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La Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP) a rejeté son compte de campagne en pour irrégularités formelles, entraînant la saisine du Conseil constitutionnel. Par décision du , il est jugé qu'il a fourni à la Commission l'ensemble des pièces justificatives permettant à celle-ci de contrôler la nature des dépenses exposées et l'origine des recettes perçues. Le compte qu'il a déposé le devant le Conseil constitutionnel est présenté en équilibre par un membre de l'ordre des experts-comptables et des comptables agréés. Du fait des circonstances particulières et en l'absence de fraude avérée ou de tentative de dissimulation, il n'est pas prononcé d'inéligibilité[2].
Durant son mandat au sein de la majorité présidentielle, il a membre de la Commission des affaires économiques (2017-2020), membre de la Commission des Finances (2021-2022) et membre de la Commission des affaires européennes (2017-2022). Il a ainsi développé son expertise en finances publiques et économie, droit européen de la concurrence, politique commerciale et industrielle de l’Union européenne, et enfin en diplomatie économique avec l’Afrique, en l’occurrence l’Afrique de l’Ouest.
À cet effet, il a effectué des missions dans certains pays de l’Union européenne et également conduit des délégations de parlementaires, d’entrepreneurs et d’investisseurs dans plusieurs pays d’Afrique de l’Ouest.
Son travail parlementaire dans les commissions s'est traduit par la rédaction de 8 rapports notamment pour la Commission des affaires économiques, la Commission des finances et la Commission des affaires européennes.
LREM autorisant dans ses statuts la double-appartenance, Il adhère en 2018 à l'Alliance centriste, un parti qui a rejoint Emmanuel Macron dès le début de son projet présidentiel.
Il devient en «Conseiller auprès du Président chargé de l'innovation territoriale et des bonnes pratiques» au sein du groupe LREM à l'Assemblée nationale[4].
Prises de position
Après la publication en d'un rapport parlementaire sur l'action régalienne de l'État en Seine-Saint-Denis, il affirme : « Je ne crois pas qu'il faille un plan spécifique pour la Seine-Saint-Denis »[5]. Un an plus tard, le Premier ministre Édouard Philippe annonce un plan de renforcement de l'action de l'État en Seine-Saint-Denis[6]. Il déclare alors : « Personne ne dit que les problèmes sont définitivement réglés. Ce ne sont pour autant pas des mesurettes, le gouvernement affiche une ambition inédite pour ce territoire, il faut maintenant attendre les évaluations pour savoir si ces mesures sont suffisantes ou non. Mais il ne faut pas les considérer comme un one-shot, car elles ont évidemment vocation à être durables »[7].
Dans une tribune publiée dans Le Journal du dimanche en juin 2021, avec 63 autres parlementaires, il demande au gouvernement plus de moyens humains et financiers pour lutter contre les violences faites aux femmes[8].