Cet article est une ébauche concernant la Résistance française et la presse écrite.
À l'issue de la Seconde Guerre mondiale, un certain nombre de journaux français furent saisis pour cause de collaboration avec l'occupant allemand, en vertu de la loi du 11 mai 1946[1].
Le plus souvent, l'équipe de rédaction changea et les moyens d'imprimerie furent donnés à des résistants. Parfois le titre, souvent très ancien, s'arrêta.
Sont concernés :