Pour un article plus général, voir Histoire de la Guadeloupe.
Cet article rend une chronologie de la Guadeloupe.
Voir aussi : Amérindiens des Antilles
1 Sommelier de fruiterie office de la maison du roi Le titulaire de cet office pourvoyait la table de fruits de cire de bougie (La Curne de Sainte Palaye, Dict.) 2 Date en blanc 3 Les propriétaires devaient être remboursés par la compagnie des Indes occidentales 4 Date en blanc. Documents relatifs à la marine normande 1889 p19 C.et P.Bréard
En sont membres : (Mirabeau, Condorcet, Brissot, Lavoisier, l'abbé Grégoire, Pétion, Lacépède, Lescallier, ...).
Parmi les combattants de leur liberté, l'histoire a retenu :
Note : Le signe "+" indique ceux qui ont été tués, exécutés ou qui se sont suicidés.
Les négociations n’aboutissent pas. Une rencontre est programmée pour le vendredi 26 à la chambre de commerce entre le syndicat CGTG et le patronat emmené par Brizard. Les ouvriers demandaient 2 % d’augmentation. Les négociations échouèrent encore. La situation dégénéra. La foule, massée devant la CCI se révolta. Des CRS arrivèrent. Une émeute éclata. Coups de crosse de fusil, pierres, gaz lacrymogène, bouteilles, conques de lambi sont échangés. Les CRS font feux de leurs armes. L’une des premières victimes fut Jacques Nestor, militant du GONG,[réf. nécessaire] très populaire à Pointe-à-Pitre. Il y eut d'autres tués parmi lesquels Pince-maille et Taret. Rapidement, les affrontements s’étendent à toute la ville. Jusqu’à récemment, les services officiels du gouvernement français faisaient seulement état de huit morts. Le nombre exact de morts resta secret jusqu'en 1985 secret, lorsque Georges Lemoine, secrétaire d’Etat à la France d’Outre-mer, révéla qu'il y eut au moins 87 tués[9]. Les jours qui suivirent donnèrent lieu à une vague d’arrestations, notamment parmi les militants du GONG, qui furent emprisonnés, inculpés et envoyés en métropole pour atteinte à l'intégrité du territoire national, ils seront relaxés par la cour.