Cristobal Acosta publie à Burgos son « Traité des drogues et remèdes des Indes orientales » (Tractado de las drogas y medicinas de las Indias orientales[2]), « version corrigée et augmentée, basée sur ses propres observations[3] » des Coloquios dos simples () de Garcia de Orta[4].
↑ ab et cDidier Kahn, Alchimie et paracelsisme en France à la fin de la Renaissance : 1567-1625, Paris, Librairie Droz, , 806 p. (ISBN978-2-600-00688-0, présentation en ligne), chap. 3.3. : « Pleins feux sur le paracelsisme en France : Le Procès de Roch Le Baillif (1578-1580) », p. 278-322 et chap. 3.4. : « Propagation, extension, dissémination (1579-1594) », p. 324
↑(es) Cristobal Acosta, Tractado de las drogas y medicinas de las Indias orientales, con sus plantas debuxadas al bivo por Christoval Acosta, medico y cirujano, que las vio ocularmente, en el qual se verifica mucho de lo que escrivio el doctor Garcia de Orta, en Burgos [à Burgos], por Martin de Victoria, impressor de su Magestad [par Martin de Victoria, imprimeur de Sa Majesté], m. d. lxxviii [1578] (lire en ligne).
↑« A new text based on his own observations […] that corrected and enlarged Orta's book. »
↑(en) Francisco Bethencourt, « European Expansion and the New Order of Knowledge », dans John Jeffries Martin, The Renaissance World, New York, Routledge, , 728 p. (ISBN978-0-415-33259-0, lire en ligne), p. 131.
↑Roch Le Baillif, Le Demosterion de Roch Le Baillif Edelphe, medecin spagiric, auquel sont contenuz trois cens aphorismes latins et françois, sommaire veritable de la médecine paracelsique, extraicte de luy en la plus part, par ledict Baillif, Rennes, Pierre le Bret, (lire en ligne).
↑(la) Julien Le Paulmier, Jul[iani] Palmarii Constantini, medici Parisiensis, De morbis contagiosis libri septem, Parisiis [à Paris], apud Dionysium Du-Val [chez Denis Duval], (lire en ligne).
↑« Li Shizhen, 1518-1593 », sur classes.bnf.fr, Bibliothèque nationale de France (consulté le ).
↑(en) Roger French, « Harvey, William (1578–1657), physician and discoverer of the circulation of the blood », Oxford Dictionary of National Biography, Oxford University Press, (DOI10.1093/ref:odnb/12531, lire en ligne, consulté le ).
↑« Cornelius Gemma (1535-1579) », sur Data BnF [lire en ligne (page consultée le 25 février 2021)].
↑(en) Steven Vanden Broecke, « (en) Hiro Hirai (dir.), Cornelius Gemma : Cosmology, Medicine, and Natural Philosophy in Renaissance Louvain, Pise, Fabrizio Serra, coll. « Bruniana & Campanelliana : Ricerche filosofiche e materiali storico-testuali » (no 24), , 153 p. [compte rendu] », Isis, vol. 102, no 3, , p. 158 et suiv. (présentation en ligne).