Cette voie porte le nom du saint patron d'Amand Tétu, employé d'Alphonse Daloz, créateur de la station.
La rue Saint-Amand comprend plusieurs bâtiments remarquables (inventaire des monuments historiques, inventaire général du patrimoine culturel) ou intéressants par leur intérêt architectural ou historique.
Localisation
La rue Saint-Amand est l'une des rues qui relient le front de mer au boulevard Daloz. Elle est située dans le lotissement défini par le géomètre Raymond Lens.
Lors des très grosses pluies d', le bas de cette rue, près du boulevard Daloz, a été inondée[1].
Côté impair
Début de la rue Saint-Amand à l'intersection avec le boulevard Jules-Pouget
1 - (entrée au 87, boulevard Jules-Pouget) Le Royal, immeuble construit en 2001 sur les plans de l'architecte Patrick Vanhems, à la place de la villa Le Royal[2]. Cet immeuble comprend 24 appartements en copropriété[3].
39 - petit immeuble construit en 1997[I 4]. Il comprend 11 appartements en copropriété[10].
41 -
43 - Résidence Roi Baudouin, ravalement en 2021, le nom a alors disparu
45 - villa
Intersection avec la rue de Moscou
47 - Résidence Azur Eden[11], construite en 1926[12].
49 - villa Château de sable, peinte en gris.
51 - villa dont le nom Pompéia a disparu après ravalement, Verdier entrepreneur
53 - immeuble Le Mozart, construit en 1992-1993[I 5] à la place des villas Ma Miche et Vert Logis. Il comprend 18 appartements en copropriété[13].
55 - villa construite en 1968.
57 - (entrée eu 84, boulevard Daloz) villa Les Trois cailloux, nommée ainsi car les propriétaires habitaient rue des Trois cailloux, à Amiens.
Fin de la rue Saint-Amand à l'intersection avec le boulevard Daloz
Côté pair
Intersection avec le boulevard Jules-Pouget
2-4-6-8 - Immeuble Le Pélican[11], construit en 1972[I 6] à la place de la villa Le Pélican construite en 1890[14]. Cet immeuble comprend 26 appartements en copropriété[15].
10 - villa construite sur les plans de l'architecte Anatole Bienaimé (plaque sur la façade).
18-20-22 - villa Rihiveli construite sur les plans des architectes Arsène Bical et Albert Pouthier (plaques sur la façade)[16]. C'était un hôtel-restaurant exploité sous le nom de Touquet Pension à partir du [17].
Médiathèque (entrée au 118, rue de Londres). Ce bâtiment, réuni à celui de l'ancienne école Jean de La Fontaine accueille depuis 2011 la médiathèque[18].
Intersection avec la rue de Londres
28 - (entrée au 93, rue de Londres) immeuble Le Mascaret[11] - Commerce au rez-de-chaussée : CIC (ex Banque Scalbert-Dupont).
30 - commerce Poissonnerie de la Poste dont le nom était visible sur la façade jusqu'aux travaux de ravalement en 2022.
32 - (entrée au 102, rue de Metz) villa Rose des Alpes[11].
Intersection avec la rue de Metz
34 - (entrée au 199, rue de Metz) immeuble construit en 1902[I 7]. Commerces au rez-de-chaussée : Rougegorge (et avant : Chocolats Patrick Hermand). Le Touquet Athletic Club Gymnastique y a son siège.
34 bis - accès à la villa Amlapura[19] et à l'arrière de la boulangerie Sophie.
36 -
38 -
40 - Le bâtiment bas était utilisé par les ateliers de stockage du casino Partouche. En 2024, une réhabilitation de ce bâtiment et une extension par surélévation est en cours.
42-44-46 - petit immeuble construit en 1969 à la place de trois villas[20]. Cet immeuble comprend six appartements en copropriété[21].
42 - villa Pouf
44 - villa Paf
46 - villa Pif
48 - L'atelier 48, atelier de l'artiste Pascale Sensey[22].
50 - (entrée au 114, rue de Moscou) villa Plaisance[11]. Cette villa a été transformée en trois appartements en copropriété[23].
Intersection avec la rue de Moscou
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54 -
56 -
58 - villa La Pastorale, construite en 1925[I 8], renommée Beatrix après l'agrandissement et la rénovation de 2022-2023. Au second étage, a été installé en 2023 un balcon en bois identique à ceux des villas sises 50-58, boulevard Daloz.
64 - résidence Saint-Amand[11]. Cet immeuble comprend huit appartements en copropriété[24].
66 villa Spontini, petit immeuble construit à la place de deux villas, dont celle du n°88 qui avait été construite après guerre après la destruction lors du bombardement du des trois villas en bordure du boulevard Daloz : Hériodade, Parsifal et Coppelia.
Fin de la rue Saint-Amand à l'intersection avec le boulevard Daloz