Sur le Mont d'Est, au centre de la commune, et au bord de l'autoroute A4, se dressent, outre le centre commercial, la place des Fédérés, caractérisée par une architecture audacieuse, ainsi que plusieurs annexes du ministère des Finances.
Au sud de la commune, se trouve le Bois Saint-Martin, qui fait partie de la Ceinture Verte d'Ile-de-France[1].
La commune s'étend sur 12,95 km2 dont 280 hectares du Bois Saint-Martin, situé à l'extrémité sud de la commune. L'espace urbain de Noisy-le-Grand s'étend sur environ 4 km d'est en ouest et environ 5 km du nord au sud. Son altitude varie de 36 mètres à 113 mètres.
Hydrographie
La Marne coule au nord de la ville, qui se situe sur sa rive gauche.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 679 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Neuilly-sur-Marne à 3 km à vol d'oiseau[4], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 721,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Statistiques 1991-2020 et records NEUILLY-SUR-M. (93) - alt : 45m, lat : 48°51'37"N, lon : 2°32'58"E Records établis sur la période du 01-01-1981 au 03-12-2023
Source : « Fiche 93050001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base
Milieux naturels et biodiversité
de nombreux espaces verts: bois, parcs, jardins, promenades, squares, bords de Marne ;
Promenade des bords de Marne
Bois Saint-Martin et des Yvris
Parc de la Butte Verte
Parc Louis-Antoine de Bougainville
Jardin des Artistes
deux parcours de santé: un au parc de la Butte-Verte et un autre au bois des Yvris ;
un réseau de 15 km de pistes cyclables ;
les deux sentiers de petite randonnée pédestre, balisés par le club local C.N.R.P. : une boucle dans toute la ville et un tronçon du sentier des bords de Marne,
Au , Noisy-le-Grand est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8].
Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[9],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[I 1]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].
Quartiers
La ville se compose de vingt quartiers historiques :
Butte-Verte
Le Pavé Neuf
Centre-ville
Champy
Clos aux Biches
Cormiers
Coteaux
Grenouillère
Hauts-Bâtons
La Varenne
Marnois
Mont-d'Est
Montfort
Abraxas
Le Palacio
Les Hêtres
Richardets
Rive-Charmante
Villeflix
Yvris
Noisy-le-Grand se distingue par une inégalité entre les différents quartiers relativement exacerbée. De larges zones pavillonnaires bordent la Marne ainsi que le sud du centre-ville où la composition sociale selon l'Insee se compose principalement de professions intermédiaires (classes moyennes), alors que les logements sociaux ont tendance à être beaucoup plus nombreux à l'est, en limite de Champs-sur-Marne, ainsi qu'aux abords du centre commercial régional Arcades.
La ville quartier par quartier
Palacio-Abraxas
L'aménagement de Noisy-le-Grand lors de la création de la ville nouvelle de Marne-la-Vallée a été l'occasion de confier à l'architecte catalan Ricardo Bofill la réalisation de la partie habitation du quartier du Mont d'Est situé à côté du centre commercial des Arcades dans le même quartier : « Les Espaces d'Abraxas » situés place des Fédérés, avec un ensemble de trois bâtiments (le « Théâtre » à l'ouest, l'« Arc » au centre et le « Palacio » à l'est). Cet ensemble a été construit entre 1978 et 1983.
Le Palacio est un bâtiment massif de dix-huit étages d'inspiration postmoderne et de forme orthogonale. Il est composé de quatre cages d'escaliers (de deux cabines et d'un escalier de service en colimaçon).
Le Théâtre est un bâtiment d'allure plus modeste entourant une place évoquant les formes des théâtres antiques. Il est composé d'une petite dizaine de cages d'escaliers (d'un ascenseur et un escalier de service) et accueille une vingtaine d'appartement par cage. L'ensemble prend la forme d'un demi cylindre creusé en son centre.
Enfin, l'Arc est composé de deux cages d'escaliers qui se rejoignent au septième étage pour former une arche. Cet arc est entouré par le Palacio et le Théâtre. L'ensemble de ces trois bâtiments, « Les Espaces d'Abraxas », compte 590 appartements. Entre ces bâtiments se trouvent des jardins.
Le Pavé-Neuf
L'architecture des habitations du Pavé-Neuf, quant à elle, a été confiée à Manuel Núñez Yanowsky, qui bâtit un ensemble appelé « les Arènes de Picasso » en 1985, comptant 540 appartements.
L'ensemble est principalement composé de bâtiments entourant une place. Aux deux extrémités, deux grands cylindres de 16 étages, dont l'axe est parallèle à l'équateur, sont encastrés dans les habitations. L'ensemble est une représentation abstraite d'un chariot renversé.
La tradition populaire a attribué un tout autre nom au lieu : cet ensemble est appelé par les habitants locaux les « camemberts » en référence à la forme des cylindres.
C'est le centre historique de la ville à prédominance pavillonnaire ancienne, avec une récente restructuration de construction de petits et moyens immeubles.
Le centre après réaménagement.
Entrée du Jardin des Artistes.
Le Jardin des Artistes.
Habitat et logement
En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 30 585, alors qu'il était de 27 457 en 2015 et de 26 532 en 2010[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Noisy-le-Grand en 2020 en comparaison avec celle de la Seine-Saint-Denis et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,5 %) supérieure à celle du département (1,2 %) mais nettement inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 49 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (52 % en 2015), contre 38,2 % pour la Seine-Saint-Denis et 57,5 pour la France entière[I 4].
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %)
1,5
1,2
9,7
Logements vacants (en %)
5,4
6,1
8,2
En 2020, la ville, tenue par l'article 55 de la Loi SRU de disposer d'au moins 25 % de son parc de résidences principales en logements sociaux, respecte ses obligations[12]
Voies de communication et transports
La ville de Noisy-le-Grand est desservie par deux lignes de RER — dont trois gares sur la commune — et treize lignes de bus RATP. À l'avenir, elle accueillera deux lignes de bus en site propre et une tangentielle (ou train passant de banlieue en banlieue). Elle accueillera également les lignes 15 et 16 du Grand Paris Express.
Sur un axe est/nord-ouest au nord de la commune, la route nationale 370 traverse la commune de part en part en direction de Gonesse.
Liaisons ferroviaires
La ville de Noisy-le-Grand est desservie respectivement par deux gares du RER A sur la branche Marne-la-Vallée - Chessy et une gare du RER E sur la branche de Tournan :
La gare des Yvris-Noisy-le-Grand dessert le sud de la ville de Noisy-le-Grand et donne accès aux quartiers des Yvris et des Richardets.
Les gares de Neuilly-Plaisance et de Bry-sur-Marne sur le RER A ne se trouvent pas à Noisy-le-Grand, mais elles donnent l'accès respectivement aux quartiers des Épinettes et de La Varenne situés à la limite ouest de la ville.
La nuit, les lignes Noctilien suivantes desservent Noisy-le-Grand depuis/vers Paris-Gare-de-Lyon. Ce sont les lignes N34 qui permet de se rendre en direction de Torcy, et la ligne de car N130 dont le terminus est la gare de Marne-la-Vallée - Chessy. La première assure une desserte fine du territoire et la seconde s'arrête uniquement au Mont d'Est et au Campus Descartes.
Une nouvelle gare routière a été ouverte au public en 2013 au-dessus des voies du RER A à la gare de Noisy-le-Grand - Mont d'Est. Elle accueille plus de onze lignes de bus au lieu de six sur l'ancienne gare routière souterraine.
Noisy-le-Grand abritait une ligne de métro fantôme de système SK, construite par la RATP dans les années 1990, entièrement réalisée mais jamais ouverte car la zone de bureaux qu'elle devait relier à la gare du Mont d'Est n'a jamais été construite.
Depuis le 8 Avril[Quand ?], un projet a été lancé par la mairie pour rénover la station SK (ancien Métro de Noisy-le-Grand). Dans le nouvel espace, sera construit des bars, des cafés, des restaurants et d'autres installations comme des espaces pour accueillir une large programmation culturelle. La station sera rebaptisé : "Station K".[réf. nécessaire]
Dans l’avenir, la commune sera desservie par 3 lignes du métro de Paris, à la future gare de Noisy - Champs[16]. La mise en service est envisagée pour 2025 pour la ligne 15[17] et 2030 pour la ligne 16[18]. À terme, la ligne 11[19] devrait être prolongée jusqu’à Noisy - Champs, le prolongement de cette ligne s’effectuant en deux étapes : la première étape effectue le prolongement de la ligne de Mairie des Lilas à Rosny - Bois-Perrier envisagée en 2022[20] et la seconde concerne le prolongement de Rosny - Bois-Perrier à Noisy - Champs. Cette dernière étape n'est cependant pas définie, du fait des difficultés financières que rencontre la Société du GPE et aucune date n’est prévue[21].
Risques naturels et technologiques
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Les quartiers nord et est des bords de Marne sont situés en zone inondable et surveillés par une cellule de crise municipale en cas d'inondation[réf. nécessaire].
Toponymie
Noisy-le-Grand est attesté sous la forme Nucetum à la fin du VIe siècle[22], Nociacum en 1089[23], Nucenum Magnum dès 1096[24], Nuseium en 1142, Nusiacum en 1150, Noisiacum-magnum[25].
Tous les Noisy possèdent des formes anciennes en -(i)acum qui a le plus souvent évolué sous forme d'une finale -y dans cette partie du territoire. Le premier élément représente peut-être un nom de personne. Albert Dauzat propose Nautius, suivi du suffixe de propriété -acum pour expliquer Noizé[23]. La forme primitive, si elle est juste, implique un recours au bas latin Nucetum, basé sur le latin nux / nucis « noix » associé au suffixe -etum[22], les formes en -(i)acum étant dès lors considérées comme de mauvaises latinisations[26]. Cependant, les formes anciennes de la plupart des Noisy sont en -(i)acum et l'association de ce suffixe au fruit plutôt qu'à l'arbre est singulière, hormis en Corse, loin du domaine linguistique du gallo-roman, où Noceta remonte à Nucetum. Or, les Noisy ne se retrouvent ailleurs, qu'en Île-de-France. Le nom du noyer est issu du bas latin *nucarius[27] et son association avec le suffixe collectif -etum a donné les Norrey, Norrois, Noroy, Nourray, Nozay, Noizay[28], etc. Une *noraie ou une *noizaie serait donc une plantation de noyers en français.
Le déterminant complémentaire le-Grand semble motivé soit par l'étendue de la commune, soit par le fait que Noisy ait été résidence royale au cours du Haut Moyen Âge.
La ville de Noisy-le-Grand, située sur un promontoire qui domine et permet de contrôler la vallée de la Marne, est une ville très ancienne. Une légende reprise par l'abbé Lebeuf veut que les Romains dès la Gaule conquise aient planté de nombreux noyers dans cette région, d'où le nom de Noisy en partant de la racine latine nux, nucis (noix). En réalité, les Romains n'ont fait que passer dans la région au moment de la révolte des peuples gaulois et ils ne se sont bien sûr pas arrêtés pour planter des noyers. Comme mentionné plus haut, il n'est même pas certain que l'étymologie du nom de la ville ait quelque chose à voir avec le noyer.
Moyen Âge
Noisy-le-Grand qui était connu au VIe siècle, était une résidence des rois mérovingiens. Le roi Chilpéric y avait une maison de plaisance[29].
Au lieu-dit les Mastraits, une fouille préventive réalisée par l'Inrap et le Bureau d’archéologie de Seine-Saint-Denis, a permis la mise en évidence de 651 sépultures à inhumations des époques mérovingienne (219 sépultures) et carolingienne (409 sépultures)[30]. Vingt-trois sont chronologiquement indéterminées. Une limite fossoyée de la nécropole mérovingienne (à l’ouest) abandonnée à l’époque carolingienne a été mis en évidence. Quatre-cent-dix-huit éléments de mobilier en alliage cuivreux, en fer, en verre et en os ont été décomptés. Cent-trente-et-un sarcophages de plâtre ont été fouillés, 12 d’entre eux présentaient des décors encore visibles.
Grégoire de Tours évoque dans l'Histoire des Francs une « villa royale », ainsi qu'un oratoire réservé à la prière. On peut toujours voir le reste de leur villa à l'emplacement de l'actuelle cour Chilpéric. Selon la légende, Clovis II aurait été enterré à Noisy-le-Grand, soit dans les bas de Noisy le grand soit rue des Mastraits. Les Carolingiens auraient ensuite édifié une petite chapelle au-dessus de cet autel. En 2009, des fouilles archéologiques ont mis au jour les restes d'une nécropole mérovingienne et carolingienne qui pourrait être mise en rapport avec ces descriptions historiques. Il s'agit d'un ensemble de 651 tombes dont la moitié date des Mérovingiens (Ve siècle-VIIe siècle). Les recherches de viennent accréditer et compléter le nombre de 550 tombes supplémentaires : ainsi, il y aurait 1 150 tombes à l'entrée de la rue des Mastraits, mais le site devrait contenir environ 3 000 sépultures[31].
Non loin de Noisy-le-Grand était situé le château de Villeflix, dont les restes sont toujours situés sur la commune de Noisy. Un nouveau château est édifié vers 1709 par Bourvalais, seigneur du lieu. Une carte datée de 1740 figure ainsi un bâtiment d’une cinquantaine de mètres de long sur une trentaine de large, avec deux ailes formant retour. Sur un autre plan cet ensemble a perdu le corps de bâtiment sud ; quant au château, il semble représenté sous l’aspect d’une construction à pavillon central relié par des galeries à des pavillons d’angle. Le château est détruit peu après 1779. Les jardins étaient fort estimés, d'après Dezallier d'Argenville.
Vue de l'allée latérale depuis le milieu du parterre haut du château de Villeflix.
Vue depuis le bassin rond au milieu de la perspective basse.
Vue depuis le petit escalier bas, avec le jeu visuel entre le bassin et la Marne.
Restitution du grand bassin bas de Villeflix.
Vue 3D restituée sur la grande terrasse basse de Villeflix, XVIIIe siècle.
Vue de la perspective de Villeflix depuis la terrasse basse, avec l'allée qui descend de la terrasse du château à la Marne.
Schéma de la vue panoramique sur la Marne depuis la terrasse du château de Villeflix, XVIIIe.
Époque contemporaine
Après la Révolution française le domaine fut à nouveau mis en vente. Au XIXe siècle la vigne dominait dans la région puis, décimée par le phylloxéra, elle disparut.
La première mairie fut inaugurée en 1841, puis une école maternelle vers 1860.
Jusqu'au début du XXe siècle, la ville est un village rural. L'arrivée du tramway des Chemins de fer nogentais en 1901 transforme la ville en facilitant le transport des ouvriers travaillant à Paris et les villégiatures de Parisiens profitant de cette nouveauté pour venir se promener à la campagne le dimanche. L'arrivée du tramway permet donc à Noisy de passer de village campagnard à petite ville touristique avec ses guinguettes en bord de Marne, et ses rendez-vous de chasse.
Dans les années 1930, de nombreux lotissements sont aménagés, transformant le village en ville de banlieue, la population passant de 2 600 au début des années 1920 à 6 800 habitants en 1946.
Entre les deux guerres mondiales arrivent des familles parisiennes, des provinciaux et des immigrés italiens.
Dans les années 1950 et 1960, la ville renferme sur son territoire l'un des plus importants bidonvilles d'Île-de-France[34], avec ceux de Nanterre, Aubervilliers et Saint-Denis notamment. C'est dans ce bidonville que sera fondé, en 1957, le mouvement ATD Quart-Monde.
À partir des années 1960, l’urbanisation rapide dans certains pays incite les autorités à planifier le développement des plus grandes agglomérations par la création de villes nouvelles à leur périphérie, pour limiter la centralisation des plus grandes villes et essayer d’en faire des agglomérations multipolaires. En 1965, cinq villes nouvelles sont créées en Île-de-France pour désengorger la capitale. Le périmètre de Marne-la-Vallée voit le jour ainsi que les structures de la ZAC du Mont d'Est et du quartier du Pavé Neuf.
Jusqu’à la loi du [35], la commune fait partie du département de Seine-et-Oise. Le redécoupage des anciens départements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que la commune appartient désormais à la Seine-Saint-Denis après un transfert administratif effectif le .
Le , lors des émeutes en banlieue, en marge des nombreux incidents ayant eu lieu dans le reste du pays et de la commune, le gymnase de la Butte-verte a été incendié alors que celui-ci venait juste d'être rénové après l'autre incendie de 1995, ainsi qu'un grand nombre de voitures[37].
Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre[41], à laquelle la commune, qui n'était membre d'aucune intercommunalité, a été intégrée.
Dans le cadre de la mise en place de la métropole du Grand Paris, la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du (loi NOTRe) prévoit la création d'établissements publics territoriaux (EPT), qui regroupent l'ensemble des communes de la métropole à l'exception de Paris, et assurent des fonctions de proximité en matière de politique de la ville, d'équipements culturels, socioculturels, socio-éducatifs et sportifs, d'eau et assainissement, de gestion des déchets ménagers et d'action sociale.
Élections départementales de 2015 : 53,72 % pour Emmanuel constant et Frédérique Denis (DVG), 46,28 % pour Eric Allemon et Brigitte Marsigny (DVD), 38,41 % de participation[50].
Élections municipales
Lors du second tour des élections municipales de 2014 dans la Seine-Saint-Denis, la liste PS-EELV menée par le maire sortant Michel Pajon a obtenu 8 068 voix (42,90 %, 36 conseillers municipaux), devançant les listes menées respectivement par[51] :
- Brigitte Marsigny — qui bénéficiait de la fusion avec la liste du premier tour UDI menée par Marylise Martins — 7 061 voix (37,54 %, 9 conseillers municipaux élus) ;
- Maxence Buttey (FN, 2 018 voix, 10,73 %, 2 conseillers municipaux élus) ;
- Patricia Bétuel (FG, 1 659 voix, 8,82 %, 2 conseillers municipaux élus) ;
lors d'un scrutin où 46,27 % des électeurs se sont abstenus.
Après l'annulation de ces élections[52], des élections municipales partielles ont lieu en septembre 2016, qui voient au second tour le succès de la liste menée par Brigitte Marsigny (DVD, 7 231 voix, 46,40 %), devançant de 33 voix celle du maire invalidé pour Michel Pajon (DVG, 7 198 voix 46,19 %), suivie par la liste front de gauche Sylvie Monnin (1 156 voix, 7,42 %) lors d'un scrutin où 55,6% des électeurs se sont abstenus[53],[54]. Cette élection, contestée par le perdant, ont été validées par le Conseil d'État en juillet 2016[55]
Lors du second tour des élections municipales de 2020 dans la Seine-Saint-Denis[56], la liste LR - UDI - SL - Agir - AC me3 118 voix, menée par la maire sortante Brigitte Marsigny obtient la majorité des suffrages exprimés, avec 5 444 voix (42,89 %, 35 conseillers municipaux élus dont 1 métropolitain), devançant largement les listes menées respectivement par[57],[58] :
- Emmanuel Constant (PS - EÉLV - PCF - G·s - GDS - PRG - Cap21, 4 128 voix, 35,52 %, 8 conseillers municipaux élus) ;
- Vincent Monnier (MoDem - LREM - GÉ - NC - MEI, 3 118 voix, 24,57 %, 6 conseillers municipaux élus) ;
lors d'un scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France où 65,69 % des électeurs se sont abstenus.
Ces résultats ont été contestés par Maxence Buttey, un ancien élu municipal frontiste, et par Vincent Monnier, qui alléguaient de nombreuses irrégularités. Le Tribunal administratif de Montreuil a rejeté en février 2021 ces griefs, jugeant, pour ceux qui étaient établis, qu'ils n'avaient pas porté atteinte à la sincérité du scrutin. Ce jugement est confirmé par le Conseil d'État.en novembre 2021. L'élection municipale de 2020 est donc définitivement confirmée[59],[60]
Le CNAM dispose d'un centre à Noisy-le-Grand, l'Institut francilien d'ingénierie, situé allée du Promontoire dans le quartier de Champy, dispensant différentes formations supérieures dans plusieurs domaines (économie, comptabilité, gestion, ressources humaines, informatique, anglais…) ;
l'École nationale des finances publiques (ENFIP), située rue du Centre, assure la formation initiale des lauréats des concours et la formation continue du personnel dans les domaines de la gestion et des finances publiques ;
l'École supérieure d'ingénieurs en électronique et électrotechnique (ESIEE), située boulevard Blaise-Pascal, dans le Campus de Marne-la-Vallée (RER Noisy-Champs), forme notamment les ingénieurs dans les secteurs de l'informatique, de l'électronique, des télécommunications et des systèmes embarqués dans toutes les branches économiques qui utilisent ces technologies ;
l'école des Gobelins forme aux métiers de l'image notamment aux métiers des industries graphiques et se trouve dans la zone industrielle des Richardets, le siège étant à Paris ;
l'Institut Francilien de Sciences Appliquées (IFSA) ;
les lycées Flora-Tristan, Evariste-Galois et Cabrini préparent à certains B.T.S.
collège Françoise-Cabrini (privé catholique, en centre-ville) ;
collège international (quartier Maille Horizon Nord) ;
collège Jacques-Prévert (quartier de la Butte-Verte) ;
collège Saint-Exupéry (quartier des Yvris) ;
collège Victor-Hugo (quartier du Pavé-Neuf).
et de nombreux groupes scolaires publics constitués chacun d'une école maternelle et élémentaire[75] : les Abeilles, Alexandre-Dumas, Célestin Freinet, les Charmilles, Clos d'Ambert, Clos de l'Arche, les Coteaux, Françoise-Cabrini (privé catholique), Gavroche, Georges-Brassens, les Hauts-Bâtons, Joliot-Curie, Jules-Ferry, Jules-Verne, les Noyers, Paul-Serelle, les Richardets, Robert-Desnos (école maternelle uniquement), Samuel-Walls, Simone-Veil, Van-Gogh, la Varenne, et les Yvris.
Santé
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L'offre globale de médecine libérale est sensiblement inférieure[Quand ?] à la moyenne départementale et régionale. La pénurie se fait sentir chez les généralistes sans rendez-vous et chez de nombreux spécialistes à dépassement d'honoraires (exemple en 2016: seulement deux endocrinologues-diabétologues, deux hépato-gastroentérologues, un neurologue, deux ophtalmologues, deux O.R.L., trois pédiatres, deux rhumatologues, un stomatologue). Les deux hôpitaux privés voisins de Bry-sur-Marne n'arrivant pas à pallier pour de multiples raisons et du fait du manque de maisons médicales annoncées (une a été installée en 2018). La commune compte, en 2016, 37 généralistes, 61 spécialistes en comptant les chirurgiens-dentistes, 137 professionnels para-médicaux, 17 pharmacies, un centre de santé et de prévention municipal- maison médicale, trois centres départementaux de P.M.I., trois laboratoires d'analyses médicales et trois cliniques vétérinaires.
La Police Municipale et la Police Nationale assurent la sécurité publique et la prévention des actes interdits et d'incivilité. Elles sont aidées par un réseau bénévole de Voisins Vigilants et Solidaires en plein développement, et parfois par des vigiles privés, lors de manifestations culturelles et sportives. Les sauveteurs bénévoles de la Croix-Blanche et de la Croix-Rouge interviennent en cas de catastrophe naturelle, aidés par ceux des associations caritatives locales. Depuis 2015, les moyens et l'effectif de la Police Municipale et le développement de la vidéosurveillance ont été augmentés[C'est-à-dire ?] pour améliorer le cadre de vie des habitants avec une baisse de crimes, délits et incivilités[réf. nécessaire].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[77],[Note 4].
En 2021, la commune comptait 70 374 habitants[Note 5], en évolution de +6,28 % par rapport à 2015 (Seine-Saint-Denis : +4,77 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Les lieux et manifestations festives, touristiques et culturelles principaux sont très nombreux à Noisy-le-Grand, notamment le Marché de Noël", avec marché artisanal, le plus authentique[C'est-à-dire ?] et le plus grand de l'Île-de-France, les nombreuses animations quotidiennes au sein de l'Espace Michel-Simon, le Carnaval de Noisy, la fête du bois Saint-Martin, les foulées de Noisy, la fête de la musique, etc.
Cultes
Différents cultes sont présents à Noisy-le-Grand :
Culte catholique
La paroisse catholique de Noisy-le-Grand est située dans le diocèse de Saint-Denis, elle compte six églises et chapelles, un centre et un secrétariat paroissial. Elle fait partie du secteur Noisy-le-Grand-Gournay-sur-Marne.
Les églises et chapelles catholiques de la paroisse sont :
Saint-Sulpice (quartiers du centre-ville et des bords de Marne, rénovée en 2013 avec la cloche principale Marie Pascale, fondue lors du marché de Noël en 2012), classée ;
chapelle Emmaüs, chapelle fondée par le Père Joseph Wresinski, fondateur d'ATD-Quart Monde[79], baptisée depuis peu Notre-Dame-des-sans-Logis-et-de-tout-le-Monde, classée (quartiers des Hauts-Bâtons et des Cormiers).
À noter la nécropole de la rue des Mastraits, datant du Haut Moyen Âge, et connue depuis 1771, située exactement à l’angle de la rue Pierre Brossolette et du Docteur Sureau[81],[82].
Économie
Revenus de la population et fiscalité
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Le nombre d'emplois recensés est de 28 564 au , alors que le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 28 877 et le nombre de chômeurs de 4 339 à la même date[84].
Noisy-le-Grand compte 4 850 établissements actifs au , dont 2,9 % dans l'industrie, 13 % dans la construction, 71,7 % dans le commerce, les transports et les services divers, enfin 12,3 % dans l'administration publique, l'enseignement, la santé et l'action sociale[85]. 84 de ces établissements emploient plus de 50 salariés. Par ailleurs, 3 434 entreprises sont répertoriées dans la ville dans le secteur marchand (hors agriculture) au [86].
Au , on recense 237 commerces et 928 services aux particuliers[87]. Six hôtels d'une capacité totale de 727 chambres, dont deux hôtels 4 étoiles, sont implantés dans la ville, ainsi qu'une résidence de tourisme de 660 lits[88].
La répartition géographique des activités est la suivante :
le quartier d'affaires du Mont d'Est qui, avec 350 000 m² de bureaux, est le 3e quartier d'affaires de la Seine-Saint-Denis, après celui du Stade de France à Saint-Denis et celui du Bas-Montreuil, et à égalité avec celui de Victor Hugo à Saint-Ouen-sur-Seine, selon une étude de l'IAU[89] ;
quelques immeubles de bureaux au Champy et au Pavé Neuf ;
la zone industrielle et artisanale de La Varenne (station d'assainissement des eaux et zone artisanale), située en bord de Marne ;
la zone d'activités des Richardets (45 ha), en bordure de l'autoroute A4 ;
les activités commerciales : le centre commercial régional des Arcades (160 commerces ou services), les pôles commerciaux de quartier (centre-ville et Les Richardets), le centre commercial du Champy, les petits pôles commerciaux de proximité (La Varenne, La Butte-Verte, Les Coteaux, Les Cormiers), trois marchés (centre-ville, Les Richardets et le Pavé Neuf).
Agriculture
Il n'y a plus d'activité agricole importante à Noisy-le-Grand depuis 1986, malgré son ancienne tradition maraîchère. La Villa Cathala produit du miel et le Clos Saint-Vincent du vin.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
l'église Saint-Sulpice, classée monument historique, au centre-ville, près des bords de Marne ;
la chapelle Notre-Dame-des-sans-Logis-et-de-tout-le-Monde, quartier des Hauts-Bâtons, classée ;
dans le parc de Villeflix, situé au centre-ville, vers les bords de Marne, il subsiste une partie d'une grotte décorative, due au talent de l'architecte Jean Marot (1619-1679), construite sous un château du milieu du XVIIe siècle[90],[91],
le Musée d'histoire locale et du patrimoine, associatif, pour l'instant ;
le fort de Villiers, propriété communale, laissé à l'abandon pendant de nombreuses années, en cours de restauration, au Montfort,
le monument du Ballon, aux Richardets,
le miroir d'eau, au centre-ville,
la vigne et la ferme du Clos Saint-Vincent, au centre-ville,
l'ancienne demeure de Joséphine de Beauharnais, actuel groupe scolaire Cabrini,
l'hôtel de ville, ancien château Périac, et son extension récente moderne, avec jardin "Jean-Machet", au centre-ville,
« La Villa Cathala », maison des arts, municipale, au centre-ville,
le haut fonctionnaire et ancien boxeur Jean-Marc Mormeck (1972-) a été licencié du club de boxe de Noisy-le-Grand, comme le boxeur olympique Nordine Oubaali (1986-) ;
Claude Terrasse (1867-1923), compositeur français, y a habité ;
Loïc Guénin (1976), compositeur et musicien français y est né ;
l'acteur suisse Michel Simon (1895-1975) a vécu à Noisy-le-Grand. L'espace culturel portant son nom se trouve esplanade Nelson-Mandela ;
le violoncelliste, acteur et humoriste Maurice Baquet (1911-2005) y a vécu de nombreuses années jusqu'à sa mort à l'été 2005. Il avait joué dans des films de Jean Renoir et a posé pour des photographies de Robert Doisneau. Le conservatoire de musique et de danse portant son nom se trouve place Gallieni ;
l'accordéoniste Jo Privat (1919-1996) y vécut ;
Laurent Voulzy (1948-), auteur-compositeur-interprète français, y a habité plusieurs années ;
Coluche, Michel Colucci (1944-1986), possédait une maison à Noisy-le-Grand. La Maison des solidarités portant son nom se trouve allée du Clos d'Ambert.
de nombreux rappeurs ou chanteurs y sont nés, dont Pyroman ;
le mannequin et comédienne française Laetitia Casta (1978-) a vécu une grande partie de son enfance à Noisy-le-Grand ;
l'auteur-compositeur-interprète français Dominique Dalcan (1964-) y a passé son enfance ;
l'auteur-compositeur interprète français de chansons françaises et compositeur de musiques de films Jean Constantin (1923-1997), marié à la chanteuse et comédienne Lucie Dolène, née Lucienne Chiaroni (1931-), y a longtemps habité et y a été inhumé en 1997 dans l'ancien cimetière près de l'église Saint-Sulpice ;
l'acteur et réalisateur HPG (1966-) a grandi a Noisy-le-Grand ;
1858-1859: Dans le roman "Paul et son chien" de Paul de Kock, le personnage-titre habite une villa à Noisy-le-Grand;
Dans la publicité :
1972 : la publicité pour la voiture Super 5 Renault, au Pavé-Neuf.
Dans le cinéma :
1983: le film Le Prix du danger, tourné en partie aux abords du théâtre et dans les coursives entre le parking et le centre commercial régional Arcades.
Les Poetic Lover ont tourné des clips dans le quartier du Pavé-Neuf.
Héraldique
Blason
D'azur au chevron haussé d'or chargé d'une couronne à l'antique du champ, accompagné de trois noix d'argent, posé sur des ondes du même mouvant de la pointe[95].
A.E. Fossard et A.Hurtret (illustrateur), Le Raincy dans le passé et le présent : essai de monographie cantonale, Noisy-le-Grand, Chez l'auteur, , 177 p. (lire en ligne), p. 115-129, lire en ligne sur Gallica.
Le patrimoine des Communes de la Seine-saint-Denis, Flohic éditions, 1994, (ISBN2-908958-77-5)
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑ a et bAlbert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, éditions Larousse 1968, p. 498b.
↑Dès 1096 Noisy est mentionné comme 'grand' : Nucenum Magnum, pour distinguer le lieu de Nucenum Minus (1096), aujourd'hui devenu Noisy-le-Sec (mais qui aurait pu s'appeler Noisy-le-Petit)
↑Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
↑« Noisy-le-Grand une nécropole du haut Moyen Âge », Archéologia, janvier 2018, no 561, p. 21.
↑Paul Poisson de Bourvallais, également écrit Paul Poisson dit Bourvalais, fils d'un paysan des environs de Rennes, qui commence par être laquais, facteur, huissier, puis intendant des finances, financier, et enfin contrôleur général des finances dans le duché de Bourgogne. Il fait une fortune immense, et meurt en 1719, sans laisser d'enfants.
↑ a et b« Élection annulée à Noisy-le-Grand : l'équipe de l'ancien maire privée d'indemnité cet été », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le )« Le conseil d'état a en effet, le 17 juin, annulé les élections de mars 2014. Depuis mercredi, une délégation spéciale de la préfecture, composée de 5 personnes, est en train de gérer les affaires courantes ».
↑« Municipales : 33 voix font basculer Noisy-le-Grand à droite », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le )« Michel Pajon a immédiatement réagi en annonçant son intention de former un nouveau recours, invoquant des irrégularités dans les tracts de la liste du Front de gauche. C'est déjà un autre recours, formé par Brigitte Marsigny, qui avait abouti ».
↑« Noisy-le-Grand: la droite remporte la mairie », Le Figaro, (lire en ligne, consulté le ).
↑Sébastien Thomas, « Noisy-le-Grand : le Conseil d’État valide l’élection de Brigitte Marsigny », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
↑Olivia Villamy, « Municipales : à Noisy-le-Grand, les candidats face à la fièvre immobilière : À Noisy-le-Grand, la bataille fait rage entre les sept candidats qui dénoncent tous «la bétonnisation» de la ville, où les projets immobiliers se multiplient », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le )« À Noisy-le-Grand, ils sont sept sur la ligne de départ (…) Au-delà des potentielles affaires, c'est bien la question de la densification de la ville qui agite le scrutin. Tous les candidats d'opposition, ou presque dénoncent « la fièvre immobilière » qui s'est emparée de la ville sous la mandature de Michel Pajon, et qui ne semble pas être retombée depuis ».
↑Maëlys Dolbois, « Municipales 2020 à Noisy-le-Grand : Brigitte Marsigny a été réélue à la tête de la mairie : Le second tour des élections municipales s'est déroulé ce dimanche 28 juin 2020. Retrouvez les résultats de ce scrutin pour la commune de Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis) », Actu Seine-Saint-Denis, (lire en ligne, consulté le ).
↑Alexandre Arlot, « Noisy-le-Grand : la justice confirme la réélection de Brigitte Marsigny : Le tribunal administratif a confirmé la victoire aux municipales de la maire sortante dans la sixième ville la plus peuplée de Seine-Saint-Denis. Un « soulagement », confie l’intéressée, qui déplore les « recours purement revanchards » de ses opposants », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et bElsa Marnette, « Municipales 2020 : à Noisy-le-Grand, la réélection de Brigitte Marsigny confirmée par le Conseil d’État : Deux opposants à la maire (LR), qui contestaient les résultats des municipales de juin 2020, avaient saisi la justice qui les a déboutés, ce lundi », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
↑Nadia Tenine Michel, « Serelle Marius, Léon », Élus de Seine-Saint-Denis, Histoire et mémoire ouvrière AHMO (consulté le ).
↑« NOISY-LE-GRAND : Mme Goutmann (P.C.F.) revendique la tête de liste », Le Monde, (lire en ligne).
↑Alain Faujas, « SEINE-SAINT-DENIS : des " primaires " pour un siège de député », Le Monde, (lire en ligne)« Enfin, à Noisy-le-Grand, où M. Marius Serelle, conseiller général (modéré majorité) et maire, est attaqué par Mme Goutmann (P.C.) et par M. Colomer (P.S.), l'enjeu est important car il s'agit, à terme, de l'évolution politique, de la ville nouvelle de Marne-la-Vallée dont Noisy-le-Grand est la tête de pont en Seine-Saint-Denis ».
↑« La droite sèche le conseil à Noisy-le-Grand », Le Parisien, édition Seine-Saint-Denis, .
↑Sébastien Thomas, « Noisy-le-Grand : Brigitte Marsigny devient maire sous les vivats et les huées », Le Parisien, édition Seine-Saint-Denis, (lire en ligne).
↑Jean Marot, Recueil des plans, profils et élévations des [sic] plusieurs palais, chasteaux, églises, sépultures, grotes et hostels bâtis dans Paris et aux environs par les meilleurs architectes du royaume desseignez, mesurés et gravez par Jean Marot, vues 56, 57 et 58 (voir)
↑Société historique de Noisy, « René de Froulay », sur noisygournaychamps.free.fr (consulté le ).
↑Encyclopédie des gens du monde: répertoire universel des sciences, des lettres et des arts; avec des notices sur les principales familles historiques et sur les personnages célèbres, morts et vivans, Artaud de Montor, Librairie de Treuttel et Würtz, 1836, v. 6, p. 186.