Elle entre dans la Résistance à Paris en 1941 et appartient au service de renseignements de l’Armée Volontaire en qualité d'agent de renseignements. En 1942, elle rejoint avec son mari la maison Éclaireuses et éclaireurs israélites de France à Moissac, maison dirigée par sa belle-sœur Shatta Simon et le mari de celle-ci et qui abrite de nombreux enfants juifs. Pendant leur temps là-bas, le couple aide à cacher les enfants dans des familles catholiques (près de 400 dans la région d'Auvillar)[4].
Le , après dénonciation, elle est arrêtée par la Gestapo à Saint-Michel dans le Tarn-et-Garonne. Internée à Drancy, elle est finalement déportée vers Auschwitz avec son époux dans le convoi no 62 du . Elle meurt en déportation[4],[5].