Après des débuts au cinéma en Angleterre notamment dans le film Blow-Up de Michelangelo Antonioni, elle entame une carrière en France où elle rencontre Serge Gainsbourg, avec qui elle tourne Slogan de Pierre Grimblat. Très vite, ils forment un couple à la ville. Elle débute dans la chanson avec l'auteur-compositeur-interprète en 1969. La même année, leur duo sur la chanson Je t'aime… moi non plus, devient un succès international, atteint la première place au Royaume-Uni et est l'objet d'un scandale retentissant. Gainsbourg lui écrit de nombreuses chansons, cela même après leur séparation.
Elle poursuit parallèlement sa carrière d'actrice, tourne avec Jacques Deray, Roger Vadim, Michel Deville et est au milieu des années 1970, une comédienne reconnue du grand public en jouant dans des comédies populaires de Claude Zidi puis de Michel Audiard, sans négliger pour autant le cinéma d'auteur.
À la fin des années 1980, elle donne une série de concerts pour la première fois à Paris, en interprétant le répertoire que Gainsbourg a écrit pour elle. Elle se produit alors régulièrement sur scène.
Le , Jane Birkin, âgée de 8 ans, remet un bouquet de fleurs à la reineÉlisabeth II qui visite l’usine de dentelle de son oncle, le lieutenant-colonel Birkin, à Nottingham et s'en explique : « Ma marraine était la fille de Winston Churchill et mon parrain, le plus grand couturier de Londres. Mon père connaissait Churchill par sa famille. Il venait d’une famille à moitié aristocratique, à moitié dans la dentelle. Or, le truc de la reine d’Angleterre, c’était de visiter des endroits plutôt barbants, notamment les usines de dentelle. On m’a donc mise là parce que mon oncle n’avait pas d’enfant. J’étais la seule fille qui pouvait présenter un bouquet à la Reine. » Elle rencontre la reine à trois autres reprises, en 1978, pour la présentation du film Mort sur le Nil, le pour l'avant-première du film Meurtre au soleil et lors du centenaire de l'Entente cordiale France-Royaume-Uni, en 2004[8].
Dans le film d'Agnès VardaJane B. par Agnès V., Jane Birkin raconte que, quand elle était enfant à l'internat, sur l'île de Wight, elle était appelée par son numéro de chambre : « Ninety-Nine » (soit 99). L'actrice préférée de Jane Birkin est probablement Marilyn Monroe, comme elle le dit dans le film.
Elle épouse le compositeur anglais John Barry[11], auteur de la musique de plusieurs films de la série James Bond, du thème de Le Knack... et comment l'avoir ou de la série télévisée Amicalement vôtre ; ils ont une fille en 1967, Kate Barry[12]. Ils divorcent peu après.
Elle se rend en France, pour tenter sa chance comme actrice. Engagée après des essais désastreux pour le film Slogan de Pierre Grimblat, elle rencontre sur le tournage Serge Gainsbourg, auteur-compositeur-interprète, qui y joue quelques scènes, en plus d'être l'auteur de la bande originale[13]. Ils se mettent en couple qui dure dix ans, dont naît une fille, Charlotte Gainsbourg, en 1971[14].
Elle fait une pause dans sa carrière de 1971 à 1972, à la suite de la naissance de Charlotte. Elle joue l'amante de Brigitte Bardot dans Don Juan ou si Don Juan était une femme de Roger Vadim, en 1973. En 1975, elle tient un des rôles principaux du premier film que Serge Gainsbourg réalise, Je t'aime moi non plus, dont le scénario, évoquant l’ambiguïté sexuelle et la sodomie, attire l'attention et suscite le scandale.
En , elle quitte Serge Gainsbourg. Plusieurs raisons sont avancées pour expliquer cette décision : l'alcool, le mode de vie et, même, des coups qu'elle a reçus – reconnus par Serge Gainsbourg lui-même (aveu qu'il fait à sa première femme)[15]. Après cette rupture, elle est, de 1980 à 1992, la compagne du réalisateur Jacques Doillon, avec lequel elle a une fille, Lou Doillon. Sa dernière relation publique connue (de 1995 à 2000) est avec l'auteur Olivier Rolin[16].
En , Jane Birkin perd, à quelques jours d'intervalle, Serge Gainsbourg (mort le )[17] et son père David Birkin[18] (mort le à 77 ans, le jour des obsèques de Serge Gainsbourg).
Un ou deux ans après la mort de son père, elle achète une maison à Lannilis entre l'Aber-Wrac'h et l'Aber-Benoît dans le Finistère, où elle confie le lien sentimental qui la lie à cet endroit : « J'apprends qu'une maison donnant sur une plage des Abers est à vendre. Cette maison donne sur une plage d’où mon père participait à évacuer vers l’Angleterre des aviateurs anglais, américains et canadiens. Mon père passait les nuits sans lune pour embarquer et ramasser les soldats alliés au pied des bunkers allemands »[19].
Serge Gainsbourg a été son Pygmalion dans le domaine musical[20],[21],[22] la propulsant au sommet des palmarès musicaux internationaux en 1969 avec le sulfureux Je t'aime… moi non plus, initialement écrit pour et enregistré avec Brigitte Bardot. La chanson est jugée obscène par le journal du Vatican, L'Osservatore Romano. Ce succès de scandale marque durablement les esprits (voir la reprise par Bourvil et Jacqueline Maillan). En 2000 une édition collector vinyle du titre Je t'aime… moi non plus, remixé par Eiffel 65, voit le jour. Un album intitulé Serge Gainsbourg – Jane Birkin suit en 1969. La voix enfantine et frêle de la chanteuse, parfois proche d'un simple souffle, son accent anglais prononcé, la rendent immédiatement reconnaissable. Cette création marque le début d'une longue collaboration qui va aboutir à une œuvre originale pour la variété française. Plusieurs albums de Jane Birkin, composés par Serge Gainsbourg ou constitués de reprises de ses chansons, ont été certifiés Disque d'or, dont Baby Alone in Babylone (1983) et Arabesque (2002). Durant les années 1970 et 1980, Jane Birkin enchaîne les albums studio (sept de 1969 à 1990) et les prestations télévisées, notamment dans les émissions de Maritie et Gilbert Carpentier. En , à quarante ans, elle fait ses débuts sur scène au Bataclan.
Après une série de concerts au Casino de Paris, Jane Birkin enregistre deux albums, où elle reprend les chansons de Serge Gainsbourg (celles qu'il lui a écrites pour elle, ou pour d'autres : Versions Jane (1996, album studio) et Arabesque (2002, album live) ; sur le premier interviennent des personnalités connues dans le milieu comme Jean-Claude Vannier et Goran Bregović. Elle devient ainsi l'ambassadrice de l'œuvre de Gainsbourg et donne des concerts à travers le monde, de Tokyo à New York en passant par Israël. La série de concerts d’Arabesque rencontre un succès certain et propose une version orientalisée de sa musique.
En , Birkin publie le premier album, dont elle a écrit tous les textes, Enfants d'hiver. Certains textes ont été écrits sept ans auparavant, avant la tournée Arabesque ; d'autres ont été écrits pendant le tournage de son film Boxes ; d'autres encore deux mois plus tôt. Le disque a une tonalité autobiographique. Jane a commencé à écrire à l'âge de douze ans, en rédigeant son carnet intime à l'internat. Elle aura mis 40 ans à sortir tout un album constitué de ses propres textes[23],[24].
En 2009, elle ré-enregistre les Dessous chics, en duo avec Étienne Daho, chanson extraite de l'album Daho Pleyel Paris. En 2010, elle interprète Roissy en duo avec Florent Marchet sur le dernier album de celui-ci Courchevel. En 2011, elle participe au sein du Collectif Paris-Africa à la chanson Des ricochets.
En , Jane Birkin, devait donner onze concerts au mois de juillet en France, Belgique, Allemagne, Italie, Espagne et Suisse — où elle devait participer au festival de Montreux —, annule sa tournée en raison d'une péricardite aiguë suivie de récidives multiples[25]. Sa tournée de 23 dates est reportée à 2013 : « L'artiste n’a pas retrouvé l’énergie nécessaire à une série importante de spectacles. […] Elle doit continuer à se reposer, à reprendre des forces jusqu’à la fin de l'année[26]. »
Elle annule une série de concerts prévus en septembre à la Philharmonie de Paris : une prestation de Birkin / Gainsbourg Le Symphonique, ainsi qu'un spectacle avec Étienne Daho[30] en raison d'un accident vasculaire cérébral[31].
Dans les années 1980, elle revient au cinéma d'auteur, naguère amorcé par Le Mouton enragé (1974) de Michel Deville, à partir de sa rencontre avec Jacques Doillon et du film La Fille prodigue. En dépit de son échec commercial, le film permet à l'artiste de faire ses preuves dans des rôles sombres. Elle commente cette évolution un quart de siècle plus tard () : « C’était la première fois qu’une personne tournant des films dits intellectuels pensait à moi. Jacques Doillon était un réalisateur de films qui n’était pas intéressé à me voir sans mes vêtements. Il m’a dit : « Je vous veux boutonnée jusqu’au cou, je veux savoir ce qui se passe dans votre tête, et je veux que vous fassiez une crise de nerfs ». J’ai donc fait La fille prodigue et dès lors, j’ai été considérée comme une actrice sérieuse en France, et des réalisateurs comme Jacques Rivette, Agnès Varda ou Jean-Luc Godard m’ont sollicitée, alors qu’avant j’étais une vedette populaire, mais avec rien dans la tête »[32]. En mars 2021, dans l'émission Hep Taxi ! elle confie toujours à propos de ce film : « La fille prodigue, c'est une merveille ce film, et cela passe jamais, et j'espère que si je casse ma pipe, qu'ils vont quand même montrer cela, même à dix heures du soir, même à minuit, parce que Piccoli et moi, on est magistral dedans »[33].
Le , dans une interview au Parisien elle évoque la disparition de la reine d'Angleterre et pour elle-même déclare : « Je suis sur pied et je vais bien » et « Je ne suis pourtant pas morte », s'étonnant avec humour qu'on la célèbre toujours[35].
Comme de nombreux artistes, Jane Birkin a été approchée par des marques, afin de vendre son image pour diverses publicités[36], touchant tous types de médias et supports. Pour la marque Woolite, Serge Gainsbourg réalise trois publicités destinées à la télévision. En 1976, il met en scène Jane Birkin sur des paroles et une mélodie qu'il signe également. Mais le résultat commercial est mitigé et Serge Gainsbourg déclare « Jane a littéralement vampirisé le produit »[37].
En 1977, pour la marque de jean's Lee Cooper, elle apparaît dans une série de spots publicitaires, diffusés dans la presse. Lors d'une interview pour la revue L'Express, Jane Birkin déclare son attrait pour ce type de pantalons[38] : « J'aime piocher dans les jeans, les pantalons, les chemises d'homme, j'ai l'impression d'être plus jolie que déguisée en fille[…] Quelqu'un a fabriqué dans les années 1970 des « Jeans Birkin », je n'étais même pas au courant[…] En 1979 pour le parfum « Men de Mennen », l'actrice et chanteuse apparaît en duo avec Serge Gainsbourg, dans une publicité sonore composée par ce dernier et diffusée à la radio à partir du [39]. À cette période, Gainsbourg a posé pour la marque Bayard et en 1981, Jane Birkin déclare à son tour le slogan : « C'est vrai, la Woolmark et Bayard, ça vous change un homme ».
En 2006, le parfum L’Air de rien de Miller Harris créé par Lyn Harris(en) est lancé tout spécialement pour Jane Birkin[40]. Elle en fait la promotion dans une publicité. Sur le flacon et son emballage ainsi que sur les autres produits dérivés, Jane Birkin pose sa signature avec un dessin de fleurs et de nymphes qu’elle a personnellement exécuté. En 2011, pour les lunettes Krys, Jane Birkin tourne sous la direction de Patrice Leconte pour une série publicitaire intitulée Le casting aux côtés d'Alain Delon, Michel Blanc, Frédéric Beigbeder et Frédérique Bel[41], mettant en avant leurs petits travers ou complexes[42].
Sac Birkin
En 1981, le directeur général d'Hermès, Jean-Louis Dumas, est assis à côté de Birkin sur un vol Paris-Londres. Elle se plaint (sans savoir qui il est) de son sac qui n'est pas adapté à la vie moderne, notamment les week-ends. Il lui apprend alors son identité réelle et il lui propose de lui dessiner le type de sac, qui lui conviendrait le mieux, avec des poches[43]. Ainsi en 1984, la marque crée un sac en cuir noir, spécialement pour elle, le sac Birkin, basé sur un dessin de 1982. Le succès est immédiat, jusqu'à devenir une icône pour la marque. En , un exemplaire de ce sac, le Diamond Birkin 35 en crocodile porosus fuchsia brillant, devient le sac Hermès le plus cher du monde, en étant adjugé pour 202 000 euros lors d'une vente aux enchères organisée par Christie's à Hong Kong[44],[45]. En , à la suite de la révélation par l'association de défense des animaux PeTA des conditions de vie et d'abattage des alligators servant à la fabrication de la version en peau de « crocodile » du modèle portant son nom, elle demande « à la Maison Hermès de débaptiser le Birkin Croco jusqu'à ce que de meilleures pratiques répondant aux normes internationales puissent être mises en place pour la fabrication de ce sac »[46].
Mort
Le , Jane Birkin fait sa dernière apparition publique, en béquille, au mariage de son petit-fils Ben Attal. Elle souffre de problèmes respiratoires. Son auxiliaire de vie la découvre morte, assise sur un fauteuil le [47], à son domicile parisien, au 50, rue d'Assas[48]. Jane Birkin a succombé à l'âge de 76 ans à un nouvel accident vasculaire cérébral[49].
Dans un communiqué au lendemain de son décès, ses filles Charlotte Gainsbourg et Lou Doillon évoquent « 16 ans d'une bataille acharnée contre la maladie » et les circonstances de son décès : « Depuis quelques jours, elle marchait de nouveau, était motivée de reprogrammer son Olympia et avait décidé de reprendre son indépendance. Ce premier soir seule, aura été le dernier. Elle l'avait décidé »[50].
Elle s'engage auprès du mouvement LGBT. En 1995, elle participe à une marche avec l'association AIDES en solidarité avec les victimes de l'épidémie de sida et pour alerter les pouvoirs publics[58]. Quelques années plus tard, elle prend position en faveur de l'adoption et participe à une manifestation en faveur du mariage pour tous en décembre 2012[58],[59].
Lors de la médiatisation de la persécution des personnes LGBT en Tchétchénie et dans le Donbass en 2017, elle participe à la soirée de soutien « Urgence Tchétchénie » au Palace à Paris[58]. Elle se montre solidaire de ce mouvement sur les réseaux sociaux[60].
Elle s'engage contre l’extrême droite, participant aux défilés dénonçant la présence de Jean-Marie Le Pen au second tour de la présidentielle de 2002 ainsi qu'à un concert en 2017, contre Marine Le Pen[57].
Depuis 1999, elle soutient Aung San Suu Kyi et le peuple birman. En 2007, elle écrit et interprète une chanson, plaidoirie pour le combat que mène l'opposante à la junte au pouvoir pour la démocratie en Birmanie. Amnesty International s'associe à elle pour diffuser sa chanson intitulée Aung San Suu Kyi sur une musique de Franck Eulry[62]. Par la suite, elle reste très active. En 2009, elle lance une campagne de boycott de la compagnie française Total pour faire cesser ses investissements en Birmanie[63].
En avril 2011, peu après l'accident nucléaire de Fukushima, elle se rend au Japon pour un concert de soutien aux sinistrés et recueillir des dons. Elle effectue une nouvelle visite sur place en 2013, donnant un concert à Matsushima, près de Fukushima[64].
Note : (SG) désigne les albums écrits et composés par Serge Gainsbourg pour Jane Birkin. D'autres enregistrements contiennent des titres signés Gainsbourg, conçus après la mort de celui-ci.
2020 : The Best Of, coffret 3 CD incluant des titres de tous les albums de Jane jusqu'au Symphonique
2022: 1969-2022 Coffret, la toute première intégrale de Jane Birkin présentée sous la forme d’un luxueux livre d’art de 18CD + 1 DVD. Ce coffret regroupe l’intégralité des enregistrements de Jane Birkin de 1969 à 2022.
2004 : Route Manset, album hommage à Gérard Manset, réédition de l'album publié en 1996, incluant Si tout était faux (chanson figurant sur A la Légère)
2006 : Dépression au-dessus du jardin en duo avec Rodolphe Burger, sur l'album Hommage à Serge Gainsbourg de Burger et Meteor Band (concert donné dans le cadre du 6ème Festival C’est dans la Vallée au Temple Réformé de Sainte-Marie-aux-Mines)
un Timbre poste des Comores, collection "Célébrités françaises" (2009) de 300F.C. design de P. Puvilland[74].
Publications
Gabrielle Crawford et Jane Birkin, Pièces attachées, Éditions Fetjaine, 2013
Jane Birkin, Munkey Diaries - Journal 1957-1982 (extraits choisis, traduits de l'anglais, commentés et annotés par Jane Birkin entre 2016 et 2018), Fayard, 2018 (ISBN2213701474)
Jane Birkin, Post-scriptum : le journal intime de Jane Birkin (1982-2013) (extraits choisis, traduits de l'anglais, commentés et annotés par Jane Birkin), Fayard, 2019 (ISBN978-2213711997)
Préfaces
Charlotte Gainsbourg, Livre de photographie accompagnant le Comblo Blu-ray-Dvd du documentaire Jane by Charlotte, jour2fête, (EAN354-5020079775)
↑(qui récupéra des aviateurs britanniques et des résistants français sur les côtes bretonnes durant la Seconde Guerre mondiale avant de les rapatrier au Royaume-Uni Véronique Mortaigne, « Ce que Serge doit à Jane », Vanity Fair, no 40, , p. 86-95).
↑« Jane Birkin : ma Bretagne », CNews Matin, (lire en ligne)
↑Valérie Domain, « Jane Birkin, si fière d’avoir aimé John Barry. La star salue la mémoire de son ex-mari. », Gala.fr, (lire en ligne, consulté le )
↑plus tard connue en tant que photographe, elle meurt le 11 décembre 2013
↑Grimblat raconte qu'au début du tournage, Birkin et Gainsbourg ne s'entendaient pas du tout (Gainsbourg sortait de sa relation avec Brigitte Bardot et n'appréciait pas trop cette Anglaise qui faisait des fautes de français) et qu'il les a invités à dîner au restaurant Maxim's, dîner auquel il n'est pas allé
↑« Jane Birkin & Serge Gainsbourg : à la vie, à l'amour - Gala », Gala.fr, (lire en ligne, consulté le )
↑[1] Elise Poiret, « Claque, cigarette écrasée sur la peau... Jane Birkin raconte ses violentes disputes avec Serge Gainsbourg », Femme actuelle, 4 octobre 2018.
↑« Jane Birkin & Serge Gainsbourg : à la vie, à l'amour - Gala », Gala.fr, (lire en ligne, consulté le )
↑Prisma Média, « Jane Birkin: encore fragile, mais soutenue par ses filles Charlotte Gainsbourg et Lou Doillon - Gala », Gala.fr, (lire en ligne, consulté le )
↑« Le plus grand défi de l’histoire de l’humanité : l’appel de 200 personnalités pour sauver la planète », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
↑2009, Canal + annonce la diffusion d'une série de clips contre l'homophobie avec celui réunissant entre autres Jane Birkin, Yvan Le Bolloc’h, Victoria Abril