L'histoire commence par la mort d'un riche marchand d'armes, Constantin Benard Shah et de ses obsèques, réunissant autour de sa jeune et très jolie veuve Amaranthe, un quatuor de barbouzes.
Il y a son faux cousin français Francis Lagneau, son faux psychanalyste allemand Hans Müller, son faux frère de laitsoviétique Boris Vassilieff et son faux confesseur suisse Eusebio Cafarelli. Tous sont là pour récupérer les secrets et l'héritage de l'industriel (des brevets sur des armes atomiques), mandatés par leurs gouvernements respectifs. Il faut aussi compter avec les dollars de l'Américain O'Brien et la présence de nombreux Chinois dans les passages secrets du château.
Lino Ventura : Francis Lagneau, dit « Petit Marquis », dit « Chérubin », dit « Talon rouge », dit « Falbala », dit « Belles Manières » ; mais aussi « Requiem », dit « Bazooka », dit « La Praline », dit « Belle Châtaigne » dans certains milieux
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Box-office
Sorti en salles en , Les Barbouzes a totalisé 2 430 611 entrées, dont 698 499 entrées à Paris, se classant à la seizième place du box-office français de l'année[3]. Le film resta durant huit semaines dans le top 10 hebdomadaire au box-office parisien, sans toutefois occuper la première place[4].
Le film contient d'ailleurs quelques clins d'œil aux Tontons flingueurs : lorsque l'abbé Cafarelli est présenté, des photos de Raoul Volfoni (personnage du film Les Tontons flingueurs) dans des situations délicates (affalé dans son bureau après le coup de poing de Lino Ventura, la tête bandée à l'hôpital...) sont montrées pour illustrer les propos.
Le texte en cyrillique sur la couronne funéraire de Boris Vassilieff comporte une erreur typographique : au lieu de l'inscription tronquée « МОЕМУ ДОРОГОМУ БР(АТУ) » (à mon cher fr(ère)) on lit « МОЕМЧ ДОРОГОМЧ БР » (confusion de la 21e et 25e lettre de l'alphabet cyrillique).
Au début du film apparaissent les doublures des comédiens...