Le Boulou est une commune urbaine qui compte 5 396 habitants en 2022, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'unité urbaine du Boulou et fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan. Ses habitants sont appelés les Boulounencqs ou Boulounencques.
La superficie de la commune est de 1 442 hectares. L'altitude varie entre 55 et 363 mètres[6].
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[7].
Hydrographie
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Le Boulou est notamment traversé par le Tech, fleuve côtier prenant sa source dans les Pyrénées près de la frontière avec l'Espagne et se jetant dans la mer Méditerranée près de Elne. Par ailleurs, la Rivière de Maureillas se jette dans le Tech au niveau du Boulou.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 841 mm, avec 6,4 jours de précipitations en janvier et 3,5 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Vivès à 5 km à vol d'oiseau[10], est de 15,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 669,2 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensée sur la commune[17] :
la « vallée du Tech de Céret à Ortaffa » (611 ha), couvrant 10 communes du département[18] et deux ZNIEFF de type 2[Note 4],[17] :
le « massif des Albères » (10 837 ha), couvrant 10 communes du département[19] ;
la « rivière le Tech » (933 ha), couvrant 14 communes du département[20].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 au Boulou.
Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Au , Le Boulou est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2].
Elle appartient à l'unité urbaine de Le Boulou[Note 5], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[I 3],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 4],[I 5].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (39 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (46,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
zones agricoles hétérogènes (32,1 %), forêts (20,7 %), zones urbanisées (19 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (11,9 %), cultures permanentes (6,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,8 %), mines, décharges et chantiers (1 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin du Tech[24].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs[25]. Une cartographie nationale de l'aléa retrait-gonflement des argiles permet de connaître les sols argileux ou marneux susceptibles vis-à-vis de ce phénomène[26].
Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques inondations, mouvements de terrains et feux de forêts[27].
Carte des zones inondables.
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des argiles.
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières et ferroviaires importantes et la présence d'une canalisation de transport de gaz. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[28].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune du Boulou est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[29].
le , une personne connue sous le nom de Sundurla, ainsi que son fils Guimara, s'engagent à donner à l'église d'Elne des biens sis à Ursigà (Ursigano) au Volo (ad ipso Volone).
À la fin du XVIIe siècle, Bernard de Kennedy, catholique originaire d'Irlande et arrivé en France avec la suite de Jacques II d'Angleterre, s'établit au Boulou et obtient la naturalisation française de la part de Louis XIV. Son petit-fils Côme de Kennedy devient co-seigneur engagiste du Boulou à partir de 1755. Joseph de Kennedy, fils de Côme, est seigneur du Boulou au moment de la Révolution française. Sa maison sert de quartier général au général Antonio Ricardos lors de la première bataille du Boulou gagnée par les Espagnols en 1793. Cela lui vaut d'être guillotiné après un procès expéditif le , au lendemain de la deuxième bataille du Boulou, victoire française cette fois-ci[33].
La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
Évolution de la population
1355
1359
1365
1378
1424
1470
1515
1553
1643
139 f
158 f
139 f
93 f
178 f
34 f
38 f
41 f
12 f
Évolution de la population, suite (1)
1709
1720
1730
1755
1765
1767
1774
1789
-
96 f
127 f
116 f
129 f
300 H
583 H
116 f
148 f
-
(Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN2-222-03821-9))
Démographie contemporaine
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[45].
En 2022, la commune comptait 5 396 habitants[Note 7], en évolution de −4,19 % par rapport à 2016 (Pyrénées-Orientales : +3,92 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Le Boulou est une ville thermale. Longtemps célèbre pour son eau a propriété curative dite « Eau du Boulou » la production est aujourd'hui stoppée depuis le début de l’été 2000[55].
La commune possède un cabinet médical, un cabinet de psychologue, un cabinet de sophrologue et d'hypnothérapeute et deux pharmacies (une au centre-ville, l'autre près du centre médical)[réf. nécessaire].
Le club est fondé le . Le club a souvent varié passant du Rugby à XV au Rugby à XIII. Le club fusionne en 2017 avec le club Sorède-Albères afin de créer l’Entente Le Boulou Sorède.
Historique
De 1921-1934, c’est un club de Rugby à XV. À la suite du départ de François Noguères, Martin Serre et Aimé Bardes, il passa au Rugby à XIII de 1935 à 1940. Cependant, après l’interdiction du rugby à XIII par le régime de Pétain, il retourna au rugby à XV de 1940 à 1946. Une fois le rugby à XIII de nouveau autorisé, il revint a celui-ci de 1946 à 1950. Entre 1950 et 1970, le club variait entre le XV et XIII, jouant parfois les 2 saisons où aucune en fonction des années. On peut juste noter qu’en 1968, le club était un club de rugby à XIII. C’est en 1971 que le club se fixa en Rugby à XV. En 1989, le club devient Champion de France de rugby à XV de 2e série, en battant l’équipe landaise de l’Entente Lesperon/Onesse sur le score de 22-19. Le club effectua sa saison 2010-2011 en Fédérale 3, puis avec 3 victoires pour 19 défaites, il rejoignit la Régionale 1 où ils s’imposèrent en battant le RC Les Boucles de la Marne[Note 8] 40 à 12. Le club marqua donc son retour en Fédérale 3 pour la saison 2012-2013. Lors de la saison 2013-2014, le club atteint les trente-deuxième de finale, où ils sont vaincus par la Jeunesse olympique pradéenne Conflent Canigou rugby. La saison suivante (2014-2015) se conclut par la relégation du club en Régionale 1[59],[60],[61],[62].
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 2 860 personnes, parmi lesquelles on compte 70,6 % d'actifs (57,2 % ayant un emploi et 13,4 % de chômeurs) et 29,4 % d'inactifs[Note 11],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Perpignan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 11]. Elle compte 1 952 emplois en 2018, contre 2 041 en 2013 et 1 963 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 697, soit un indicateur de concentration d'emploi de 115 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 45,1 %[I 12].
Sur ces 1 697 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 686 travaillent dans la commune, soit 40 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 83,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,7 % les transports en commun, 10,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
Activités
Il existait au XIXe siècle une forte industrie du liège et de la fabrication des bouchons avec de nombreuses usines dont quelques-unes sont encore en activité dont Abel et les Bouchons Trescases.
Aujourd'hui, Le Boulou est une station thermale reconnue et qui est encore en plein développement avec un fort retour pour l'économie touristique tant pour les locations immobilières que pour les activités de loisirs greffées aux thermes (casino, campings, hôtels).
La ville du Boulou dispose de grandes infrastructures dans la zone autoroutière qui est la dernière sortie en France avant de franchir la frontière espagnole. De nombreuses voitures neuves transitent par la gare pour y être stockées avant d’être expédiées via l'autoroute en Espagne.
Après le centre-ville où il demeure de nombreux artisans, l'essentiel de l'économie et des emplois réside dans la zone artisanale et commerciale du Boulou où de grandes enseignes de distribution, de petits artisans, des restaurants se développent depuis de nombreuses années.
Jean Pous (1875-1973) : sculpteur et dessinateur d'art brut d'origine espagnole ayant passé toute sa vie adulte au Boulou ;
Vladimir Nabokov (1899-1977) : l'écrivain russe séjourna au Boulou de février à et y écrivit l'essentiel de son roman La Défense Loujine[68] publié l'année suivante ;
Mercè Rodoreda, l’écrivaine catalane passa par le Boulou lors de son exil.
Héraldique
Blason
D'argent, à une fleur de lys d'azur en chef, accompagnée en pointe d'un vol abaissé de sable, à la bordure de gueules[69].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Voir aussi
Bibliographie
Ouvrages
Henry Aragon, Étude historique sur Le Boulou (Roussillon), Perpignan, Gilles & Dufour,
André Bonnery, M. Burrini, Jean-Bernard Mathon et F. Saunier, Le Boulou : Itinéraires culturels transfontaliers : Actes des conférences du cycle 1999, Le Boulou, I T,
Pierre Cantaloube, Le Boulou et le Tech, Maureillas-Las Illas, Pierre Cantaloube, coll. « Série Franchissement du Tech à travers les âges », , 133 p. (BNF37083709)
Jacques-Michel Ducros, Les vieilles pierres du pays catalan, J.M.D., , 386 p.
Denise Vergès-Courtois, Le Boulou : "El Volo", Pyrénées-Orientales : mon village et ses thermes, Paris, Éd. la Poste d'autrefois, , 128 p. (BNF41190792)
Jean Versmée, Le Boulou à l'Étoile, Le Boulou, Impr. Imago, , 12 p. (BNF35744703)
Articles
Roger J. Archambault, « Un homme, un atelier, une œuvre… et si l’on parlait du maître de Cabestany », Cahiers de la Rome, no 9, , p. 59-62 (ISSN1248-1793)
S. Barba, « J’ai perdu mon cœur au Boulou », Cahiers de la Rome, no 18, , p. 55-64 (ISSN1248-1793)
Pierre Cantaloube, « Le Boulou, le Tech et ses franchissements », Cahiers de la Rome, no 9, , p. 83-88 (ISSN1248-1793)
Pierre Cantaloube, « Les Societés de Secours Mutuels du Boulou », Cahiers de la Rome, no 16, , p. 49-56 (ISSN1248-1793)
Pierre Cantaloube, « Les sources du Boulou », Cahiers de la Rome, no 16, , p. 69-74 (ISSN1248-1793)
Pierre Cantaloube, « L’église Sainte Marguerite de Molars », Cahiers de la Rome, no 19, , p. 31-34 (ISSN1248-1793)
Pierre Cantaloube, « Le clocher de l'église du Boulou : effondrement (1840) et reconstruction (1860-61) », Cahiers de la Rome, no 20, , p. 51-56 (ISSN1248-1793)
Georges Castellvi, « Un autel antique en remploi au chevet de l’église Sainte-Marie du Boulou ? », Cahiers de la Rome, no 13, , p. 45-47 (ISSN1248-1793)
Georges Castellvi, « Aux origines de la bataille du Boulou », Cahiers de la Rome, no 13, , p. 48-50 (ISSN1248-1793)
Georges Castellvi, « Présentation de l’ouvrage de Jacques Laflou (1798-v.1877) sur l’histoire du Boulou », Cahiers de la Rome, no 14, , p. 67-69 (ISSN1248-1793)
Georges Castellvi, « Les trompettes (Montesquieu-Le Boulou) », Cahiers de la Rome, no 17, , p. 37-40 (ISSN1248-1793)
Georges Castellvi, « Ordre de Saint Louis (collection de la bataille du Boulou) », Cahiers de la Rome, no 19, , p. 37-40 (ISSN1248-1793)
A. Catafau, « Le Boulou et Maureillas, deux exemples remarquables de celleres médiévales », Cahiers de la Rome, no 10, , p. 25-34 (ISSN1248-1793)
Jacques Chotard, « Pierre Bayle, jeune héros oublié », Cahiers de la Rome, no 15, , p. 29-30 (ISSN1248-1793)
Jean Codet, « La bataille du Boulou (30 avril-1er mai 1794) », Cahiers de la Rome, no 11, , p. 41-68 (ISSN1248-1793)
A. de Fruyt, « La bataille de Montesquieu (30 avril-1er mai 1794) », Cahiers de la Rome, no 13, , p. 51-60 (ISSN1248-1793)
Pascal Dupouy, « La bataille du Boulou (1793-94) », Cahiers de la Rome, no 9, , p. 75-78 (ISSN1248-1793)
Nathalie Gouzet, « Les « barques de cul » du Boulou », Cahiers de la Rome, no 12, , p. 39-40 (ISSN1248-1793)
Nathalie Gouzet, « Les thermes du Boulou », Cahiers de la Rome, no 14, , p. 26-40 (ISSN1248-1793)
Nathalie Gouzet, « De la rue du Régarail à la rue de l’Evolution sociale », Cahiers de la Rome, no 15, , p. 35-42 (ISSN1248-1793)
Nathalie Gouzet, « Classement du portail de l’église Ste Marie du Boulou », Cahiers de la Rome, no 16, , p. 41-44 (ISSN1248-1793)
Nathalie Gouzet, « Cimetière du Boulou – histoire d’un transfert », Cahiers de la Rome, no 16, , p. 45-48 (ISSN1248-1793)
Nathalie Gouzet, « Gros plan sur le cinéma Le Majestic du Boulou », Cahiers de la Rome, no 17, , p. 79-84 (ISSN1248-1793)
Jérôme Kotarba et C. Dominguez, « Les recherches archéologiques sur la route départementale 618 au Boulou, site du Pla de Molas/oliu Tort et du Pila », Cahiers de la Rome, no 17, , p. 17-24 (ISSN1248-1793)
J. Laflou (XIXe s.) et Georges Castellvi (notes), « Notions historiques du Boulou et des abords primitivement connu sous le nom de Stabulum », Cahiers de la Rome, no 14, , p. 70-76 (ISSN1248-1793)
J. Laflou, « Notions historiques du Boulou – chapitre 3 (suite) », Cahiers de la Rome, no 15, , p. 43-48 (ISSN1248-1793)
Michel Martzluff, « Les plus anciens peuplements préhistoriques autour du Boulou », Cahiers de la Rome, no 16, , p. 15-36 (ISSN1248-1793)
G. Rouquié, Nathalie Gouzet et Georges Castellvi, « Collection « Bataille du Boulou, 1794 » », Cahiers de la Rome, no 10, , p. 48-51 (ISSN1248-1793)
Michel-Yves Saint-Dizier, « Acquisition de la collection « Bataille du Boulou » », Cahiers de la Rome, no 9, , p. 11-12 (ISSN1248-1793)
Michel-Yves Saint-Dizier, « Le Boulou, circuit culturel », Cahiers de la Rome, no 10, , p. 68-82 (ISSN1248-1793)
P. Vigo, « L’invasion espagnole et la bataille du Boulou », Cahiers de la Rome, no 13, , p. 61-66 (ISSN1248-1793)
↑Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[14].
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
↑La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
Cartes
↑IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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↑Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN2-222-03821-9).
↑ a et bMichel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN2-7399-5066-7).