le ru de Foljuif, 1,82 km[22], conflue dans l'aqueduc du Loing ;
Par ailleurs, son territoire est également traversé par l’aqueduc du Loing et aussi baignée de nombreux étangs, vestiges d'anciennes gravières.
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 15,63 km[23].
Gestion des cours d'eau
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[24].
La commune fait partie du SAGE « Nappe de Beauce et milieux aquatiques associés », approuvé le . Le territoire de ce SAGE couvre deux régions, six départements et compte 681 communes, pour une superficie de 9 722 km2[25]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le Syndicat mixte du pays Beauce Gâtinais en Pithiverais, qualifié de « structure porteuse »[26].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 722 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[27]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Nemours à 5 km à vol d'oiseau[29], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 690,3 mm[30],[31]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[32].
Statistiques 1991-2020 et records NEMOURS (77) - alt : 73m, lat : 48°16'12"N, lon : 2°42'53"E Records établis sur la période du 01-11-1990 au 03-12-2023
La réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais », créée en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha, est un espace protégé sur le territoire communal. Cette réserve de biosphère, d'une grande biodiversité, comprend trois grands ensembles : une grande moitié ouest à dominante agricole, l’emblématique forêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Éducation, unique parmi les Réserves de biosphère françaises[35],[36],[37],[38].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[39].
Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[40],[Carte 1] :
le « Massif de Fontainebleau », d'une superficie de 28 063 ha. Cet espace constitue le plus ancien exemple français de protection de la nature. Les alignements de buttes gréseuses alternent avec les vallées sèches. Les conditions de sols, d'humidité et d'expositions sont très variées. La forêt de Fontainebleau est réputée pour sa remarquable biodiversité animale et végétale. Ainsi, elle abrite la faune d'arthropodes la plus riche d'Europe (3 300 espèces de coléoptères, 1 200 de lépidoptères) ainsi qu'une soixantaine d'espèces végétales protégées[41] ;
les « Rivières du Loing et du Lunain », d'une superficie de 400 ha, deux vallées de qualité remarquable pour la région Île-de-France accueillant des populations piscicoles diversifiées dont le Chabot, la Lamproie de Planer, la Loche de Rivière et la Bouvière[42],[43].
un au titre de la « directive Oiseaux »[40],[Carte 1] :
le « Massif de Fontainebleau », d'une superficie de 28 092 ha[44].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Grez-sur-Loing comprend une ZNIEFF de type 2[Note 3],[45],[Carte 2],
la « vallée du Loing entre Moret et Saint-Pierre-Lès-Nemours » (1 749,77 ha), couvrant 13 communes du département[46].
Urbanisme
Typologie
Au , Grez-sur-Loing est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[47].
Elle est située hors unité urbaine[1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[1]. Cette aire regroupe 1 929 communes[48],[49].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (71,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (71,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (71,37 %),
eaux continentales[Note 5] (9,83 %),
zones urbanisées (9,39 %),
prairies (4,72 %),
zones agricoles hétérogènes (2,83 %),
zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,32 %)[50].
Territoires artificialisés (zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles)
132,38 ha
10,13 %
152,95 ha
11,70 %
20,57 ha
Territoires agricoles (terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogènes)
113,39 ha
8,68 %
92,82 ha
7,10 %
−20,57 ha
Forêts et milieux semi-naturels (forêts, milieux à végétation arbustive et/ou herbacée, espaces ouverts sans ou avec peu de végétation)
932,30 ha
71,34 %
932,71 ha
71,37 %
0,40 ha
Surfaces en eau (eaux continentales, eaux maritimes)
128,83 ha
9,86 %
128,43 ha
3,32 %
0,40 ha
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[51],[52],[Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Nemours Gâtinais, approuvé le et porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Nemours-Gâtinais[53].
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[54]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 5].
Lieux-dits et écarts
La commune compte 85 lieux-dits administratifs[Note 6] répertoriés consultables ici[55] (source : le fichier Fantoir) dont Hulay, l'Auberge, l'Épine.
Logement
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 683 dont 93 % de maisons et 6,6 % d'appartements[Note 7].
Parmi ces logements, 85,2 % étaient des résidences principales, 9,2 % des résidences secondaires et 5,6 % des logements vacants.
La part des ménagesfiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 82,2 % contre 15,7 % de locataires[56] dont, 0,5 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 8] et, 2,1 % logés gratuitement.
Le territoire de la commune est traversé, du nord-ouest au sud-est, par l'autoroute A6. Celle-ci est accessible par les diffuseurs no 15 (Fontainebleau) et no 16 (Nemours) situés au sud-est de Grez-sur-Loing.
Autrefois appelée Grès-en-Gâtinais, la ville était alors très importante au XIIIe siècle, dépendant du douaire de Blanche de Castille. Ses quatre portes (de Paris, Saint-Jacques, de la croix Bussie et celle du vieux Pont de pierres) ne la protégèrent que très modérément - bien que relevées pour l'occasion - des exactions de la guerre de Cent Ans : le village, comme beaucoup d'autres dans la région, fut incendié en 1358 par les Anglais. Son histoire ne fut plus lors qu'une lente déchéance : si Grez disposait d'un marché important, d'un notariat royal et d'assises judiciaires, la ville ne put endiguer sa perte d'influence.
Le château tomba peu à peu en ruine (beaucoup des magnifiques maisons du village en récupérèrent les pierres), les assises lui échappèrent et l'invasion prussienne de 1870 lui porta un coup économique fatal. Néanmoins, bénéficiant comme d'autres communes de Seine-et-Marne d'un fort potentiel artistique, le village - par la douceur de ses paysages bordés du Loing et de la forêt de Fontainebleau, ainsi que grâce à la proximité de Paris - parvint à séduire, vers la fin du XIXe siècle, de nombreux peintres y compris suédois, qui prenaient pension chez les Laurent ou à l'hôtel Chevillon.
Sur la commune de Grez-sur-Loing se situait la commanderie de Beauvais-en-Gâtinais. On ne trouve pas de trace au-delà de la seconde moitié du XIIIe siècle même si les Templiers y avaient des biens depuis longtemps.
Elle était située sur le chemin conduisant de Beauvais à Villiers-sous-Grez. Aujourd'hui, il ne reste que des caves, un puits, et des souterrains.
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [60],[61].
Assainissement des eaux usées
En 2020, la commune de Grez-sur-Loing gère le service d’assainissement collectif (collecte, transport et dépollution) en régie directe, c’est-à-dire avec ses propres personnels[62].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[63]. La commune assure le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[62],[64].
Eau potable
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SIAEP de Grez-sur-Loing, Montcourt-Fromonville qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [62],[65],[66].
Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Bocage[67].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[69]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[70].
En 2022, la commune comptait 1 457 habitants[Note 9], en évolution de +3,04 % par rapport à 2016 (Seine-et-Marne : +3,92 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
En 2017, le nombre total d’emplois dans la zone était de 217, occupant 663 actifs résidants.
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 72,2 % contre un taux de chômage de 7,6 %.
Les 20,1 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 9,5 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 5,9 % de retraités ou préretraités et 4,8 % pour les autres inactifs[74].
Entreprises et commerces
En 2015, le nombre d'établissements actifs était de 135 dont 1 dans l'agriculture-sylviculture-pêche, 9 dans l’industrie, 19 dans la construction, 93 dans le commerce-transports-services divers et 13 étaient relatifs au secteur administratif[75].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[77]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 3 en 1988 à 0 en 2010[76].
Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Grez-sur-Loing, observées sur une période de 22 ans :
Évolution de l’agriculture à Grez-sur-Loing entre 1988 et 2010.
Jean-Baptiste-Moïse Jollivet (1753-1818), homme politique sous la Révolution française et haut fonctionnaire sous le Premier Empire, fut maire de Grez-sur-Loing en 1790.
Jean-Baptiste Camille Corot (1796-1875), peintre français, qui aurait été le premier à découvrir ce site et avoir peint le Pont de Grez-sur-Loing en 1860 (exposé au Currier Gallery of Arts, Manchester, New Hampshire).
Carl Larsson (1853-1919), artiste suédois, y vécut et y peignit parmi ses toiles les plus remarquables. Il y rencontra Karin Bergöö, qui deviendra sa femme.
Asai Chu (1856-1907), peintres de paysages japonais, y vécut.
Frederick Delius (1862-1934), musicien germano-britannique, et Jelka Rosen (1868-1935), peintre germano-française, vécurent en ce lieu à partir de 1902, jusqu'à la fin de leurs vies.
Kuroda Seiki (1866-1924), peintre japonais, y vécut.
René Pottier (1879-1907), coureur cycliste français, y a possédé une propriété.
Paul Villiers (1883-1914), peintre, y fit de fréquents séjours, sa famille y possédant une maison. Son nom figure sur le monument aux morts de la guerre de 1914-1918.
Louis Welden Hawkins (1849-1910) peintre d'origine anglaise, a fait toute sa carrière en France. Peintre réaliste académique puis symboliste. Œuvres à Orsay et au musée Van Gogh à Amsterdam, ce musée ayant organisé une exposition rétrospective 1993.
Parti : au 1) d’azur semé de fleurs de lys d’or, à la bande de gueules chargée de trois lionceaux d’argent au 2) coupé au I de gueules au léopard lionné d’or et au II d’argent au lion de gueules[84].
Ornements extérieurs
Timbré d'une couronne murale et accolé d'un cep de vigne à dextre et de laurier à senestre, liés d'azur.
Détails
Figure sur le site de la mairie.
« Le Village préféré des Français »
En 2014, la commune est sélectionnée pour l'émission Le Village préféré des Français en tant que représentante de la région Île-de-France. Elle se classe finalement 20e sur 22.
Ce livre est tiré de l'émission Le Village préféré des Français, diffusée par France Télévisions, conçue et produite par Morgane Production : Grez-sur-Loing, pages 120 à 123** I - De la baie de Somme au littoral charentais en passant par la Bretagne,** II – Des Flandres au Jura en passant par l'Alsace,** III – De l' Île-de-France aux monts d'Auvergne en passant par la Bourgogne,** IV – Du littoral atlantique aux Alpes en passant par la Méditerranée.
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations, un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
↑En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
↑L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )