et § 18 (n. 31).
↑ ab et cAntoine Jacques Louis Jourdan, Biographie médicale, t. 1 : A -Bar, Paris, C. L. F. Panckoucke, coll. « Dictionnaire des sciences médicales », , 608 p. (lire en ligne), p. 12-13.
↑Jacqueline Caille, « Recherches sur les « professions médicales » à Narbonne du XIIe au XVe siècle (médecins, chirurgiens, barbiers, apothicaires) », Acta historica et archaeologica mediaevalia, vol. 26, , p. 224 (lire en ligne).