L'architecture du Touquet-Paris-Plage est particulièrement diversifiée et inventive. Anglo-normandes, rococo, baroques, les villas reflètent l'immense créativité des architectes, ainsi de 1888 à 1910 : Billoré, Guillemin, Lesueur, Ridoux, Bienaimé, Holt, Cordonnier… puis de 1920 à 1936 : Jourde, Hoyez, Martinet, Bluysen, Quételart, Debrouwer, Drobecq, Dufossé, Pouthier, Boissel, Bérard, Bloch, Bical[PH 1]….
Il est également l'architecte d'un groupe de chalets situés rue d’Étaples, pour M. Vibert, président du syndicat des propriétaires : de gauche à droite, lorsqu'on regarde le groupe, Yvonne et Maurice, Louis XV, Richelieu, Charles IX, Claire-Auguste[ÉY 1]; du groupe de trois villas mitoyennes Pierrette-Lisette-Micheline[2] et du groupe Néréides-Dryades-Naïades (boulevard du Docteur Jules Pouget (anciennement boulevard de la Mer)[PC 11],[2].
Il est également l'architecte de plusieurs villas, dont Marthe et Marie, construites en 1887. Elles représentent le « type accompli des chalets en bois ». Situées entre la rue Saint-Amand et la rue de la Paix, elles appartiennent à Charles Herbert, artiste peintre qui en décore l'intérieur. Dans la première, les peintures murales représentent des études de cigognes et des pies sur cretonne rouge ; dans la seconde, ce sont des interprétations à l'huile, genre plein air, sur des sujets locaux[ÉY 2].
Arthur Blomfield Jackson (1868-1951), Fellow of Royal Institute of British Architects (FRIBA), est l'architecte britannique qui a réalisé les plans, en 1909, du temple protestant situé avenue du Général-de-Gaulle, à côté du lycée hôtelier aujourd'hui. Ce temple est détruit par les bombardements alliés lors de la Seconde Guerre mondiale, il est reconstruit et inauguré au printemps 1964. Aujourd'hui, il a été transformé en salle de sports communale.
Gustave Ernest Maurice Boistel naît le dans le 9e arrondissement de Paris du mariage de Pierre Désiré Alphonse Boistel, entrepreneur de peinture, et de Jeanne Eugènie Barbier. Il épouse Berthe Nicolas le à Colombes[AD 5].
Jacques Annet Hippolyte Bouchardy naît le dans le 10e arrondissement de Paris, fils d'Henry Jules Edgard Bouchardy, négociant, et de Maria Blanche Pierrette Léonarde Bouligaud. Il rédige sa thèse en 1935, en deux volumes, sur l'Évolution et aménagement de la région du Touquet-Berck[8]. Il est prisonnier de guerre pendant la Seconde Guerre mondiale[9]. Il épouse Marie-Louise Jabain (1910-1983)[10] le à Guéret dans la Creuse.
Il est architecte de la Reconstruction[11] et architecte au Touquet-Paris-Plage de plusieurs immeubles du front de mer, Dolce Vita (1961), La Caravelle (1962), Arcadia (1966), Pacific (1971), Grand Large (1973), Nevada (1975), Marie-Antoinette (1975)[12].
il est l'architecte, en 1975, de la chaumière Woodley à Neufchâtel-Hardelot pour M. Joseph Lesur[13].
Albert Alphonse Boursier naît le , à Bruay-en-Artois, du mariage de Charles Alphonse Christophe Boursier, ajusteur, et de Jeanne Marie Ghislaine Leblan. Il épouse Delphine Beugnet le à Liévin[AD 8].
En 1931, ils sont domiciliés rue des Brebis à Grenay et ont une fille, Charline[AD 9].
Albert Alfred Léon Bouvy, architecte, né le à Roubaix et mort le à Lille[AD 11]. C'est, compte tenu de l'âge, cet architecte qui est l'associé de Pers et Ferlié à leur cabinet du Touquet-Paris-Plage dans les années 1920[14], père du suivant ;
Albert Paul Marie Joseph Bouvy naît le à Roubaix du mariage d'Albert Alfred Léon Bouvy, architecte, et de Marie Watel. Il épouse, en premières noces, Madeleine Jacquot le à Nice, et, en secondes noces, Yvonne Adrienne Juliette Carrier le dans la même ville[AD 12]. Il meurt le à Nice[15].
Eugène Pol Briaux, naît le à Bar-le-Duc du mariage de Gabriel Émile Briaux, marchand de cuirs et de Marie Joséphine Auger. Il épouse Germaine Irma Dobigeon le à Nantes[AD 13].
Jacques Bully est l'architecte du « Domaine de Whitley » construit en 1995 et sis avenue François-Godin dans les dunes. C'est un lotissement golfique à l’américaine, composé d’habitations unifamiliales et de grandes villas découpées en appartements[18].
C
Charles Cailliez
Charles Cailliez est l'architecte de la villa Thala Dan à l'angle des allées des Rossignols et des Fauvettes[VBT4 1].
Marcel Canar
Marcel Canar est l'architecte de la villa Killucru sise au no 10 boulevard d'Artois et de la villa Les Rocailles au no 952, avenue du Golf.
Pierre-Louis Carlier, architecte à Roubaix, réalise son premier projet au Touquet-Paris-Plage avec la villa TARA sise avenue Fernand-Recoussine. Elle est construite, en 2003, sur un terrain extrait du domaine de la villa Banco[VBT4 2].
Raoul Emmanuel Choppin d'Arnouville naît le , à Neuilly-sur-Seine, du mariage de Jacques Ernest Choppin d'Arnouville, ancien officier et de Julie Marie Blondeau. Il épouse Marcelle Désirée Cordier (1889-1958) le à Isques dans le Pas-de-Calais.
Lors de la naissance de leur fille Denise, ils sont domiciliés au 6 rue Jeanne à Berck[AD 15].
Jean Elie Marie Louis Joseph Claude Clément Chorein naît le à Saint-Étienne du mariage de Louis François Marie Chorein, comptable, et de Marie Antoinette Barberet.
Il épouse Henriette Herminie Scholer le à Pomponne.
Il s'est associé, à partir de 1906, avec le britannique Stanley Hinge Hamp (1877-1968), au sein du cabinet « Collcutt and Hamp », et ils réaliseront les plans de quelques villas au Touquet-Paris-Plage[25],[26].
Clément Henri Victor Coquenpot naît le à Saint-Germain-en-Laye du mariage de Clément Valentin Henri Joseph Coquenpot, médecin vétérinaire, et de Lucie Marguerite Louise Desestre. Il épouse, en premières noces, Lucie Florence Andrée Desvilles, le dans le 8e arrondissement de Paris, et, en secondes noces, Modesta Caroline Maria Alberta Schwarzenberg, le dans le 16e arrondissement de Paris dont il divorce le .
Son nom est cité dans la presse, en 1922, dans une histoire de fraudes aux dommages de guerre incriminant Léon Armand, constructeur spécialiste de Valenciennes. Clément Coquenpot y a dénoncé des pratiques frauduleuses de majoration de dommages de guerre, de présentations de faux mémoires et factures fictives relatives à la construction d'une usine non existante[28].
Louis Joachim (P. ?) Darroquy né en 1896 à Bilbao et Pierre Léon Krick né le à Bourg-la-Reine et mort le à Nice[31], il se marie au Touquet-Paris-Plage le avec Lucile Suzanne Viéville. Tous les deux travaillent chez Louis Quételart en 1926[AD 21].
Il est admis à l’école régionale d’architecture de Lille où il est l'élève de Robert Clément et André Lys et en sort diplômé le . Il est architecte à Arras[32].
Il est l'élève de Jean-Paul Guichard et Robert Lesage à l'École du bâtiment à Paris puis l'élève d'Alphonse Defrasse à l'école des Beaux-Arts de Paris. Il est diplômé le . Il est architecte à Alger ; en 1923, il est associé à Jean Pers, René Perrey et Henri Jacobi ; en 1928, associé à Jean Pers, le duo a mis au point un type de villa régionaliste suivant deux variantes[36].
De 1934 à 1951, il est architecte du gouvernement général de l'Algérie où il réalise, en association avec le lauréat du concours, l'agence d'architecture « Les Frères Niermans », l'hôtel de ville d'Alger.
En collaboration avec les architectes Daniel Gilot et Jean Bureau, il contribue à la reconstruction de la ville.
Il meurt le .
Au Touquet-Paris-Plage, il est l'architecte, en 1959 et 1960, de la villa La Duneavenue de Verdun ainsi que d'une maison, en 1962, rue Joseph-Duboc[39].
Louis Gobert est l'architecte de la ville et des hospices de Montreuil qui réalise les plans du premier bien collectif des habitants du hameau Paris-Plage, il s'agit de la première école mixte, située rue de Londres, qui ouvre ses portes en [43].
Louis Jules Alfred Gobert naît le à Montreuil dans le département du Pas-de-Calais, fils de Charles Alfred Gobert, marchand faïencier, et d'Aimable Honorine Émilie Protin. Il épouse en premières noces, Louise Marie Cailleux, le à Montreuil, ils ont deux garçons, Alfred et Émile, et, il épouse en secondes noces, Renée Marie Leguy, le à Berck[AD 25],[AD 26].
En 1899, lors de la naissance de son fils Émile, il est architecte départemental adjoint du Pas-de-Calais, architecte de la ville et des établissements de bienfaisance de Montreuil[AD 27].
Ferdinand Gombeau est l'architecte de la rénovation, vers 1911, de la villa Alexandre.
Ferdinand Raphaël Gombeau naît le , dans le 11e arrondissement de Paris, du mariage de Marie Adrien Gombeau, menuisier, et de Marie Zoé Rudel. Il épouse Adèle Louise Hélène Prignot le dans le 11e arrondissement de Paris. Il exerce, le jour de son mariage, la profession de dessinateur et est domicilié au 3, avenue du Garde-Chasse aux Lilas[AD 29].
En 1888 à Paris-Plage, il a le poste d'architecte officiel du château d'Alphonse Daloz[ÉL 3], il réalise quelques constructions toutes sises sur le boulevard de la Mer (Docteur Jules-Pouget aujourd'hui), Villa Sainte Barbe, La Cigale et la Fourmi, le Saint-Raphaël, la villa Colibri, construite en 1890 à l'entrée de la rue Saint-Alphonse (devenue rue Léon-Garet) depuis le boulevard de la Mer (Docteur Jules-Pouget aujourd'hui). Elle est agrandie pour le bijoutier parisien Piel par l'architecte Anatole Bienaimé[ÉY 4]. Il réalise également la villa au no 6 rue de Bruxelles.
Il est élevé de l'école régionale d'architecture de Rouen, admis en deuxième classe le et diplômé de l'École des Beaux-Arts (EDBA)[45].
En 1931, lui et sa famille sont domiciliés, place des États-Unis, à Stella-Plage[AD 35].
Bibliographie
Muriel Petit-Kończyk, Robert Hideux : Architecte à Stella-Plage, Éditions de l'Étoile (ISBN979-10-415-0233-2).
Alice et Jacques Hoffman
Alice et Jacques Hoffman, maîtres d'œuvre, venant de Béthune, installent leur bureau, en 1967, dans la station balnéaire. Jacques Hoffman, en 1981, est agrémenté par le ministère de la Culture pour son inscription à l'ordre des architectes. Le couple réalise, jusqu'en 2013, une quarantaine de villas dans la commune[VBT3 1].
La villa Les Orchidées est alors « la plus élégante villa du boulevard de la Mer (boulevard du Docteur-Jules-Pouget aujourd'hui) ». Elle est construite par l'Entreprise Dieuset, pour un industriel lyonnais. L'intérieur est habillé de pitchpin par Verdier. La flèche au-dessus de la tourelle culmine à près de 30 m. Cette tourelle abrite le minuscule cabinet de travail de l'hôte et, au-dessus, le cabinet de toilette desservant les deux grandes chambres du premier étage[ÉY 5].
Philippe Hornoy
Philippe Hornoy est l'architecte de la villa Tempo construite en 2017 dans le quartier de l'Atlantic et de l'immeuble du 12, rue de la Paix[VBT4 8].
Michel Kamenka est l'architecte de la villa Anamaris située, avenue de Deauville, sur la dune Sanguet.
Michel Kamenka naît le à Rostov-sur-le-Don en Russie. Il est naturalisé français le , ainsi que son épouse, Hilda Edith Victorine Hann née le à Maribor. Par decret du du régime de Vichy, ils se voient retirer la nationalité française, cette procédure est annulée par l’ordonnance du . Ils habitaient au no 14 rue de la Vaneau[47],[48],[49].
Jacques Labro, né le [50], marié avec Monique Gridaine, fille de l'architecte Maurice Gridaine, est l'architecte, assisté par ses confrères Philippe Sicardon et Christian Auvrignon, en 1976, du hameau de Mayvillage[18], avenue François-Godin. Jacques Labro est le frère de Philippe Labro.
Armand Lemay[51] est l'architecte de la résidence du Phare sise au no 109 avenue des Phares et de l'immeuble, construit en 1953, sis au no 14, rue de Bruxelles.
Il naît le à Lille, fils d'Armand Lemay (1901-1957), architecte, lui-même fils d'Armand Lemay (1873-1963) architecte à Lille[52].
Xavier Lenfant
Xavier Lenfant
Plaque apposée sur la villa Saint-Georges au Touquet-Paris-Plage.
En 1893, il obtient les deux premiers prix, avec Jacques Eugène Édouard Laillet[57],[58], ingénieur civil, du concours ouvert par la ville de Médéa pour les projets d'un marché couvert et d'un groupe scolaire[59].
M
Charles Mac Corkell
Charles Mac Corkell est l'architecte de la villa Les Marguerites, sise au 337 allée des Rossignols, réalisée en 1924. Cette villa connaît une extension, en 2004, réalisée par l'architecte touquettois Frédéric Quételard[60].
Il est vice-président général de la fédération départementale des anciens combattants du Pas-de-Calais, président de la mutuelle retraite du combattant du Pas-de-Calais, président de la section cantonale des pupilles de la Nation du canton de Carvin
Georges Marcelin et Jacques Joannon-Navier sont les architectes de la villa sise à l'angle nord-ouest de l'allée des Fauvettes et de l'allée des Mésanges. La plaque est située sur le pilastre droit de la barrière d'entrée.
Amédée Denis Milvoy (1860-1929) est un architecte d'Amiens, il est président de la société des architectes de la Somme, vice-président de l'union syndicale des architectes français, architecte honoraire des monuments historiques et ancien président de la société des antiquaires de Picardie[AD 40].
Jean Pers naît le dans le 6e arrondissement de Paris du mariage d'Honoré Lucien Pers, architecte, et d'Henriette Nelly Emmel. Il épouse, en premières noces, Cécile Marie Malvina Amalos le dans le 14e arrondissement de Paris, puis en secondes noces, Yvonne Élisa Antoine Barrière, le dans le 5e arrondissement de Paris.
Il est l'architecte des deux villas jumelles et mitoyennes Marienthal et Rosatis[2] et l'architecte de la transformation de la villa Le Courlis : l'ancien chalet fait de silex et de robages, par l'application d'un enduit de ciment qui reproduit des lignes d'un genre gothique simplifié[2].
Il est également l'architecte en 1910 de la villa Nirvana(avenue du Château)[PH 1] et de la Graziella qui devient en 1927 l'hôtel Bristol, après plusieurs agrandissements et surélévation, dus aux architectes Chevalier et Picard[PH 3],[3].
Louis-Michel Quételard (1927-2006)[65], architecte, fils de Louis Quételart. Il conçoit, avec son frère Pierre, le projet de la nouvelle digue avec ses parkings, ses trois patios et ses 761 cabines, inaugurée en 1960[VBT3 1].
Il est l'architecte de la Thalassothérapie construite en 1974 et de la chaumière Le Boucarou, construite dans les années 1960, sise avenue des Mille-Agréments[VBT3 1].
Pierre Quételard
Pierre Louis Robert Quételard (1924-2005)[66], architecte, fils de Louis Quételart. Il conçoit, avec son frère Louis-Michel, le projet de la nouvelle digue avec ses parkings, ses trois patios et ses 761 cabines, inaugurée en 1960[VBT3 1].
Louis Quételart (1888-1950), invente le « style touquettois moderne » caractérisé par de vastes toitures, des doubles pignons, des retombées d'arcs sans piedroits, des oculi…
Il est l'auteur des fameux bancs verts et blancs, dans lesquels sont intégrées des jardinières de chaque côté, bancs que l'on retrouve sur la digue et dans toutes les avenues en forêt[JM 6],[2].
Il est l'architecte :
du bâtiment de l'aéroport, du cinéma « Le Normandy »[3], du nouveau phare[JM 7] et du nouveau plongeoir de la piscine, de L'hôtel Scampolo (boulevard de la Mer)[3],[JM 8], du magasin « Galeries du Ménage » (rue de Paris)[3];
Léopold Joseph Raquet naît le à Amiens du mariage de François Léonard, menuisier, et de Marie Flore Cornette. Il se marie, le à Amiens, avec Mathilde Julie Marie Violette[AD 42],[AD 43].
En 1897, il remporte, pour la section d'Amiens, le premier prix au concours des élèves architectes organisé par la société des architectes du Nord de la France[70].
Gaston Charles Franck Scaténa[72] naît le dans le 18e arrondissement de Paris, du mariage de Louis Charles Ali Scaténa et de Jeanne Virginie Marguerite Blanche Berthe Rosselloty, marchands merciers au Tréport. Il se marie avec Adrienne Didiot le dans le 12e arrondissement de Paris. Il meurt le à Portiragnes[AD 44],[AD 45].
Juliette Stolz, du cabinet Stolz Architecture, touquettoise d'origine, est l'architecte de la villa Les Tchanquées, construite en 2019 et de la villa Lumière, toutes deux sises côte à côte allée des Chèvrefeuilles[VBT4 14].
Autres architectes installés au Touquet-Paris-Plage
Les architectes listés ci-dessous figurent dans les différents annuaires et journaux du Touquet-Paris-Plage édités avant la Seconde Guerre mondiale.
A. Brière
A. Brière, en 1905, est installé au chalet Le Bijou, rue de Paris au Touquet-Paris-Plage, et à Boulogne-sur-Mer, au no 55 du Boulevard Daunou[78],[79].
E. et Georges d'Avrange du Kermont. Georges Florentin Ernest d'Avrange du Kermont naît le à Douai, fils de Joseph Auguste Ernest d'Avrange du Kermont, négociant, et de Joséphine Victorine Sylvestre.
Lors de sa période militaire, en 1898, où il a pour profession sculpteur sur bois, il est domicilié chez ses parents, au no 17 rue Séguier dans le 6e arrondissement de Paris[AD 47].
René William Maeder, architecte DPLG et DPLTB, né le à Delémont en Suisse, fils de William Ernest Maeder et de Corinne Elwire Thièche. Il épouse, le à Bruay-en-Artois, Suzanne Eugènie Marie Joseph Hoguet, né le à Bruay-en-Artois[AD 52],[AD 53],[81].
Richard Klein, Les villas balnéaires au Touquet-Paris-Plage : années 50-60-70, t. 3, Le Touquet-Paris-Plage, Les éditions du Passe-Temps, , NP (ISBN2-9517563-6-4)
↑Richard Klein, Les villas balnéaires au Touquet-Paris-Plage : années 50-60-70, t. 3, Le Touquet-Paris-Plage, Les éditions du Passe-Temps, , NP (ISBN2-9517563-6-4)
↑Fernand Buisset, biographie rédigée par Marie-Laure Crosnier Leconte : Institut national d’histoire de l’art [1].
↑Société académique de Paris-Plage, Mémoires de la Société académique de Paris-Plage 1911 : sixième année, L. Delambre-Deroussent Paris-Plage et Montreuil, 71 p., p. 64.
↑Source Alain Holuigue, secrétaire perpétuel de la Société académique du Touquet-Paris-Plage, plans de l'hôtel Alexandra, signés E. Chorein et constructeur entreprise Plée et Caron, consultés la mairie du Touquet-Paris-Plage
↑René Champly, Nouvelle encyclopédie pratique du bâtiment et de l'habitation, vol. 15, Paris, 1910-1914, 139 p. (lire en ligne), p. 115.
↑ a et bAnnuaire des architectes : France, Afrique du Nord, colonies : extrait de l'Annuaire du bâtiment et des travaux publics Sageret, Paris, , 132 p. (lire en ligne), p. 52.
↑Société académique du Touquet-Paris-Plage, Mémoires de la Société académique du Touquet-Paris-Plage Pas-de-Calais 1997-1999, Le Touquet-Paris-Plage, édition Auréoline, 18 allée Georges Brassens, 62520 Le Touquet-Paris-Plage, , page 51 écrits de Jacques Garet.
↑« Officier d'Académie », Journal officiel de la République française. Lois et décrets, no 77, , p. 2347 (lire en ligne, consulté le ).
↑Salon des artistes français, Le Salon 1894 : Explication des ouvrages de peinture et dessins, sculpture, architecture et gravure des artistes vivans…, vol. Architecture, Paris, (lire en ligne), p. 340 (no 3941-3942).
↑Les éditions du passe-temps, Les villas balnéaires au Touquet-Paris-Plage, t. 4, Le Touquet-Paris-Plage, Les éditions du passe-temps, , 93 p. (ISBN2-9517-5639-9), p. 66.
↑Société académique de Paris-Plage, Mémoires de la Société académique de Paris-Plage 1910 : cinquième année, L. Delambre-Deroussent Paris-Plage et Montreuil, 59 p., p. 47 et 48.