Il possédait la double nationalité espagnole (héritée de son père) et française (héritée de sa mère) et son passeport français portait mention du titre de courtoisie de « duc d’Anjou » et de la qualification d’altesse royale[3].
Il est baptisé en la chapelle du Palais Ruspoli à Rome par le pape Pie XII. Son parrain est son grand-père paternel, l’ancien roi d’Espagne, Alphonse XIII. Sa marraine est sa grand-mère maternel Victoria Ruspoli[4].
Sur la demande de leur mère, Alphonse et Gonzalve font de fréquents séjours à l’étranger pour pouvoir apprendre des langues. Les deux frères passent ainsi des étés en Belgique avec leur grand-mère maternelle et en Angleterre auprès de leur arrière-grand-tante, la marquise de Milford Haven, puis chez le fils de cette dernière, le comte Mountbatten de Birmanie[5].
Le , le duc de Ségovie (père d’Alphonse) accepte (à la demande de son fils aîné), par une lettre envoyée à Francisco Franco, la désignation comme futur roi d'Espagne de son neveu, Juan Carlos de Bourbon. Cette acceptation est faite « en vue du bien commun de l’Espagne, de la paix et de la prospérité du peuple espagnol ».
Le à Madrid, Alphonse de Bourbon signe à son tour, comme le fait également l'infant Louis-Alphonse(es) (cousin germain de Jacques-Henri de Bourbon), un acte d’acceptation de la désignation par Francisco Franco de son cousin germain Juan Carlos comme futur roi d’Espagne.
Le , pour la naissance de son fils François, il est titré duc de Cadix avec qualification d'altesse royale par décret[10] du général Franco (grand-père de Carmen Martínez-Bordiú), qui devient arrière-grand-père pour la première fois[11].
Le , il est victime d'un grave accident automobile, qui coûte la vie à son fils aîné François (décédé à l’hôpital de Pampelune le ). Il est soigné, à sa demande, en France, à Paris.
Président de l'Institut pour la culture hispanique du [16] au [17].
Activités en tant qu'aîné de la maison de Bourbon
À partir de la fin de l'année 1984, après des mois d'hospitalisation et de rééducation, il vit entre Madrid et la France, multipliant les rencontres, les échanges avec les autorités françaises et les Français, épaulé par l'Institut de la maison de Bourbon.
Il est membre titulaire de la Société des Cincinnati de France, où il représente Louis XVI, chef suprême des armées françaises lors de la guerre d'indépendance des États-Unis, Alphonse de Bourbon étant son plus proche parent dans l'ordre de primogéniture masculine. La Société des Cincinnati de France regroupe les descendants (ou collatéraux) par primogéniture masculine des officiers français ayant combattu aux côtés des indépendantistes américains.
Mort
En 1989, alors qu'il teste une piste de ski pour le championnat du monde de ski alpin à Beaver Creek (Colorado (États-Unis)), il heurte à pleine vitesse un câble tiré en travers de la piste, qui le blesse mortellement au cou[19]. L'enquête fut ouverte pour homicide avant de conclure à l'accident. Il décède peu après, puis est inhumé à Madrid, dans la chapelle du monastère des Déchaussées royales, aux côtés de son fils aîné. La Famille Royale d'Espagne est présente à son inhumation, de même qu’un grand nombre de personnalités du Gotha.
Après la messe funéraire, son aumônier, le père Christian-Philippe Chanut se présente sur la tombe encore ouverte du prince Alphonse pour dire la prière issue de la liturgie des rois de France. Puis il prononce l'éloge funèbre à la basilique Saint-Denis[20].
La double tombe porte l’inscription en espagnol « Sus Altezas Reales don Alfonso y don Francisco de Borbón 20-IV-1936 - 30-I-1989 22-XI-1972 - 7-II-1984 » ainsi que les armes pleines de France, d'azur à trois fleurs de lys d'or.
À sa mort le , c'est son fils cadet, Louis, qui hérite de la prétention légitimiste au trône de France, sous le nom de « Louis XX ».
Alphonse de Bourbon était considéré par les légitimistes comme successeur des rois de France et de Navarre sous le nom d'Alphonse II, ce qui était contesté par les orléanistes, partisans quant à eux d’Henri d'Orléans. Ces derniers arguaient notamment des renonciations faites lors des traités d'Utrecht (1713) par Philippe de France, ancêtre direct d’Alphonse de Bourbon, à ses droits sur le trône de France, d'un supposé « vice de pérégrinité » frappant les princes devenus étrangers « sans esprit de retour », ainsi que d’une « fusion » intervenue de facto en 1883 à la mort du comte de Chambord entre orléanistes et légitimistes de l’époque.
Aux yeux des orléanistes, Alphonse de Bourbon n'était « que » Son Altesse Royale[21] don Alfonso de Borbón y Dampierre, duc de Cadix. Ils déniaient à Alphonse de Bourbon le droit de porter les pleines armes de France ainsi que le titre de duc d'Anjou, mais la justice française, saisie en 1988 par le comte de Clermont[22], a déclaré irrecevable la demande d'interdiction.
Les légitimistes arguent au contraire, au regard des lois fondamentales de succession par primogéniture mâle et d'indisponibilité de la couronne (le roi reçoit la couronne pour en exercer droits et devoirs mais il n'en dispose pas : il ne peut ni abdiquer, ni désigner ni écarter de successeur), d'une nullité des renonciations faites lors des traités d'Utrecht[23] ; ils ne reconnaissent par ailleurs aucun principe d'exclusion des princes devenus étrangers et de leur descendance.
Port des armes pleines de France
En 1987, Henri d'Orléans, comte de Clermont, fils ainé du comte de Paris, a engagé une action judiciaire[24], afin de faire interdire à Alphonse de Bourbon, alors chef de la branche aînée de la maison de Bourbon, de porter les armes pleines de France, arguant que les Bourbons se servaient d'un « symbole de la France » à son préjudice.
Nota bene : les armoiries étant des accessoires du nom de famille en droit civil français, un tribunal de la France républicaine est parfaitement habilité à juger d'une usurpation de cet accessoire, mais ce même tribunal est évidemment incompétent pour juger de la querelle dynastique.
Henri d'Orléans a été débouté de sa demande par décision du TGI Paris du [25].
Précautions du tribunal :
le tribunal rappelle que les armoiries en question ne sont plus que des emblèmes privés et non un symbole de la France, comme les qualifiait le conseil d'Henri d'Orléans ;
le tribunal se reconnaît compétent sur le litige héraldique.
le tribunal précise qu'il n'a pas compétence, en revanche, pour arbitrer la querelle dynastique : « Attendu qu'il n'appartient pas à une juridiction de la République d'arbitrer la rivalité dynastique qui sous-tend en réalité cette querelle héraldique ».
Le tribunal reconnaît :
l'appartenance de ces armes à la Maison de Bourbon (pas seulement aux aînés mais à toute la famille[citation nécessaire]) et qu'au sein de cette maison, les princes de la Maison d'Orléans forment la branche cadette des Bourbons ;
que, selon les anciennes coutumes, l'usage de ces armes était réservé aux aînés, alors que les cadets devaient y ajouter un lambel ;
que les Bourbons d'Espagne les ont portées pleines (sans brisure) depuis la fin du XIXe siècle, sans que les Orléans ne protestent ;
que le premier comte de Paris en a fait de même et au même moment, à la suite du décès du comte de Chambord ;
qu'Henri d'Orléans n'a pu apporter la preuve qu'il ait subi un préjudice.
Les Orléans demeurent libres de porter les armes, sans lambel puisque les armoiries appartiennent à toute la famille[citation nécessaire].
Cette décision sera confirmée par la cour d'appel de Paris, (appel de TGI Paris 21.12.1988 ; D.90, I.R. 4 ; JCP 90.II.21460 ; GP 08.03.1990)[24].
À noter que, moins d'une décennie plus tard, dans une affaire qui ne concernait cette fois que les Orléans (vente publique d'objets mobiliers) et non les Bourbons, la Cour de cassation n'a pas cru utile de prendre les mêmes précautions de forme que le tribunal de grande instance de Paris, relativement à la « querelle de succession » : dans son arrêt du , la juridiction suprême parle ainsi du « comte de Paris » et de « la succession de Jean III, Duc de Guise, chef de la Maison de France »[26], désignant Jean d'Orléans et son fils par leur titre de courtoisie, sans naturellement que cela entraîne une reconnaissance juridique[27] de ces titres par la cour, s'agissant de titres non authentifiables[28] par le Sceau de France, et ne pouvant donc bénéficier d'un arrêté d'investiture par le ministère de la Justice.
Projet d'armoiries (non retenu) pour le duc de Cadix : « d’azur à trois fleurs de lisd’or et à la bordure de gueules (qui est Anjou), sur-le-tout d’azur à trois fleurs delis d’or (qui est de France moderne) »[30].
– : Son Excellence don Alfonso de Borbón y de Dampierre, grand d'Espagne (comme fils d'un infant d'Espagne, n'ayant pas reçu le titre d'infant de grâce) ;
– : Son Altesse Royale don Alfonso de Borbón y de Dampierre, infant d'Espagne (comme fils d'un prince des Asturies) ;
– : Son Altesse Royale don Alfonso de Borbón y de Dampierre, prince des Asturies (comme fils d'un prétendant au trône d'Espagne) ;
– : Son Altesse Royale don Alfonso de Borbón y de Dampierre, infant d'Espagne (après avoir signé l'acte d'acceptation de la désignation du prince d'Espagne).
Le décret no 3 226 du du général Franco donne à Alphonse de Bourbon le titre de duc de Cadix, avec prédicat d’altesse royale, et transmet à son conjoint et à « ses descendants directs » le même prédicat. Néanmoins, le décret royal no 1368 du de Juan Carlos Ier rend le titre d'Alphonse de Bourbon viager et la qualification d'altesse royale intransmissible aux « consorts [et] enfants » (troisième disposition transitoire). Son ex-épouse, Carmen Martínez-Bordiú y Franco, rappelle que la qualification d'altesse royale figure sur l'acte de naissance de leur fils, Louis de Bourbon (1974), et celui-ci affirme qu'étant né altesse royale, avant le décret de 1987, il conserve donc cette distinction à caractère viager[31].
Il faut noter que le père d'Alphonse de Bourbon, Jacques-Henri de Bourbon, infant d'Espagne, a récusé ses renonciations par lettres du . Pour les monarchistes espagnols partisans de son père, Alphonse de Bourbon a porté la qualification d'altesse royale, sans qu'elle soit reconnue officiellement (mais à titre de courtoisie) par l'État espagnol jusqu'au .
En France
Les titres portés par les membres de la maison de Bourbon n’ont pas d’existence juridique en France et sont considérés comme des titres de courtoisie. Ils sont attribués par le « chef de maison ». Comme prétendant au trône de France, Alphonse de Bourbon porta les titres suivants :
– : Son Altesse Royale le prince Alphonse de Bourbon ;
↑Titre régulier conféré en 1972 par le général Franco, chef de l’État espagnol.
↑Patrick van Kerrebrouck, La maison de Bourbon (1256-1987), coll. Nouvelle histoire généalogique de l'auguste maison de France,éd. Patrick van Kerrebrouck, Villeneuve d'Ascq, 1987, p.315
↑Le choix du titre de duc de Cadix a été fait par le prince d'Espagne, futur Juan Carlos Ier, à qui Franco avait envoyé un membre éminent du gouvernement pour qu'il fasse part à son père, le comte de Barcelone, du désir du Caudillo de concéder à « Alfonso » un titre de la maison royale avec la qualification d'altesse. « Un enviado de Franco, persona del Gobierno y muy caracterizada, visitó a Don Juan Carlos de parte del General para que dijera a su padre que el Caudillo quería que se le concediera a Alfonso un título de la Casa Real con el tratamiento de Alteza. El Príncipe habló con su padre. Éste fue el que eligió el título de Cádiz [...] », Fernando García-Mercadal y García-Loygorri, Los Títulos de la Casa Real: algunas precisiones jurídico-dinásticas[1]. Real Academia Matritense de Heráldica y Genealogía, 1998, p. 26.
Franco fait inscrire dans le décret que cette titulature est concédée à Alphonse de Bourbon « à la demande de Son Altesse Royale le prince d'Espagne ». Toutefois, le récipiendaire était déjà qualifié d'altesse royale par l'État espagnol (alors que cette qualification ne lui avait pas encore été officiellement concédée), notamment sur son passeport, sur l'acte d’acceptation de la désignation du prince d'Espagne (), sur le décret nommant Alphonse de Bourbon ambassadeur d'Espagne en Suède (), et sur le communiqué annonçant ses fiançailles avec la petite-fille du chef de l'État () : (es) Juan Balansó, Los Borbones incómodos, Barcelone, DeBols!llo, coll. « Ensayo · Historia » (no 114), (1re éd. 2000), 250 p. (ISBN84-9793-448-2), p. 151, 153.
↑Tribunal de grande instance de Paris, , Prince Henri d'Orléans, JCP 89.II.21213, confirmé par la cour d'appel de Paris, (appel de TGI Paris 21.12.1988 ; D.90, I.R. 4 ; JCP 90.II.21460 ; GP 08.03.1990
↑À noter que, dès l'Ancien Régime, le nombre et la teneur des lois fondamentales fut fort discuté, les parlements y voyant, selon F. Olivier-Martin dans son manuel d'histoire du droit, un moyen de limiter le pouvoir royal.
↑« Sur le port des armes pleines. Attendu que les armoiries sont des marques de reconnaissance accessoires du nom de famille auquel elles se rattachent indissolublement, que cette famille soit ou non d'origine noble ; qu'il s'ensuit que les armoiries sont l'attribut de toute la famille, et qu'elles jouissent de la même protection que le nom lui-même ;
Attendu que les armes en litige, constituées de « trois fleurs de lys d'or en position deux et un sur champ d'azur » n'ont été celles de France qu'autant que régnait l'aîné de la Maison de Bourbon à laquelle elles appartiennent - qu'elles sont devenues emblèmes privés à l'avènement du roi Louis-Philippe ;
Attendu que selon les anciennes coutumes, les armes pleines étaient réservées aux aînés, les cadets devant introduire une brisure dans leur blason ; qu'ainsi, les princes de la Maison d'Orléans, branche cadette des Bourbons, portaient, y compris le roi Louis-Philippe, les armes des Bourbons avec un lambel (brisure) d'argent ;
Attendu que la République à nouveau instaurée, Charles de Bourbon, Duc de Madrid, faisant valoir, à la mort du Comte de Chambord, sa qualité d'aîné d'une branche aînée, s'attribua les armes pleines ; que Louis-Philippe d'Orléans, petit-fils du roi Louis-Philippe en fit alors de même, provoquant les protestations des Bourbons d'Espagne ; que le Tribunal civil de la Seine, saisi par l'un d'eux, Marie-François de Bourbon y Castellvy, devait cependant considérer en sa décision du que « ces armoiries pleines à trois fleurs de lys d'or, qui étaient jadis attachées à la qualité de Roi de France, avaient disparu avec elle » ;
Attendu qu'il n'appartient pas à une juridiction de la République d'arbitrer la rivalité dynastique qui sous-tend en réalité cette querelle héraldique, comme l'ensemble de la procédure ;
Attendu qu'en tout état de cause le demandeur, qui ne peut ainsi avec pertinence soutenir qu'Alphonse de Bourbon se servirait du « symbole » de la France, ne prétend nullement que le port de ces armes sans brisure, qui résulte d'un usage ouvert et constant des Bourbons d'Espagne depuis plus de cent ans, soit à l'origine pour lui-même ou sa famille, d'un préjudice actuel et certain ; que dans ces conditions, Henri d'Orléans, qui ne justifie pas d'un intérêt à faire interdire le port de ces armoiries, sera déclaré également irrecevable en sa demande de ce chef ;
Par ces motifs, le Tribunal,
déclare irrecevable Henri d'Orléans en ses demandes d'interdiction de port de titre et d'armoiries, ainsi que Ferdinand de Bourbon-Siciles et Sixte-Henri de Bourbon-Parme en leur intervention ;
↑« Distinctes des titres de noblesse, ces appellations portées par les anciennes familles régnantes sur la France ne sont pas soumises au même droit. Non héréditaires, elles n’ont pas à être vérifiées par le Garde des Sceaux. Elles sont à la discrétion de leur titulaire » : https://www.asmp.fr/travaux/communications/2006/guillaume_M.htm
↑D'après le roi d'armes Vicente de Cadenas y Vicent
↑(es) José Apezarena Armiño, Luis Alfonso de Borbón, un Príncipe a la espera, Barcelone, Plaza & Janès Editores, , 604 p. (ISBN978-84-01-30552-8, lire en ligne), p. 466-467.
↑ a et bComme ambassadeur du royaume d'Espagne en Suède.
↑ a et bBaron Hervé Pinoteau, Etat présent de la maison de Bourbon, Paris, éd. Le Léopard d'or, 2e édition, 1983, p. 193
« Alphonse II prête serment le ; fait chevalier par lettres patentes du , reçu le . »
↑Hervé Pinoteau, État de l’ordre du Saint-Esprit en 1830 et la survivance des ordres du roi, Paris, Nouvelles Éditions Latines, coll. « Autour des dynasties françaises », , 165 p. (ISBN2-7233-0213-X, lire en ligne), p. 138 et 140. Jacques de Bourbon créa des chevalier de l'Ordre du Lys, cette décoration n'était pas un ordre lors de sa création en 1814, mais le prétendant la considérait manifestement comme telle.
↑Baron Hervé Pinoteau, État présent de la maison de Bourbon, Paris, éd. Le Léopard d'or, , p. 243
« Pour commémorer le don de cet ordre par son père, ce qui fut fait par diplôme signé à Lausanne, le et remise du collier à Madrid, le ; le Prince estimait que l'ordre était évidemment lié à la couronne d'Espagne, mais que tant que celle-ci n'était pas attribuée, son père [Jacques-Henri de Bourbon, duc de Ségovie] pouvait s'en dire légitimement chef et souverain. Cependant, pour diverses raisons, le Prince [Alphonse de Bourbon, duc de Cadix] n'eut pas à porter l'ordre. »
Guy Augé, Succession de France et règle de nationalité : le droit royal historique français contre l'orléanisme, Paris, DUC, 1979, 174 p.-[4] p. de pl (ISSN0153-2243).
Jacques Bernot, Les princes cachés : ou histoire des prétendants légitimistes (1883-1989), Paris, Éditions Lanore ; François-Xavier Sorlot, éditeur, coll. « Lanore histoire », , 318 p. (ISBN978-2-85157-745-0, OCLC905715018, lire en ligne).
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Cyrille Schott, La rose et le lys : François Mitterrand et le comte de Paris, Paris, Plon, 2012.
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