Deuxième édition[5], sous le titre de Trésor des remèdes secrets pour les maladies des femmes[6], des Trois livres appartenant aux infirmitez et maladies des femmes[7] (), de Jean Liébault (-).
↑Jacques Guillemeau, Traité des maladies de l’œil qui sont en nombre de cent treize, ausquelles il est suject, Paris, Charles Massé, , 198 p. (lire en ligne).
↑Volker Mecking, Le Premier Traité des maladies de l’œil en langue française de Jacques Guillemeau (Paris 1585), Hal SHS, , 146 p. (lire en ligne).
↑(de) Samuel Eisenmenger, Cyclopaedia Paracelsica Christiana : Drey Bücher von dem waren ursprung und herkommen der freyen Künsten, 69 p. (lire en ligne).
↑(de) Stefan Rhein, « Die Cyclopoedia Paracelsica Christiana und ihr Herausgeber Samuel Siderocrates : Enzyklopädie als anti-humanistische Kamprfschrift », dans F. M. Eybl, W. Harms et alii (dir.), Enzyklopädien der frühen Neuzeit. Beiträge zu ihrer Erforschung, Tübingen, Max Niemeyer Verlag, (présentation en ligne), p. 81-97.
↑Valérie Worth-Stylianou, Les Traités d'obstétrique en langue française au seuil de la modernité : Bibliographie critique des « Divers travaux » d'Euchaire Rösslin (1536) à l'« Apologie de Louyse Bourgeois sage femme » (1627), Genève, Droz, (ISBN978-2-600-01134-1, lire en ligne), p. 268.
↑Jean Liébault, Thresor des remedes secrets pour les maladies des femmes, pris du Latin & faict François, Paris, Jacques du Puys, , 924 p. (lire en ligne).
↑Jean Liébault, Trois livres appartenant aux infirmitez et maladies des femmes, pris du Latin de M. Jean Liebaut, docteur medecin à Paris, & faicts François, Paris, chez Jacques du Puys, m. d. lxxxii [1582] (lire en ligne)
↑Didier Schaller, « Jean Prévôt », dans Dictionnaire historique de la Suisse, (lire en ligne).
↑(en) Richard S. Westfall (comp.), « Brozek, Jan [Broscius, Brocki, Broski, Broszcz, Brzoski, Zbroek] », dans The Galileo Project, Houston, université Rice, s. d. (lire en ligne).
↑(pl) Andrzej Pelczar, « O Janie Brożku », Comptes rendus de la commission de l'histoire des sciences de l'Académie polonaise des arts et sciences, vol. 10, , p. 41-82 (lire en ligne) (traduction anglaise partielle, par Peter K. Gessner, sur Info Poland, université de Buffalo et université Jagellonne [lire en ligne (page consultée le 12 mai 2021)].
↑Jacob Schmutz, « [Eisenmeger, Samuel] », dans Scholasticon, (lire en ligne).