Jean-François Reubell, député des districts de Colmar et Schelestat à l'Assemblée nationale de 1789. Gravure de Franz Gabriel Fiesinger d'après un portrait réalisé par Jean-Urbain Guérin, Bibliothèque nationale et universitaire de Strasbourg.
Jean-François Reubell a une sœur, Françoise Charlotte, et deux frères, François Xavier et Henri, l'aîné qui fera une brillante carrière dans l'armée. Lui-même suit les traces de son père, fait des études de droit à l'Université de Strasbourg, où il a pu croiser en 1771 le futur auteur de Werther, et devient avocat au Conseil souverain d'Alsace en 1775. Sa langue de travail est sa langue natale, le bas alémanique(de)[5], le décret de janvier 1685 imposant le français pour la rédaction des actes n'ayant jamais été appliqué.
Il se marie à une fille et petite-fille de procureur, Anne Marie Mouhat, qu'un soir de 1797 Barras, galant, assimilera à la mère de la patrie en la comparant à Marianne. Bourgeois fortuné, il a vingt-neuf ans, en 1777, quand lui nait le premier de ses deux fils, Jean Jacques. Celui-ci mènera une carrière militaire dans les brisées de son oncle.
Dans sa pratique, il est amené à défendre des Juifs de Berne. Il perd le procès face au Grand Conseil du canton et conservera de la prévention à l'encontre du système judiciaire et politique de la Suisse. Une cause le marquera particulièrement, celle des paysans de Horbourg, près de Ribeauvillé, qu'il défend contre leurs créanciers juifs.
Un de ses clients est la succession de Louis Paul Pinon, vicomte d’Avor et président de la chambre de la Tournelle décédé en 1779 à l'âge de quatre vingt dix ans, qui fut le magistrat qui le premier inculpa Sade, son voisin scandaleux, le . Reubell acquiert de la veuve et des deux fils leur propriété de campagne à Arcueil, un château et son parc situé entre les actuelles gare et rue Marius-Sidobre sur un domaine qui a appartenu à Pierre de Ronsard[6]. L'un des petits-fils, Anne Louis Pinon (1720-1806), marquis de Saint-Georges, est lieutenant général des armées du Roi, et l'autre, Jean Pinon, sera promu général dans l'armée du Rhin alors que Jean François Reubell siègera au Comité de sûreté générale.
Il est le premier, le , six semaines avant le Serment du Jeu de paume, à appeler le Tiers état à se réunir avec les deux autres ordres et à se constituer en Nation. Il est par deux fois porté à la présidence de l'assemblée en tant qu'adjoint, le 1er juin au côté de Dailly, le 8 au côté de Bailly, ce qui lui donne l'occasion de fustiger les protestataires emmenés par le duc de Caylus. Le , il salue la proposition de Sieyès de créer une Assemblée nationale.
La conception de la nationalité et la question des Juifs
Quand la question des droits civiques des Juifs, soulevée une première fois le par l'abbé Grégoire[13] et mise à l'ordre du jour le par le même[14], arrive en débat, à Noël[15], Reubell s'oppose virulemment à la pétition apportée par Berr Isaac Berr, qui appelle à l'émancipation des quelque vingt-cinq à vingt-sept mille Juifs alsaciens et des Trois-Évêchés. Opposé vigoureusement à ses collègues alsaciens sur plusieurs autres points, dont la question de la loyauté des Protestants, il est rejoint sur ces questions[16] par les députés de Strasbourg, Koch, Dietrich et Schwendt. Dans son argumentation, relayée par l'abbé Maury et Mgrde La Fare[17], se mêlent les préjugés antisémites les plus archaïques aux rationalisations de l'époque, qui ont été de dérivées de travaux scientifiques, tels ceux de Petrus Camper, et qui ont été partagées par de nombreuses personnalités éminentes, dont Voltaire, l'usure, la duperie des paysans, l'internationalisme financier, la raceafricaine, le refus héréditaire de se fondre dans la Nation, le séparatisme congénital, la suspicion d'être agents de l'étranger[18]. Il préconise explicitement la prohibition du prosélytisme juif[18].
L'attitude de Reubell relève moins de l'expression d'une hostilité raciste, qu'il démentira sous la Terreur en intervenant auprès d'un commissaire du Comité de salut public[19] en faveur de Juifs alsaciens[20], que d'un souci retors de ménager des intérêts pratiques et de ne pas déplaire à son électorat[11]. Son premier souci est en effet d'éviter le transfert vers l'Allemagne rhénane de créances que détiennent des banquiers juifs[11] sur la moitié des terres agricoles alsaciennes[17]. Ces créances sont pour lui du même ordre que les biens nationaux confisqués à l'Église. Il refuse de sacrifier des considérations qui se veulent naturelles et sont à l'époque tout à fait communes aux principes généraux, rigides et abstraits que lui opposent, avec une bienveillance ambivalente qui ressort des mêmes préjugés, Mirabeau[21], Duport, Clermont Tonnerre et Robespierre[17]. Il loue les principes généreux de ses collègues favorables à l'émancipation mais leur reproche de méconnaître la réalité de la situation en Alsace[22], en particulier la force de l'antisémitisme ambiant[23].
Le point de vue de Reubell et de son groupe de députés, qui invoquent le sentiment sioniste d'une identité nationale juive spécifique[24], préfigure de très près le discours assimilationniste théorisé par Charles Maurras au début du XXe siècle : « (...) comme nous l'espérons nos lois nouvelles en feront un peuple honnête et laborieux (...) »[25]. Sur le fond, ce point de vue est identique à celui de leur adversaire Robespierre, à savoir que le peuple juif souffrirait d'une dégénérescence causée par les persécutions et que son salut passe par le renoncement à être juif, la fusion dans la nation nouvelle : « Les vices des juifs naissent de l'avilissement dans lequel vous les avez plongés; ils seront bons quand ils pourront trouver quelque avantage à l'être. »[17].
Les deux amendements Reubell successifs
À court de contre-vérités et d'interprétations fallacieuses des vœux formulés par les synagogues des Trois-Évêchés, Reubell et son groupe voient arriver le le vote d'un décret qui accorde la citoyenneté à l'ensemble des non catholiques. In extrémis, ils argumentent un problème de constitutionnalité qui ne peut être statué par décret. Leur intervention provoque l'ajout au décret d'un « amendement d'ajournement » pour les seuls Juifs : « Sans entendre rien préjuger relativement aux juifs, sur l'état desquels l'Assemblée nationale se réserve de se prononcer »[26]. Les Sépharades de Bordeaux et Bayonne tel Abraham Furtado, Avignon, le troisième foyer français de judéité hormis Paris, n'étant alors pas encore annexé, perdent provisoirement la nationalité française, qui leur a été spécialement accordée la veille à une large majorité emportée par le plaidoyer de Talleyrand[17].
En marge de la séance, les députés alsaciens, obtiennent de Duport et Target, au bout de deux heures de discussion, un amendement selon lequel la cité française ne peut être accordée « qu'à ceux des individus Juifs qui prêteront le serment civique et qui renonceront par là aux faux privilèges et exceptions introduits jusqu'à présent en leur faveur. » L'« amendement Rewbell », porté par Victor de Broglie, est adopté le lendemain, .
Durant le reste de la Terreur, il se réfugie dans sa province. Toutefois en février et mars 1794, il participe à nouveau au débat de la Convention sur la question coloniale. Il se prononce cette fois ci pour l'abolition de l'esclavage des Noirs et l'arrestation des colons Blancs hostiles au décret du 16 pluviôse an II (). La fonderie de canons d'Indret, élément essentiel du réarmement français, est confiée à un de ses cousins[30].
Du 6 au , il assume la présidence de la Convention nationale. L'assassinat le d'une personnalité richissime, amie du député Jean Debry, est pour Reubell, quitte à favoriser l'impunité des acteurs de la Terreur blanche, l'occasion de dénoncer à la tribune l'anarchie qui règne dans les campagnes du Midi et le passage de certains Jacobins de la résistance armée au braquage[33]. Le est votée une loi antiterroriste.
Il formule un décret qui organise la vente des biens des émigrés par la voie de la loterie et annule les précédentes dispositions, décret adopté le . Cette façon de procéder, évitant la dispersion des biens, leur conserve leur valeur, et, la distribution ne profitant pas à tout le monde, renonce à une utopie d'égalité sociale.
Député au corps législatif le , il en est nommé Secrétaire[36] et est élu directeur dès sa première réunion, le 1er novembre. Il sera président du Directoire[36] près de deux années durant, jusqu'à ce que le Larévellière, coopté pour jouer les potiches, le remplace à cette fonction. Le président est celui des directeurs qui les représente face aux chefs d'état étrangers et signe en leurs noms les documents qui engagent la parole de la France. Chaque directeur s'attribue une partie du territoire national sur laquelle il nomme aux postes, Reubell se réservant le nord-est de la France[37].
Au sein du Directoire, il est chargé des finances, de la justice et de la politique étrangère, domaine dans lequel il s'appuie sur le chef du Bureau diplomatique Bonnier. Doué d'une grande puissance de travail[38], il annote personnellement tous les comptes décadaires des ministres des Relations extérieures successifs, comptes rendus qui ont été institués par la loi du 14 frimaire an II et qui lui résument précisément tous les échanges écrits du ministre avec les agents diplomatiques français et étrangers et avec les autres ministres[39]. Cependant, néphropathe, il est parfois contraint de suspendre son activité, et sa femme lui demande en 1796 de démissionner. Ses collègues profitent pour agir à son insu du fait qu'il se retire presque tous les soirs chez lui, à Arcueil[40].
Sur le plan intérieur et judiciaire, Reubell organise avec ses collègues et le Ministre de la JusticeMerlin la répression contre le jacobinisme, répression qui culmine à la suite de la conjuration de Babeuf et, le , de l'attaque de Grenelle. Il veille personnellement à la déportation en Guyane du précepteur Brotier, lui évitant d'être fusillé. Avec le Ministre de la JusticeLambrechts, il affronte les « Clichiens » et le virage royaliste d'une opinion publique lassée et favorable aux prêtres persécutés. Il fait adopter des dispositions légales qui systématisent la déportation en Guyane, expédient qualifié de « guillotine sèche », et qui visent des conspirateurs tels La Villeheurnois. Le , il donne l'ordre de dresser la liste des Français ayant séjourné dans les villes du Cercle de Souabe occupées par l'armée française onze mois plus tôt.
Le plan rhénan
En , il négocie avec le ministre Lapparent le soutien de la France à la nouvelle République batave. Promoteur de la politique des Frontières naturelles et des républiques sœurs, et donc du parti de la guerre de conquête, favorable à une contre-offensive après l'échec de Mayence, opposé à une paix immédiate avec la Coalition, il estime prioritaire l'annexion de la Rhénanie, qu'il compte obtenir par un échange avec les territoires conquis par Bonaparte au cours de la campagne d'Italie. En parallèle du déroulement de la situation militaire, il mène l'action diplomatique malgré l'obstruction de Barras[42]. La paix est signée en avec le royaume de Naples et en , aux lendemains de la bataille de Rivoli, le traité de Tolentino, qui annexe Avignon et le Comtat Venaissin à la France et impose au Pape son exigence de cesser toute propagande soutenant les contre-révolutionnaires.
Cependant son plan rhénan est bouleversé en par l'« l'infâme traité de Leoben » que Barras reprochera à Carnot[43], chargé des affaires militaires, d'avoir imposé par le fait accompli et qui installe durablement la France en Italie. Durant les négociations, Reubell, désavouant les termes dictés par le directeurCarnot au ministre des Affaires étrangèresTalleyrand, use de son autorité de président et les modifie à l'insu de son collègue[44], sans pouvoir faire plus. Carnot cherchant la paix, Reubell l'anéantissement de l'Autriche, Bonaparte finit par signer le traité sans autorisation formelle. Le front du nord-est doit être dégarni pour faire face aux Autrichiens à Mantoue.
À peine contrarié par la popularité grandissante du jeune général, Reubell conduit toutefois les opérations diplomatiques et administratives avec Talleyrand, malgré le grand mépris qu'il montre pour les manières de celui-ci et qu'il qualifie de « nullité empesée, friponnerie incarnée d'un laquais d'Ancien régime » dépourvu de cœur[45]. Ils réalisent son projet et annexent officiellement à la France les départements réunis de la Belgique ainsi que ceux de la République cisrhénane, soit la rive gauche du Rhin. Reubell y fait nommer un administrateur civil, François Rudler[46], un juriste alsacien.
Simultanément, en , il nomme un parent ambassadeur en Suisse[47] et prend les initiatives qui aboutissent à renverser le gouvernement d'un pays voisin qui soutient les contre-révolutionnaires. L'invasion de la Suisse débute en janvier 1798 par la révolution vaudoise et aboutit en avril à la création de la République helvétique.
Dans la nuit du , Barras fait garder à vue à son domicile Reubell[52], qui est parfaitement averti d'un putsch mais le juge trop risqué[53], et, au prétexte d'un projet d'attentat attribué à Cadoudal, reprend le pouvoir par le coup d'État du 18 fructidor an V avec le concours du général Bonaparte. Paris est cerné par l'armée. Les Tuileries sont occupées. Les conseils sont investis. Le général Augereau, ce « fier brigand »[54], conduit les rafles à travers la ville.
Il n'y a ni privilège, ni maîtrise, ni jurande, ni limitation à la liberté de la presse, du commerce, et à l'exercice de l'industrie et des arts de toute espèce.
Toute loi prohibitive en ce genre, quand les circonstances la rendent nécessaire, est essentiellement provisoire, et n'a d'effet que pendant un an au plus, à moins qu'elle ne soit formellement renouvelée.
Une loi votée le établit pour une année la censure de la presse, prévue par l'article 355 de la Constitution en cas de complot contre la sûreté de l'état. Les élections sont cassées dans quarante neuf départements et les triumvirs retrouvent une majorité, factice mais soutenue par une opinion publique non représentée par le suffrage censitaire. Reubell, en ce sens premier chef d'état moderne, s'appuie en effet sur des relais d'opinion d'une vingtaine de journaux républicains[56], tel L'Historien que dirige Étienne Mejan et qui abrite son protégé, l'élève de feu Lavoisier, Pont de Nemours. Les journaux royalistes sont dix fois plus nombreux[56].
Les élections d'avril 1798 sont favorables au parti directorial mais députent un nombre impressionnant d'opposants de gauche. Reubell, qui souhaite récupérer au nom de la République batave les colonies de Trinquemale et du Cap, laquelle ne sera rétrocédée qu'en 1802 par le traité d'Amiens, œuvre à la rupture de la paix de Campo Formio et la reprise des hostilités[58]. Il est sur le point d'être remplacé par le ministre de la justiceLambrechts, qui a l'avantage d'une réputation d'intégrité[59]. Dans ces circonstances, les craintes d'une contre offensive autrichienne font envisager Reubell d'annuler la campagne d'Égypte. Bonaparte, au cours d'une conversation orageuse dont il se fera le spécialiste, obtient le maintien d'une opération, qui perd là son soutien politique et diplomatique et devient une simple expédition scientifique d'une part, une aventure personnelle d'autre part. Le est forgée une commission parlementaire qui examinent la régularité de l'organisation du scrutin, la loi électorale étant elle-même manipulée par les arrêtés des directeurs[60]. Le 11, nouveau coup d'État, ceux-ci font adopter la loi du 22 floréal an VI, qui invalide cent six députés Exclusifs.
Le , Reubell, qui souffre de calculs rénaux, prend un congé exceptionnel à Plombières, le temps d'une cure. Il y sympathise avec Joséphine Bonaparte, qui éprouve de la considération pour l'homme d'État. Après un séjour dans sa résidence de Sigolsheim, il est de retour à Paris à la mi-septembre. Il fait aussitôt interdire le journal Bien Informé qui, au sujet de cette maladie, a publié un sarcasme de Sieyès évoquant l'alcoolisme[45] : « Il doit toujours prendre quelque chose ! ».
Ses ennemis accourent à la curée d'un homme isolé sur le plan personnel dont l'ironie, la férocité des jugements portés sur ses prochains et l'austérité voire l'avarice sont légendaires. Son impopularité est amplifiée par l'usage de la « cagnotte du Directoire », retenue annuelle sur les émoluments de chaque directeur qui est versée au partant[61] et s'élève dans le cas de Reubell à cent mil francs[62]. En organisant le déménagement d'un des cinq luxueux appartements de fonction du Petit Luxembourg, sa belle sœur fait enlever les meubles mis à sa disposition par la République, ce qui lui vaut une presse désastreuse[63], quand bien même les meubles ont été restitués[64], et une image de « pourri du Directoire »[65] qui sera reprise sans critique par l'historiographie partisane[66] des XIXe siècle et XXe siècle. Sieyès, à la suite du coup d'état du 18 juin 1799, prend sa place au Directoire.
Reubell se retire alors de la vie politique dans sa campagne d'Arcueil, trois kilomètres au sud de Paris. En 1801, il refuse le poste de conseiller d'état ou de préfet que lui offre le Premier Consul, lequel, sans l'aimer, reconnaitra en lui « le seul membre du Directoire qui fût à sa place »[71].
Un mois plus tard, le même fils, qui s'était illustré à la bataille d'Ostrolenka, est promu général. En 1811, Napoléon accorde à la veuve une pension de six mil francs.
Jean-René Suratteau et Alain Bischoff, Jean-François Reubell : l'alsacien de la Révolution française, Steinbrunn-le-Haut, Éditions du Rhin, , 542 p. (ISBN2-86339-105-4).
Dossiers et correspondance politique et privée du ministre Reubell. 1795-1806., fond "Jean-François Reubell", cote 210 AP 1 à 3, Archives nationales, Pierrefitte.
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« Le culte sans doute ne peut être un motif d'être exclu; mais s'il est lié à des principes civils et politiques, incompatibles avec les principes de la société à laquelle vous voulez être admis, cela commence à devenir problématique (...) ce n'est pas moi qui exclus les juifs; ils s'excluent eux-mêmes. »
J. F. Reubell, « Conversation avec le Premier Consul le 3 ventôse an X. », in dir. P. Cottin, La Nouvelle Revue Rétrospective, IX, p. 361-413, Paris, 1904.
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1975 boxing match Thrilla in ManilaDateOctober 1, 1975VenueAraneta Coliseum, Cubao, Quezon City, PhilippinesTitle(s) on the lineWBA, WBC, and The Ring heavyweight titlesTale of the tapeBoxer Muhammad Ali Joe FrazierNickname The Greatest Smokin' JoeHometown Louisville, Kentucky, US Beaufort, South Carolina, USPre-fight record 48–2 (34 KO) 32–2 (27 KO)Height 6 ft 3 in (191 cm) 5 ft 11+1⁄2 in (182 cm)Weight 224+1⁄2 lb (102 kg) 215+1⁄2...
Xabi Alonso Xabi Alonso bersama Bayern Muenchen pada tahun 2017Informasi pribadiNama lengkap Xabier Alonso Olano[1]Tanggal lahir 25 November 1981 (umur 42)Tempat lahir Tolosa, SpanyolTinggi 1,83 m (6 ft 0 in)[2]Posisi bermain Gelandang BertahanInformasi klubKlub saat ini Bayer Leverkusen (pelatih)Karier junior Antiguoko Real SociedadKarier senior*Tahun Tim Tampil (Gol)1999–2000 Real Sociedad B 39 (2)1999–2004 Real Sociedad 114 (9)2000–2001 → Eibar (...
Balai Bahasa Provinsi Sumatera BaratGedung Balai Bahasa Provinsi Sumatera Barat, PadangInformasi lembagaKantor pusatJalan Alai, Cupak Tangah, Pauh, Kota Padang, Sumatera BaratPejabat eksekutifKepala, Dr. Eva Krisna, M.Hum.Departemen indukBadan Pengembangan dan Pembinaan BahasaSitus webbalaibahasa-sumbar.kemdikbud.go.id Balai Bahasa Provinsi Sumatera Barat, atau disebut juga Balai Bahasa Sumatera Barat, berkedudukan sebagai unit pelaksana teknis (UPT) di lingkungan Kementerian Pendidikan, Kebu...
Christianity-related events during the 4th century See also: Christianity in the ante-Nicene period and Christianity in the 5th century For broader coverage of this topic, see Christianity in late antiquity. Spread of Christianity to AD 325 Spread of Christianity to AD 600 Christianity in the 4th century was dominated in its early stage by Constantine the Great and the First Council of Nicaea of 325, which was the beginning of the period of the First seven Ec...
Overview of the culture of the Ainu This article or section should specify the language of its non-English content, using {{lang}}, {{transliteration}} for transliterated languages, and {{IPA}} for phonetic transcriptions, with an appropriate ISO 639 code. Wikipedia's multilingual support templates may also be used. See why. (March 2022) Ainu culture is the culture of the Ainu people, from around the 13th century (late Kamakura perio...
Commune in Bourgogne-Franche-Comté, FranceBagnotCommuneThe Church of the NativityLocation of Bagnot BagnotShow map of FranceBagnotShow map of Bourgogne-Franche-ComtéCoordinates: 47°03′36″N 5°04′35″E / 47.06°N 5.0764°E / 47.06; 5.0764CountryFranceRegionBourgogne-Franche-ComtéDepartmentCôte-d'OrArrondissementBeauneCantonBrazey-en-PlaineIntercommunalityRives de SaôneGovernment • Mayor (2020–2026) Mary-Claude Thurillat[1]Area112.5...
Johann Martin VeithBornJohann Martin Veith9 May 1650Schaffhausen, SwitzerlandDied14 April 1717 (aged 67)Schaffhausen, SwitzerlandNationalitySwissKnown forPaintingMovementBaroque Johann Martin Veith (9 May 1650 – 14 April 1717) was a Swiss painter in the Baroque style, known for historical, Biblical and mythological scenes. Life and work Johann Martin Veith studied art in Rome and Venice for ten years, after which he went with the Prince Radziwiłł to Warsaw, where he work...
1950s supersonic intercontinental cruise missile Navaho missile on launch pad The North American SM-64 Navaho was a supersonic intercontinental cruise missile project built by North American Aviation (NAA). The final design was capable of delivering a nuclear weapon to the USSR from bases within the US, while cruising at Mach 3 (3,700 km/h; 2,300 mph) at 60,000 feet (18,000 m) altitude. The missile is named after the Navajo Nation. The original 1946 project called for a re...
1966 filmThe Spy Who Loved FlowersDirected byUmberto LenziWritten byUmberto LenziProduced byFortunato MisianoStarringRoger BrowneCinematographyAugusto TiezziMusic byAngelo Francesco Lavagnino Armando TrovajoliRelease date 21 December 1966 (1966-12-21) (France) Running time93 minutesLanguageItalian The Spy Who Loved Flowers (Italian: Le spie amano i fiori, also known as Hell Cats) is a 1966 Italian/Spanish co-production science fiction-Eurospy film written and directed by Um...