Au nom de son fils, elle tenta en vain de prendre le pouvoir en France en 1832 en qualité de « régente ». Elle est à l'origine des dernières insurrections vendéennes et chouannes qui secouent le nord-ouest de la France en mai et juin 1832.
À son baptême, elle reçoit les prénoms de ses grands-parents paternels et de sa grand-mère maternelle Marie Caroline Ferdinande Louise. La reine Marie-Caroline, grand-mère de la princesse, est la sœur de la défunte reine de FranceMarie-Antoinette. Elle voue une haine mortelle à la Révolution française.
Enfance entre Naples et la Sicile
L'année même de la naissance de la princesse, le royaume de Naples et de Sicile rejoint la Deuxième Coalition. L'armée française commandée par le général Jean-Étienne Championnet, envahit le royaume et instaure une République parthénopéenne le [1]. La famille royale fuit sur un bâtiment britannique commandé par l'amiral Horatio Nelson et se réfugie à Palerme. La famille royale retrouve Naples le . La princesse perd sa mère en 1801. Le duc de Calabre, qui n'a pas de fils, se remarie l'année suivante avec l'infanteMarie-Isabelle d'Espagne pour assurer la succession au trône.
Vaincue à nouveau par les troupes françaises du général André Masséna, la famille royale quitte Naples pour la Sicile en 1806 tandis que l'empereur des Français confie le royaume de Naples à son frère Joseph Bonaparte puis à son beau-frère Joachim Murat.
La princesse reçoit une éducation assez libre, bercée par les chansons populaires en patois italien, et pratique notamment la peinture.
Tandis que sa tante Marie-Amélie de Bourbon-Siciles épouse en 1809 le duc d'Orléans Louis-Philippe Ier en exil, l'archiduchesse Marie-Louise d'Autriche, double cousine de la princesse, épouse en 1810 Napoléon Ier au grand dam de leur grand-mère, la reine Marie-Caroline (qui meurt en Autriche en 1814).
Mariage à l'héritier putatif du trône de France
La chute de l'Empire français permet à la maison de Bourbon de retrouver le trône de France ; l'ex-comte de Provence, frère de Louis XVI, devient roi sous le nom de Louis XVIII après vingt-cinq années d'exil. Le roi Ferdinand retrouve également son trône napolitain malgré la résistance et les intrigues de Joachim Murat qui finit fusillé en 1815.
Le roi de France, veuf, n'a pas d'enfant et répugne à se remarier à 60 ans. Son frère et héritier a deux fils mais aucun n'a d'enfants. Le plus jeune, Charles-Ferdinand d'Artois, duc de Berry, est toutefois libre (il a eu de nombreuses maîtresses et la rumeur prétend qu'il a épousé en exil une jeune Anglaise dont il a deux filles mais celle-ci n'étant pas de sang royal, le mariage aurait été annulé). Le roi porte son choix sur ce neveu pour lui donner des successeurs au trône et choisit au sein de la famille royale de Naples, branche cadette de la maison de Bourbon, l'aînée des petites-filles du roi, Marie-Caroline, qui a alors 18 ans.
Bien que son époux, officiellement célibataire (mais a deux filles avec Amy Brown, Charlotte de Bourbon et Louise de Bourbon), a vingt ans de plus qu'elle et qu'il s'agît d'un mariage arrangé, ils semblent avoir formé un couple assez uni, comme l'attestent la tendresse transparaissant dans leurs échanges épistolaires. Le palais de l'Élysée a été aménagé pour eux[1].
Le duc et la duchesse de Berry ont eu quatre enfants, dont deux seulement survécurent au-delà des premiers jours :
Louise Marie Thérèse d'Artois, leur 3e enfant, née à Paris le , fut appelée Mademoiselle et titrée comtesse de Rosny en 1830 ; le elle épousa à Frohsdorf (Autriche) le futur duc de Parme et de PlaisanceCharles III de Bourbon-Parme, dont elle eut quatre enfants ; après l'assassinat de son époux le et une période de régence, elle fut chassée du duché en 1859 par une insurrection et mourut à Venise le .
Après l'assassinat de son mari, la duchesse de Berry s'installe aux palais des Tuileries. Elle a un tempérament assez opposé à celui de sa belle-sœur, l'austère duchesse d'AngoulêmeMarie-Thérèse de France, sa belle-sœur et cousine de vingt ans son aînée, marquée par les années de la Terreur : elle est peu attachée à l'étiquette, aime recevoir et est très sensible à la mode.
La personnalité forte et attachante de la princesse donne de l'éclat à la Cour des Tuileries dans les années 1820. Elle séduit par sa vivacité napolitaine, son esprit vif et curieux, son ouverture aux nouveautés[4]. Amatrice de voyages et d'expériences nouvelles, elle aime sortir assez souvent de la capitale. Elle joue un rôle non négligeable dans le lancement en France de la mode venue d'Angleterre des bains de mer, en particulier à Boulogne-sur-Mer et Dieppe, première cité balnéaire de France, vers 1820. Elle pratique volontiers ce loisir à la belle saison et le popularise auprès de la cour royale et la bourgeoisie française. Elle apprécie également les promenades en mer et possède un bateau destiné à cet effet, Le Furet[5], peint par le peintre Ambroise Louis Garneray en 1827 et exposé au Château de Dieppe[6]. À l'occasion, elle en profite pour visiter d'autres villes, comme Le Havre en [7]. C'est elle également qui inaugure une section du canal de la Somme.
Du 14 au , elle séjourne à Bordeaux afin de « ranimer les fidélités à la Couronne » des habitants de la première ville à s'être ralliée à Louis XVIII en 1814[8].
Elle s'intéresse aux arts et découvre un tableau du peintre Paul HuetUne chaumière, présenté à la galerie Henri Gaugain et l'achète[9].
Elle cherche à se faire proclamer régente pour son fils, sous le nom d'« Henri V »[10]. En 1831, elle s'entoure de légitimistes déterminés, comme Ferdinand de Bertier de Sauvigny, Louis Auguste Victor de Ghaisne de Bourmont, Florian de Kergorlay, le duc d'Almazan Emmanuel Louis Marie Guignard de Saint-Priest ou le duc de BlacasPierre Louis Jean Casimir de Blacas d'Aulps, qui définissent avec elle un programme politique dans l'optique d'une restauration de la branche aînée, l'édit de réforme du royaume. La réforme prévoit l'élection par les contribuables de conseils municipaux, qui éliraient des conseils cantonaux. Chaque canton désignerait un conseiller général dont l'Assemblée serait chargée d'administrer les départements. Ces derniers seraient rassemblés en 18 provinces[Note 1], dont les assemblées (états provinciaux) siégeraient 30 jours par an. À l'échelon national, l'édit prévoit deux chambres : une chambre des pairs héréditaires et une Chambre des députés nommés par les provinces[11],[12]. Dans ce programme, tout contribuable est électeur, tout électeur est éligible ; selon Bertier : « Les idées les plus larges, les plus libérales, les plus favorables au peuple et en même temps les plus conformes à la gloire et à la grandeur de la France en faisaient la base[13]. »
L'ancien roi Charles X manifeste des réserves à l'égard des entreprises de la princesse et son représentant, le duc de Blacas, est écarté de la conjuration. À l'été 1831, la duchesse se rend en Italie ; en correspondance permanente avec les légitimistes, elle prépare un double soulèvement qui doit avoir lieu à Marseille et en Vendée. En Italie, elle séjourne tout d'abord à Gênes, où elle reçoit, à titre privé seulement, le soutien du roi de Sardaigne, Charles-Albert ; à Naples chez son frère, le roi Ferdinand II des deux Siciles, à Rome, où le pape évite prudemment de lui manifester son soutien en public.
Le 14 décembre 1831, elle se remarie secrètement à Rome avec le comte Hector Lucchesi-Palli, chambellan du roi des Deux-Siciles, qui l'assiste dans ses entreprises[14].
Le 26 avril 1832, elle embarque avec plusieurs partisans sur un bateau à vapeur acheté pour la circonstance, le Carlo Alberto et débarque à côté de Marseille dans la nuit du 28 au . Mais au lieu de deux mille fidèles annoncés, elle ne parvient à mobiliser que soixante hommes. Échouant ainsi à prendre le contrôle de la mairie de Marseille, elle décide de partir directement pour la Vendée[15]. En Vendée, elle tente de rallier la population à sa cause et de susciter une insurrection. La mobilisation locale est assez faible, et l'opération échoue rapidement.
Après une cavale de six mois, la duchesse trouve refuge dans la maison de Mlles Duguigny à Nantes, sise au no 3 de la « rue Haute-du-Château » (actuelle rue Mathelin-Rodier) située face au château des ducs de Bretagne, mais elle est trahie par Simon Deutz.
Après s'être cachée toute une nuit avec ses partisans dans un réduit situé derrière une cheminée alors que sa maison était cernée par la gendarmerie qui ne la trouvait pas, elle dut sortir de l'âtre lorsqu'un feu y fut allumé par des gendarmes en faction. Se rendant au général Paul Ferdinand Stanislas Dermoncourt, garant de sa sauvegarde, elle est mise aux arrêts le par la gendarmerie, dirigée par Adolphe Thiers qui, depuis le , venait de remplacer Camille de Montalivet au ministère de l'Intérieur[16],[17].
La princesse déclare alors qu'elle avait épousé secrètement, en 1831 Hector Lucchesi-Palli (1808–1864), futur duc della Grazia, et qu'il était le père légitime de cet « enfant de Blaye » mais des interrogations subsistent sur la paternité de cet enfant[1]. Le régime orléaniste suggère d'autres liaisons moins honorables pour la salir aux yeux de l'opinion. Chateaubriand la défend mais Charles X, depuis son exil, fait savoir qu'il ne la considère plus comme régente[4]. La petite Rosalie meurt à Blaye au bout de six mois, le suivant et est inhumée dans le caveau des Lucchesi-Palli, à Naples. La duchesse eut ensuite de ce nouveau mari trois autres filles et un garçon. Sa descendance directe compta ainsi six enfants - sur dix qu'elle mit au monde - : deux du duc de Berry et quatre d'Hector Lucchesi-Palli.
Après quelques mois en prison, la duchesse est libérée et expulsée à Palerme ; elle est tenue à l'écart de la famille royale, qui lui refuse la direction de l'éducation de son fils, confiée à sa belle-sœur, la dauphine Marie-Thérèse de France.
« La grande maison de Brunnsee, désertée, évoque une grève à marée basse. La vie s'est retirée, comme la mer, de ces pièces à demi démeublées où subsistent encore quelques épaves, vestiges d'un bonheur évanoui. Une très vieille femme, épaissie, affaissée, se tient devant la fenêtre, feuilletant tout le jour un album de photographies (où) presque aveugle, elle s'évertue à reconnaître les traits des visages qu'elle a connus. »
— Laure Hillerin
La fin
Ayant perdu à deux mois d'intervalle, début 1864, sa fille, duchesse de ParmeLouise d'Artois, et son second époux Hector Lucchesi-Palli, qui l'avait ruinée — six millions de francs de dettes — elle s'installe en Autriche, où elle vit ses dernières années entre le château de Brunnsee et Venise. Elle y avait acheté le palais Vendramin Ca' Vendramin Calergi, que son fils Henri d'Artois lui fit vendre en échange de son aide financière. Elle meurt aveugle au château de Brunnsee à Eichfeld le .
La duchesse de Berry et les arts
La duchesse s'intéressa à de nombreux domaines artistiques, elle eut une peintre attitrée en la personne de Hortense Haudebourt-Lescot (1785–1845)[20] Comme son époux qui présidait la Société des Amis de l'Art, la princesse fut une grande mécène, encourageant par ses multiples achats dans les Salons de nombreux peintres et favorisant la production artistique et littéraire d'un grand nombre de musiciens et d'hommes de lettres.
Elle apporta également un parrainage actif à de nombreuses manufactures ainsi qu'à beaucoup de maisons de commerce ou ateliers d'artisanat, souhaitant ainsi favoriser l'essor économique du pays.
Mais son extrême générosité - elle fut surnommée « la bonne duchesse » - est moins connue; elle se manifesta par le soutien très actif qu'elle apporta tout au long de sa vie, même en exil, à de multiples organisations et associations aussi bien qu'aux victimes de catastrophes naturelles, nécessiteux ou anciens serviteurs de la monarchie.
Dans son château de Rosny, la duchesse de Berry réunit une des plus exceptionnelles bibliothèques de son temps, tant par la rareté des éditions qui s'y trouvaient que par la grande qualité des reliures, le plus souvent dues au célèbre René Simier, magnifique ensemble de plus de 8 000 volumes qui sera dispersé en 1837 lors d'une vacation de plus d'un mois, ce qui fait que des livres reliés à ses armes ou avec sur les plats ses initiales « MC » entrelacées et couronnées, apparaissent au gré des ventes de grandes bibliothèques européennes.
Théâtre
Passionnée de théâtre, elle obtint de Louis XVIII le parrainage du théâtre du Gymnase qui, à partir de 1825, prit le titre de « théâtre de Madame », Madame étant le nom traditionnellement donné à la première princesse du royaume après la dauphine, nom qu'elle avait réussi à imposer[réf. nécessaire] avant la mort de Louis XVIII en 1824, en tant que mère du futur héritier du trône de France[1]. De multiples pièces et vaudevilles, le plus souvent œuvres de l'auteur dramatique Eugène Scribe, y furent représentées jusqu'en 1830, date du départ en exil de toute la famille royale.
Photographie
Durant son séjour en Italie, la duchesse s'intéressa aux arts, notamment à la photographie. Elle fut en relation avec les photographes primitifs installés à Rome, qui constituaient le cercle de l'Antico Caffè Greco.
Elle a fait l'objet d'un catalogue intitulé Promenade méditerranéenne. Collection photographique de la duchesse de Berry. Les années 1850 (Céros éditeur)[21].
Jardins
Comme l'impératrice Joséphine, la duchesse, très férue de botanique, remodela complètement le parc du château de Rosny dans le goût « paysagiste anglais » très en vogue à l'époque. Elle le fit planter de milliers d'essences d'arbres, d'arbustes et de fleurs, le peupla de cerfs et de daims et y acclimata des biches naines venues d'Asie centrale ainsi que des kangourous qui vivaient dans des enclos dessinés dans l'esprit des fermes du pays de Caux.
Voulant rappeler le souvenir de la reine Marie-Antoinette, sa grand-tante, elle fit aménager dans le parc une « rivière anglaise » avec cascade artificielle dans l'esprit de celle que la souveraine avait créée au Petit Trianon de Versailles. Enfin, pour satisfaire sa passion pour les fleurs exotiques, elle créa une vaste serre chaude.
Une exposition intitulée « Entre Cour et jardin, Marie-Caroline, Duchesse de Berry » s'est tenue d'avril à au musée de l'Île-de-France, au château de Sceaux ; cette vaste rétrospective historique traitant des séjours officiels de la princesse, du palais des Tuileries au château de Rosny, regroupait près de 300 objets (meubles, tableaux, tapisseries, livres, orfèvrerie, bijoux, souvenirs historiques) provenant de plus de 80 musées, institutions patrimoniales et collectionneurs privés, dont la moitié était exposés pour la première fois[Note 2].
Souvenirs princiers à l'encan
Le , une boîte en or du maître-orfèvre parisien Morel, ornée d'une miniature de Jean-Baptiste-Joseph Duchesne (1770–1856) représentant la duchesse de Berry, offerte par elle le au vicomte André-Guy-Victor du Hamel, maire de Bordeaux, en remerciement de l'accueil royal de la ville lors de sa « mission » de propagande politique précitée, qui avait été depuis conservée par les descendants sans avoir été exposée, a été vendue aux enchères à Bordeaux à un collectionneur de souvenirs historiques pour la somme de 35 980 euros, au double des estimations[22].
La vente aux enchères publiques « Noblesse Oblige » organisée par la maison Sotheby's à Londres le dispersa un album amicorum composé de 96 œuvres sur papier 70 objets et souvenirs historiques lui ayant appartenu, parmi lesquels[23] :
son meuble d'aquarelliste orné d'une plaque en bronze doré sertie des miniatures de la duchesse et de ses deux enfants ;
des sièges en acajou provenant du château de Rosny.
Le , c'est un bureau à cylindre entièrement incrusté de fleurs de lys et portant un médaillon marqueté à son chiffre, et une paire de vases en porcelaine ornés de médaillons en « biscuit » aux profils du duc et de la duchesse (Paris, Denuelle, vers 1823), offerts par elle à son amie la comtesse Leray de Chaumont et demeurés depuis dans sa descendance, qui furent vendus par Me Fraysse et Jabot, commissaires-priseurs, à l'hôtel des ventes de Tours.
Quelques peintures réalisées par la duchesse de Berry :
Messe du soir dans un couvent.
Frères dans la Chartreuse de San Giacomo à Capri.
Intérieur du palais Vendramin sur la lagune de Venise.
Dans la fiction
Télévision
En 1961, l'équipe de La caméra explore le temps consacre un épisode à l'aventure de la duchesse de Berry retraçant les tentatives avortées de soulèvement de la Provence et de la Vendée en 1832 et son arrestation à Nantes, puis la naissance de sa fille Rosalie en 1833 à la forteresse de Blaye. Elle est interprétée par Françoise Christophe. En 1971, Jacques Trébouta tourne sur le même sujet le téléfilm La Duchesse de Berry, avec Martine Sarcey dans le rôle de la duchesse.
Dans ses Mémoires d'outre-tombe, Chateaubriand relate ses relations avec la duchesse en exil. L'écrivain alors dans l'opposition légitimiste à la monarchie de Louis-Philippe Ier expose notamment dans sa Lettre à madame la duchesse de Berry son analyse de la situation politique en France après 1830 et des conditions d'une restauration légitimiste[25]. La duchesse est l'une des protagonistes du roman d'Alexandre DumasLes Louves de Machecoul. Le roman de Jean de La VarendeMan d'Arc (1950) met en scène la tentative de soulèvement vendéen, où figure la duchesse et ses partisans. Le livre de Jean RaspailLe Roi au-delà de la mer (2000) évoque largement l'équipée de 1832 et le courage de la duchesse.
Le roman Le Bureau des affaires occultes - Le chant maléfique, d'Éric Fouassier, paru en 2024, place l'intrigue en pleine tentative de révolution légitimiste, lors de laquelle Marie-Caroline de Bourbon-Siciles apparaît comme l'un des personnages principaux du récit.
Titulature et décorations
Titulature
– : Son Altesse Royale princesse Marie-Caroline de Naples et de Sicile.
– : Son Altesse Royale Madame, duchesse de Berry.
– : Son Altesse Royale la duchesse de Berry, marquise de Rosny
– 1856 : Son Altesse Royale la comtesse Hector Lucchesi-Palli.
1856 – : Son Altesse Royale la duchesse de la Grazia.
↑A. Pihan Delaforest, Premier voyage de S. A. R. Madame la duchesse de Berry en Normandie en 1824, Paris, A. Pihan Delaforest, , 255 p. (lire en ligne).
↑A. Pihan Delaforest, Voyage de Son Altesse Royale Madame la duchesse de Berry au berceau de Henri IV, Paris, A. Pihan Delaforest, , 614 p..
↑Hugues de Changy, Le soulèvement de la duchesse de Berry, 1830–1832. Les royalistes dans la tourmente, Paris, DUC-Albatros, 1986, p. 107.
↑Laure Hillerin, La duchesse de Berry, éd. Flammarion, p. 287.
↑Vicomte de Reiset, Marie-Caroline, duchesse de Berry, Paris, Calmann-Lévy, , 435 p. (lire en ligne), p. 379-382.
↑Étienne Dejean, La Duchesse de Berry et les monarchies européennes (août 1830 – décembre 1833) d'après les archives diplomatiques et les documents inédits des archives nationales, Paris, Librairie Plon, , 393 p. (lire en ligne), p. 1-196.
Matthieu Mensch, « Des larmes au rire, les sentiments de la duchesse de Berry dans sa correspondance familiale, 1820–1830 », Mosaïque, no 21, (lire en ligne).
Michel Aussel, Nantes sous la Monarchie de Juillet : 1830–1848 : du mouvement mutualiste aux doctrines politiques, Nantes, Ouest éditions, , 256 p. (ISBN2-908261-78-2).