Elle est traversée par la rivière l'Orge, alimentée à la limite de la commune d'Arpajon par la Rémarde et sur son territoire par plusieurs ruisseaux ; rive gauche, certaines cartes référencent le Fossé de la Grande vidange, autrefois appelé ru de Chanteloup, descendant du lieu-dit Chanteloup et qui afflue au lieu-dit La Boisselle; rive droite, certaines cartes indiquent Ruisseau du Parc descendant du lieu-dit La Bretonnière.
La rivière se sépare en deux dans le parc de la Mairie avant de confluer à nouveau (dérivation dite boëlle) et forme ainsi une petite île.
Plus en aval, elle donne naissance à la Grande Boëlle (parfois appelée la Boëlle de Leuville) qui conflue sur le territoire de la commune de Leuville-sur-Orge.
Une station de mesure hydrométrique était implantée dans la commune.
Relief et géologie
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Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 646 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Brétigny-sur-Orge à 4 km à vol d'oiseau[16], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 628,9 mm[17],[18]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[19].
Statistiques 1991-2020 et records BRETIGNY_SAPC (91) - alt : 78m, lat : 48°36'01"N, lon : 2°19'33"E Records établis sur la période du 01-02-1947 au 03-12-2023
Source : « Fiche 91103001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base
Voies de communication et transports
Le premier axe de communication fut routier par la voie de Paris à Orléans devenue la route nationale 20. Après la Révolution française, la constitution du département de Seine-et-Oise privilégia la route départementale 152 menant à la sous-préfecture de Corbeil, en passant par Brétigny-sur-Orge. Aujourd'hui Saint-Germain-lès-Arpajon bénéficie du maillage routier de la commune d'Arpajon, les deux communes étant pour partie imbriquées.
Les lieux-dits historiques sont le Centre, La Petite-Folie et la Grande-Folie (sur la route nationale 20), la Bretonnière (gare RER), ainsi que La Boisselle et Fourcon (avec leur moulin) en bordure de l'Orge, les Prés de Gournay, Chanteloup (avec son château et son parc).
Il existe une curiosité dans le quartier des Folies, le chemin de la Grâce-de-Dieu, outre son nom unique en France, a trois particularités : ce chemin, orienté est-ouest, est coupé par la RN 20 qui interdit la communication entre les deux parties ainsi séparées. La partie ouest est partagée entre Linas, au nord et Saint-Germain-lès-Arpajon au sud et, de ce fait, la numérotation dans cette section ne se compose que de nombres pairs des deux côtés de la voie, provoquant un véritable casse-tête pour les livreurs.
D'autres noms de quartiers sont apparus à la faveur de l'urbanisation pavillonnaire.
La municipalité a divisé le territoire en trois quartiers, animés par un conseil de quartier : Saint-Eutrope, Les Folies et La Bretonnière[20].
Urbanisme
Typologie
Au , Saint-Germain-lès-Arpajon est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[21].
Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[22],[23]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[23]. Cette aire regroupe 1 929 communes[24],[25].
Toponymie
L'origine du nom du lieu est peu connue. La commune fut appelée Sanctus Germanus[26], Germain-lès-Châtres et Germinal-sur-Orge durant la Révolution, elle fut créée en 1793 sous son nom actuel[27]. Son nom composé de Saint-Germain, lès qui signifie près de et d'Arpajon, indique qu'elle est située tout près d'Arpajon.
Histoire
Antiquité : le lieu, sans doute occupé depuis la fin de l'époque gauloise, révèle des bâtiments d'époque gallo-romaine découverts lors de fouilles au centre ville[28]. Un énorme trésor de monnaies de bronze du IIIe siècle, environ trente-quatre mille monnaies, avait été découvert fortuitement en 2008[29]. La découverte a fait l'objet d'une publication de la Bibliothèque nationale de France en 2020[30].
Dépendance de la châtellenie de Montlhéry au XIIIe siècle. Seigneurie des Graville au XVIe siècle, des Noailles au XVIIIe siècle.
Corbinien y fonda une communauté religieuse au VIIe siècle qui servit de point de développement à l'agglomération.
Au XIIIe siècle Saint-Germain fut une dépendance de la châtellenie de Montlhéry.
Au XVIe siècle, la commune devient seigneurie des Graville.
Au XVIIIe siècle, ce furent les Noailles qui en firent leur seigneurie.
Jusqu'en 1720, la ville s'appelait Saint-Germain-lès-Châtres. Elle a pris son nom actuel à la suite de l'acquisition de la commune de Châtres par Louis de Séverac, marquis d'Arpajon-sur-Cère.
Un ancien couvent était dédié à saint Eutrope : il aurait été fondé par Jeanne de Navarre, épouse du roi Philippe le Bel, qui avaient tous les deux une dévotion particulière pour saint Eutrope[31]. Le couvent et l'hôpital attenant restèrent en fonction jusqu'à la Révolution française.
Des années 1920 aux années 1960, des réfugiés politiques géorgiens — chassés de leur pays par l'Armée rouge — s'établirent route de Leuville, au total une dizaine de familles. Ils cultivaient la terre et introduisirent de nouvelles cultures, les cornichons (destinés à la saumure pour devenir des malossols vendus dans le commerce), des variétés de maïs doux destinées à leur consommation personnelle, une variété de raisin noir particulière (dénommée Adessa) et différentes plantes odorantes (comme la coriandre). Il subsiste encore aujourd'hui deux foyers composés de leurs descendants[33].
En 1955, une carrière située au lieu-dit La Petite-Folie, à cheval sur les communes de Saint-Germain-lès-Arpajon et d'Arpajon fut aménagée en terrain de moto-cross sous l'impulsion de Roger Pinard qui tenait un magasin de motocyclettes au lieu-dit La Montagne : lui-même et le jeune Georges Diani (tous deux originaires de Leuville-sur-Orge), ainsi que Jacques Junal (de la Petite-Folie) en devinrent les vedettes locales. Ils ne pouvaient rivaliser avec les champions nationaux qui s'y produisaient, Rémy Julienne qui fonda ensuite une troupe de cascadeurs pour le cinéma, Louis Meznarie qui devint préparateur pour les 24 heures du Mans, Robert et Claire Adnet père et fille, coéquipiers en side-car, mais y disputèrent plusieurs manches du championnat de France[34].
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[35],[Note 4].
En 2021, la commune comptait 11 305 habitants[Note 5], en évolution de +9,95 % par rapport à 2015 (Essonne : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 43,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 15,2 % la même année, alors qu'il est de 20,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 5 374 hommes pour 5 503 femmes, soit un taux de 50,59 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,02 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,4
90 ou +
1,0
3,6
75-89 ans
4,8
10,0
60-74 ans
10,8
18,9
45-59 ans
19,5
22,6
30-44 ans
21,7
19,4
15-29 ans
18,8
25,3
0-14 ans
23,5
Pyramide des âges du département de l'Essonne en 2021 en pourcentage[38]
Élections départementales de 2015 : 38,36% pour Pascal Fournier et Nicole Perrier (PS), 36,99% pour Dominique Bougraud et Alexandre Touzet (DVD), 24,65% pour Alain Buffle et Catherine Morin (FN), 48,04% de participation[56].
Élections municipales, résultats des seconds tours :
Élections municipales de 2001 : 51,14% pour Divers Droite, 48,86% pour Divers Gauche, 60,13% de participation, élection annulée par le Tribunal administratif de Versailles le , annulation confirmée par le Conseil d'État -après recours- le , mise en place d'une Délégation spéciale de trois personnes par la Préfecture de l'Essonne le et préparation de nouvelles élections[57].
Élections municipales de 2002 : données manquantes, majorité obtenue par la liste de Monique Goguelat (PS)
Élections municipales de 2014 : 48,11% pour Norbert Santin (DVD), 38,24% pour Monique Goguelat (PS), 13,63% pour Pascal Voirin (FN), 63,66% de participation[59].
Élections municipales de 2020 : 64,42% pour Norbert Santin (DVD), 27,04% pour Michel Grimault (DVG), 8,53% pour Sylvie Cruzillac (DVG), 38,25% de participation.
Chaque année, en général au mois de mars, la commune de Saint-Germain-lès-Arpajon accueille un Salon du livre de jeunesse organisé par l'association FLPEJR, attirant plusieurs milliers de participants. Il se déroule sur une semaine, avec des journées destinées aux enfants des écoles et des journées tout public le week-end. Il comporte également une journée professionnelle. Le programme est composé de conférences, d'expositions, de rencontres avec les auteurs et illustrateurs, et d'ateliers. Le Salon accueille des maisons d'éditions et des librairies. Il donne lieu par ailleurs à des concours.
Sur un plan local, la commune met à disposition de ses administrés la bibliothèque Maria-Socard-Bocquel, une école municipale de musique et une école municipale de danse.
Elle dispose également du nouveau pôle culturel des Prés-du-Roy, route de Leuville, livré en , pour un coût de 5,9 millions d'euros (médiathèque, salle de danse, salle de musique...)[69]. Devenu un objet de débat au sein des équipes municipales successives[70], ce pôle est finalement repris par le réseau des médiathèques de Cœur d'Essonne Agglomération.
Sports
L'Association sportive de Saint-Germain-lès-Arpajon (ASSGA) propose une vingtaine de sports.
La commune met à disposition plusieurs équipements sportifs, dont trois stades (Cendrennes, Gaston Cornu, Mesnil), des courts de tennis, un Combi-sports pour la pratique des sports collectifs, le Gymnase Louis-Babin, une salle d'arts martiaux et un boulodrome.
Les deux bas-côtés sont agrémentés de deux chapelles, l'une dédiée à la Vierge, l'autre dédiée à saint Corbinien, né dans le village et évangélisateur de la Bavière.
Médias
L'hebdomadaireLa Gazette de l'Ile-de-France, dans son troisième format, (avant la Seconde Guerre mondiale, durant la guerre à l'issue de laquelle son directeur fut arrêté et exécuté pour collaboration, après la guerre lorsqu'elle fut reprise par un directeur issu de la Résistance et imprimée à Étampes) couvrit particulièrement la commune jusque dans les années 1980 : Georges Duprat, qui habitait Saint-Germain-lès-Arpajon, chemin de la Glaciaire, en était le correspondant cantonal. L'hebdomadaireLa Marseillaise, imprimé à Arpajon, en était son concurrent. Plus tard, l'hebdomadaireLe Républicain prit le relais et relate aujourd'hui les informations locales.
Si dès 1672 une fabrique de tuiles et de briques est créée au lieu-dit La Grande-Folie et en 1918 un atelier de réparation (Atelier central des grandes réparations automobiles) est ouvert au lieu-dit La Bretonnière, la commune possède avant-tout un passé agricole, à la fois de cultures maraîchères comme dans tout le Hurepoix et de cultures céréalières comme dans la Beauce voisine. La culture du blé a encouragé l'ouverture de moulins sur le cours de l'Orge, trois d'entre eux sont connus, moulin de Falaise, moulin de La Boisselle, moulin de Fourcon et ont parfois été reconvertis temporairement en tanneries[72].
Les fermes (Aubé au centre du village, Mauge chemin de la Glacière, Colin et Pelletier route d'Aulnay...) ont subsisté jusque vers les années 1960 pour progressivement laisser place à une urbanisation pavillonnaire, ainsi qu'à la création d'une centrale électrique de transformation (dont les lignes haute tension aériennes n'ont disparu qu'à la fin du XXe siècle) et de celle d'une grande surface commerciale[73].
Les tentatives d'implantation d'établissements industriels, fabrique de bois à haute pression (Établissements Isorel) et tannerie (Établissements Augère et Gentilly)[74] au lieu-dit La Bretonnière ou production d'œufs (France-Ponte) au moulin de Fourcon, ont peu perduré.
Emplois, revenus et niveau de vie
En 2006, le revenu fiscal médian par ménage était de 19 104 €, ce qui plaçait la commune au 4 784e rang parmi les 30 687 communes de plus de cinquante ménages que compte le pays et au cent soixante-dixième rang départemental[75].
Moulin de la Boisselle (1239), ayant abrité une usine de chaussures (1922-1937) et restauré par la commune au début des années 2000.
Château de Chanteloup (XVIe siècle), Henri IV y rencontra le légat du Pape.
Hôtel de ville (XIXe siècle, demeure bourgeoise acquise par la commune et transformée en hôtel de ville (1985).
École Louis-Babin (1932), première école de ce style dans la région[83].
Moulin de la Falaise (XIXe siècle), ayant abrité une tannerie et transformé en habitations.
Moulin de Fourcon (XIXe siècle), propriété privée.
Espace polyvalent municipal Olympe de Gouges (2008), architecture moderne (La Boisselle)[84].
Pôle culturel municipal (2014), architecture moderne (route de Leuville)[85].
Tourisme environnemental
La Promenade de l'Orge, longue de quarante kilomètres, réservée aux piétons et aux cyclistes, emprunte le territoire germinois sur plusieurs kilomètres : elle longe les jardins familiaux créés au début des années 2000, passe à proximité du moulin de Falaise et de l'église Saint-Germain-d'Auxerre et permet de découvrir le parc de la Mairie (aménagé dans une ancienne propriété de l'ambassade d'Argentine en France), le moulin de la Boisselle, l'aire de pique-nique du Pré-du-Roi, la faune des oiseaux entre la rivière et sa boelle et le moulin de Fourcon. Elle se poursuit ensuite sur le territoire de Leuville-sur-Orge par le moulin d'Aulnay (propriété privée)[86].
Personnalités liées à la commune
Différents personnages publics sont nés, morts ou ont vécu à Saint-Germain-lès-Arpajon :
Lucie Touchais (1883-1956), dite la Grand'Mère, pensionnaire au Théâtre Antoine et professeur, a habité route de Leuville de 1938 à sa mort[87].
Jean-Louis Roncoroni (1926-1998), scénariste et dialoguiste de télévision et de cinéma, dramaturge, a été élevé dans la commune (ses parents habitaient route de Leuville).
Luc Méloua (1936-2010), motoriste et journaliste, auteur d'ouvrages sur la théorie et la pratique des moteurs thermiques,
Christian Ravel (1948-1971), motocycliste qui fut champion de France et disputa le championnat du monde 500 cm3, était originaire du lieu-dit La Grande-Folie.
Les armes de Saint-Germain-lès-Arpajon se blasonnent : Écartelé : au premier et au quatrième d'azur aux trois fleurs de lys d'or, à la bordure du même, au deuxième de gueules à l'ours passant d'or, au troisième d'azur aus trois fasces ondées d'argent.[88]
En 2018, les studios ont repris du service avec le tournage, en , du film dansé de Mehdi Meddaci, Frapper sur l'eau, sur le plateau de 800 m2 dit le « plateau 5 »[100].
Voir aussi
Bibliographie
Le patrimoine des communes de l'Essonne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1053 p. (ISBN2-84234-126-0), « Saint-Germain-lès-Arpajon », p. 69–73
Pierre Marly, Le Hurepoix. : Arpajon et son canton. Avrainville, Bruyères-le-Châtel, Cheptainville, Égly, Guibeville, Leuville-sur-Orge, La Norville, Ollainville, Saint-Germain-lès-Arpajon, vol. 1979, t. II, Paris, J.-P. Bourgeron, janvier (ISBN978-2-903097-01-1)
Michelle Pluquet, Les dames de Saint-Eutrope. : Histoire du monastère de l'annonciade de Saint-Germain-lès Arpajon», A. Lalucq, , 472 p. (ISBN978-2-9516466-0-5)
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑[les/elecresult__MN2014/(path)/MN2014/091/091552.html Résultats de l'élection municipale 2014 sur le site du ministère de l'Intérieur.] Consulté le 13/11/2014.