: François de La Rochefoucauld VIII, comte de Duretal puis duc de la Rocheguyon puis duc de La Rochefoucauld, brigadier d’infanterie le , maréchal de camp le ,†
: François Edouard Colbert, marquis de Maulevrier, brigadier le , †
: Gilbert de Chabannes, marquis de Pionsac, brigadier le , †
: Jean, chevalier puis marquis de Gassion, brigadier le , maréchal de camp le , lieutenant général des armées du roi le , †
: Louis Antoine de La Roche-Fontenilles, marquis de Rambures, brigadier le , maréchal de camp le , †
: Jean-Baptiste Victor de Rochechouart, comte de Mortemart, brigadier le
: Étienne François de Choiseul de Stainville, marquis de Stainville puis duc de Choiseul, brigadier le , déclaré maréchal de camp en par brevet du , lieutenant général des armées du roi le
: Charles Joseph Marie, comte puis duc de Boufflers, brigadier le , †
: Marie Gabriel Florent Christophe, comte de Choiseul-Beaupré
En 1734, les officiers suivants servent dans ce régiment : le lieutenant-colonel de Louboy, brigadier, le major de Joffaud[2].
En 1738, les officiers suivants servent dans ce régiment : le lieutenant-colonel de Brecourt, le major de Cambron, les aides-majors de Croeser, de Raincé, de Louboey et de Beauval[3].
En 1741, les officiers suivants servent dans ce régiment : le lieutenant-colonel de Brecourt, le major de Cambron, les aides-majors de Croeser, de Raincé, de Louboey et de Beauval[4].
Composition du régiment
Au début de 1692, le régiment d'Auvergne fournit six compagnies qui forment le noyau du 3e bataillon du régiment de Navarre.
Par l'Ordonnance du revue par l'Ordonnance du , la composition du régiment est la suivante[2] :
un colonel, un lieutenant colonel, un major, quatre aides-major, 66 capitaines, 68 lieutenants, 66 lieutenants en second
quatre bataillons à 17 compagnies et à 685 soldats, soient 2 740 hommes dans le régiment, compris 126 sergents et 68 tambours, avec 12 drapeaux à 3 par bataillon et une prévôté.
En 1738 à la suite de l'Ordonnance du Roi du [3] :
un colonel, un lieutenant-colonel, un major, quatre aides-majors, 66 capitaines (dont 3 commandants de bataillon et 4 capitaines de grenadiers), 68 lieutenants (dont 4 lieutenants de grenadiers, 4 sous-lieutenants de grenadiers), 12 lieutenants en second et de 2 enseignes, soient 159 officiers.
quatre bataillons de 510 soldats, soient 2 040 soldats.
D'après une ordonnance de 1746, le régiment de Navarre est porté à 5 bataillons
D'après l'ordonnance du , le régiment de Navarre est réduit à 4 bataillons : « les sergents et fusiliers des 16 compagnies à réformer seront distribués et incorporés dans les 64 compagnies de fusiliers qui seront conservées par l'ancienneté des capitaines qui les commandent, après avoir completé la compagnie de grenadiers du cinquième bataillon ».
quatre bataillons de fusiliers à 16 compagnies de 40 hommes par compagnie
1654 : Le combat du , sur les bords de la Bormida, seul événement remarquable de la campagne de 1654 en Italie, est un fait d'armes particulier aux régiments de Navarre et de Grancey. Ces deux corps y taillèrent en pièces deux régiments espagnols.
Lors de la réorganisation des corps d'infanterie français de 1762, le régiment conserve ses quatre bataillons. L'ordonnance arrête également l'habillement et l'équipement du régiment comme suit[5] :
Habit, veste, parements, revers et collet de drap blanc piqué de bleu, culotte de tricot de même couleur; poches carrées en écusson garnies de neuf boutons, dont quatre de chaque côté et un à la pointe de l'écusson, cinq sur la manche et un en dedans du parement, cinq au revers et quatre au-dessous : boutons jaunes, forme plate, avec le no 3. Chapeau bordé d'or.
↑C'est le neveu de César-Phébus, maréchald'Albret. Il est brigadier d'infanterie le , mestre de camp du régiment d'Albret le 22 novembre 1676, maréchal de camp le . Il est tué en Picardie, au château de Pinon, le , dans la maison du marquis de Bussi-Lamet. Il avait épousé la fille unique du maréchald'Albret, son oncle, en 1662, mais il n'eut pas d'enfants de ce mariage.