Il est libéré par la proclamation de la République le . Il réorganise les sections syndicales de l'Internationale et est élu au Comité central républicain des Vingt arrondissements. En février, il se présente sans succès aux élections pour l'Assemblée nationale comme candidat socialiste révolutionnaire. Le il est élu au Conseil de la Commune, par les XIIe et XVIIe arrondissements (il choisit le XVIIe) ; il siège à la commission du Travail, de l'Industrie et de l'Échange. Il devient directeur des postes le . Il signe le manifeste de la minorité. Il combat sur les barricades pendant la Semaine sanglante.
Après la chute de la Commune, Albert Theisz se réfugie à Londres, où il reprend son métier et ses activités au Conseil général de l'Internationale. Il profite de l'amnistie de 1880 pour rentrer à Paris, où il meurt peu après.
Notes et références
↑Archives de Paris, État-civil numérisé du 3e arrondissement, registre des décès de l'année 1881, acte N°62 (précisant son lieu de naissance, qui n'est donc pas Paris).