Du Pecq à Saint-Germain-en-Laye et à la forêt de Saint-Germain, elle a été déclassée en RD 284 après avoir, dans un premier temps, été renumérotée RN 184C puis RN 284.
De la forêt de Saint-Germain au viaduc de Conflans, elle suivait le tracé actuel. Ensuite, elle traversait Conflans-Sainte-Honorine pour rejoindre Saint-Ouen-l'Aumône. Cette dernière section porte maintenant le nom de RD 984.
Les communes traversées, les échangeurs routiers et autoroutiers et les principaux attraits qu'on peut trouver en empruntant cette route (liste non exhaustive) sont listés ci-dessous.
De Conflans-Sainte-Honorine à Saint-Ouen-l'Aumône (D 984)
Autrefois, aucun pont n'existait à Conflans-Sainte-Honorine[1]: un bac était situé près des actuels pont et passerelle Saint-Nicolas à la pointe est de l'ancienne île du Bac dont le quai du Bac à Achères conserve le souvenir. Un premier pont traversant la Seine fut construit à l'emplacement de ce bac pour relier la ville au Parc agricole d'Achères en lisière septentrionale de la forêt de Saint-Germain-en-Laye : cette zone était en fait constituée de deux îles (l'île de Devant et l'île d'en Haut)[2]. Après la construction du nouveau pont en 1975 (viaduc de Conflans), ce premier pont fut réservé aux piétons et aux cyclistes puis détruit et remplacé en 1985 par la passerelle piétons-cycles Saint-Nicolas à proximité de celui de l'actuelle RN 184. La rue qui prolongeait ce pont et l'actuelle passerelle aux sentiers forestiers s'appelle toujours Avenue de Saint-Germain-en-Laye.
Avant 1975, la RD 984 reliait donc en réalité le centre de Conflans-Sainte-Honorine (actuelle rue Maurice Berteaux qui permet de descendre vers les quais et le bac) à Saint-Ouen-l'Aumône :
↑voir cartes IGN TOP25 couvrant cette zone comme la 2313OT ou la 2214ET.
↑cette voie s'appelait autrefois Route Nationale, c'est elle-même une route nouvelle, qui a supplanté les rue Bernardin de Saint-Pierre et rue de Saint-Ouen.
↑la partie basse de cette avenue a été remaniée, lorsque l'A 15 fut construite ainsi que le passage à niveau supprimé.
↑L’Écho du Val d’Oise du 5 juin 2009. Les voleurs coupaient les câbles des candélabres dont la tension atteint 5 000 V ; ils ont été pris en flagrant délit sur l'A 1. La seule autoroute A 15 a été délestée de 25 000 mètres de câble. Le coût de remise en état, évalué à plusieurs centaines de milliers d'euros ajouté à la consommation électrique d'environ 5 millions d'euros par an, laisse présager que pour des questions d'économie, l'éclairage ne soit jamais remis sur ces axes.