Comme le parc zoologique de Paris (dit « zoo de Vincennes ») et la réserve zoologique de la Haute-Touche, la ménagerie a longtemps été gérée par la chaire d'éthologie du Muséum ; lors de la réorganisation du Muséum en 2001, elle fut rattachée au « département des jardins botaniques et zoologiques » et depuis 2017 au département « Adaptations du vivant » qui gère environ 3 500 animaux vivants[2]. Depuis avril 2023, Aude Bourgeois est la directrice de la ménagerie[3].
Les premiers animaux à arriver sur le site sont des animaux confisqués aux forains qui les exhibaient dans les rues de la capitale et dont l'activité est interdite par arrêté municipal le . Ils sont rejoints par les animaux des ménageries de Versailles et du Raincy (appartenant au duc d'Orléans), respectivement le et le .
La ménagerie du Jardin des plantes ouvre officiellement le , ce qui en fait un des zoos les plus anciens du monde toujours ouverts au public, après celui de Schönbrunn à Vienne qui est fondé dès 1752. Lorsqu'elle ouvre, elle n’a pas encore l’étendue qui est la sienne aujourd’hui : la partie nord était encore partagée entre des propriétés privées. Elle n’acquerra sa surface présente qu’en 1860, lorsque Isidore Geoffroy Saint-Hilaire, alors directeur du Muséum, préconisera d’agrandir la ménagerie pour y étudier le comportement des animaux dans des espaces plus appropriés[6]. Lors de son ouverture la ménagerie abrite seulement 58 animaux : 32 mammifères et 26 oiseaux (dont un lion, un quagga, un bubale, des paons, des daims, des moutons, des chèvres, des singes, des ours, un chameau et un taureau)[7].
Diversification des espèces jusqu'à la fin du XIXe siècle
À partir de 1798, la jeune ménagerie accueille plusieurs animaux ramenés par les armées de la Convention, puis par les armées napoléoniennes : ainsi l'année 1798 voit l'arrivée des lions d'Afrique Marc et Constantine (offerts par le roi du Maroc et le dey d'Alger, ils donnent naissance à trois lionceaux dès 1800), ainsi que des éléphants asiatiques Hans et Parkie (réquisitionnés à la ménagerie du stathouder de Hollande) qui seront hébergés au parc respectivement de 1798 à 1802 pour Han, et de 1798 à 1817 pour Parkie. D'autres animaux affluent donnés ou réquisitionnés : les ours de Berne et des porcs-épics donnés par le gouverneur du Cap.
Beaucoup de constructions, parfois sophistiquées pour l’époque, ont été édifiées à cet effet au XIXe et au début du XXe siècle, succédant aux enclos et cages sommaires du début : rotonde, fosses aux ours, singeries, fauveries, maisons des rapaces et des reptiles, faisanderies. Au fil du temps, on y a installé des fosses aux ours (1805), des loges des « animaux féroces » (1817-1821), une rotonde des « animaux paisibles » (1804-1812), un palais des singes (1835-1837), un pavillon des reptiles (1870-1874), un bassin des crocodiles, un bassin des otaries (1882), une grande volière, une faisanderie (1881), une cage des oiseaux de proie (1820-1825), auxquelles s’ajoute la grande volière métallique édifiée en 1888 par Alphonse Milne-Edwards pour l’Exposition universelle de 1889[9] et toujours utilisée.
Guerres et renouveaux de 1870 à la fin du XXe siècle
Au XIXe siècle, des promenades à dos d'éléphant d'Asie et de dromadaire avaient lieu pour le public dans les allées de la ménagerie moyennant un supplément ; elles ont cessé dans les années 1930 pour des raisons de sécurité (chutes)[10]. Lors du siège de Paris (1870-1871), la ménagerie est bombardée et le parc ne peut plus subvenir aux besoins de ses pensionnaires : les animaux, dont les éléphants Castor et Pollux[Note 3], sont alors abattus puis mangés par les Parisiens assiégés et affamés.
Quelques animaux comme des primates, des lions, des tigres, des hippopotames et un rhinocéros[11] seront toutefois épargnés et les collections animales vite reconstitués après la guerre.
Dans les années 1890, après presque cent ans d'existence, plusieurs bâtiments vieillissants sont en très mauvais état, telle la rotonde. En 1910 la ménagerie abrite presque 1 700 animaux : 407 mammifères, 636 oiseaux, 216 reptiles, 237 amphibiens et 197 poissons[12]. Les périodes de pénurie, lors de la Première Guerre mondiale, entraînent une sévère réduction du nombre d'animaux : en 1918 il ne reste que 124 mammifères et 205 oiseaux[12].
Peintres animaliers devant les félins (1902).
Fosse aux ours bruns (vers 1900).
Fosse aux ours blancs (1932).
Maison des singes construite dans les années 1830 et détruite en 1934.
Le parc zoologique de Vincennes vient en 1934 compléter la Ménagerie et accueillir les animaux qui y étaient à l’étroit, tels les éléphants ou les girafes. La ménagerie tente elle aussi de se moderniser, les vieux bâtiments centenaires que sont alors les « loges des animaux féroces » et le « palais des singes » sont démolis et remplacés par la singerie (1934) et la fauverie (1937) actuelle.
Au milieu du XXe siècle, la ménagerie nécessite des rénovations qui ne peuvent être entreprises, faute de moyens (c'était aussi l'époque où la galerie de Zoologie, depuis 1994 renommée « grande galerie de l'Évolution », avait dû fermer parce qu'il pleuvait à travers sa verrière). Les animaux vivaient dans des installations généralement dégradées et exiguës et par conséquent la ménagerie est contestée par les mouvements anti-zoos et éclipsée par des parcs zoologiques plus modernes (zoo de Vincennes, Thoiry ZooSafari).
C’est à partir des années 1980 qu’une politique de réhabilitation de la ménagerie peut enfin être mise en œuvre, avec plusieurs rénovations successives (volières à rapaces, rotonde, pavillon d’herpétologie…). En 1993 tous les bâtiments sont classés monuments historiques[13].
Une nette préférence est alors accordée à la conservation et présentation d’espèces de petite et moyenne taille, généralement peu connues et menacées d’extinction. Ainsi de 1991 à 1996, la Ménagerie accueille en moyenne 459 000 visiteurs annuels[15].
Contestations au nom de la défense des animaux et adaptations au XXIe siècle
Dès 1979, la Fondation droit animal, éthique et sciences avait entrepris des actions ayant pour objectif de faire fermer la Ménagerie, au nom de la défense de ses pensionnaires. L'association propose alors, avec l'appui d'écoles municipales limitrophes, un projet architectural visant à transformer le parc zoologique en ferme pédagogique[16]. Les soigneurs prennent conscience dans les années 1980 que les animaux peuvent souffrir de la captivité[17]. Les plus grandes espèces (éléphant, girafe, lion, tigre, guépard, gorille, chimpanzé, ours, loup, zèbre, hippopotame, rhinocéros, yack, panthère des neiges), quittent progressivement la ménagerie des années 1970 à 2020 à mesure que le respect des droits des animaux progresse dans la société française[18]. En effet, les installations de petite taille, impossibles à agrandir dans cet espace enclavé, n’offrent pas des conditions de vie compatibles avec les besoins de ces grands animaux. Ces espèces ne sont aujourd'hui plus présentées à la Ménagerie, mais pour certaines au zoo de Vincennes, plus vaste et rouvert après rénovation en 2014. En parallèle, des programmes d'enrichissement sont mis en place pour lutter contre l'ennui et le mal-être engendrés par la privation de liberté. Les perroquets sont entrainés à la réflexion, les orang-outang disposent de jeux et peuvent exercer leur créativité via la peinture[19] et les fauves sont incités à rechercher leur nourriture[17].
Un projet de construction d'un espace de 585 m2 et de 15 m de haut, reliée à la singerie actuelle par un souterrain, est envisagé à partir de 2015 pour fournir aux orangs-outans de Bornéo, l'une des grandes espèces dont la ménagerie ne s'est pas séparée, un lieu de vie plus approprié que l'actuelle singerie de 1934 qui ne répond plus aux objectifs de bien-être animal[20]. En , le directeur attire l'attention sur la difficulté à financer ce projet à 2,5 millions d'euros, dans un contexte où la subvention annuelle de la ménagerie est passée de 17 à 4 millions d'euros, entre 2015 et 2016. Dans le cas où ce projet ne verrait pas le jour, le transfert des trois orangs-outans vers un autre parc zoologique est envisagé[21].
En 2014, la Ménagerie a accueilli près de 650 000 visiteurs[22]. Son record de fréquentation date de 2011, avec 800 000 visiteurs, alors que le zoo de Vincennes est fermé pour travaux[23]. En 2015, l'affluence diminue à 525 367 visiteurs[24]. En 2016, elle diminue encore, à 465 230[25].
L'association Paris Animaux Zoopolis (PAZ) engage à partir de 2019 une campagne en faveur de la fermeture de la ménagerie, jugée trop vétuste pour pouvoir détenir ses animaux dans de bonnes conditions. La cause de l'orang-outan Nénette, ayant passé plus de 50 ans en captivité après avoir été capturée à l'âge de 3 ans est particulièrement défendue[26]. Sensible aux arguments de l'association, l'élue municipale Danielle Simonnet dépose alors un vœu au Conseil de Paris en faveur de la fermeture de la ménagerie[27],[28],[29]. En 2021, un collectif de scientifiques (vétérinaires, biologistes, éthologues) alertent sur les conditions d'enfermement des animaux dans une tribune publiée dans le journal Le Monde[30]. Une pétition en ligne demandant la fermeture du zoo recueille fin 2022 près de 61 000 signatures[31].
Historique des directeurs
En 2020, vingt-deux professeurs, en majorité zoologues et/ou vétérinaires, se sont succédé depuis plus de deux siècles à la direction de la Ménagerie :
Conservation des espèces et coopération internationale
Actuellement, la ménagerie héberge environ six cents mammifères, reptiles, oiseaux et amphibiens, sur 5,5 hectares. Elle s'est spécialisée dans plusieurs groupes d'animaux :
Diverses espèces, pour certaines menacées dans leur milieu naturel (Aras ou divers amphibiens par exemple) sont reproduites ici (notamment à la Nurserie, à l'extrémité nord) et des échanges ont lieu avec d'autres établissements similaires à travers le monde.
L'équipe de la clinique vétérinaire du zoo comprend notamment un vétérinaire spécialiste diplômé du Collège européen de médecine zoologique (ECZM)[33].
Galerie d'herpétologie et vivarium
La galerie d'herpétologie jadis nommée « Palais des reptiles » a été conçue en 1874 par l'architecte Jules André ; elle héberge également les laboratoires d'herpétologie du Muséum. Les tortues géantes des Seychelles y passent la saison froide ; l'été, elles sont présentées à l'extérieur, autour de la Rotonde. Ce bâtiment est fermé pour rénovation depuis début 2019.
Le vivarium, conçu par Emmanuel Pontremoli et construit sous les auspices de l'entomologiste René Jeannel en 1926 avec les fonds de la journée Pasteur, présente des amphibiens (grenouilles, axolotls), des arthropodes (cétoines, phasmes, mygales, scorpions, iules) et des serpents (vipère du Gabon).
La fauverie est conçue en 1937 par l'architecte René Berger, en remplacement de la « loge des animaux féroces » construite par Jacques Molinos entre 1817 et 1821, dans un but de modernisation des installations[34]. Ce nouveau bâtiment comprend de nombreux bas-reliefs animaliers de sculpteurs français : Berthe Martinie, Georges Hilbert, Anna Quinquaud et Auguste Seysses[34]. À l'extérieur, on peut voir un groupe en bronze de Paul Jouve, Lion tuant une chèvre.
La ménagerie s'est progressivement séparée de ses grands félins, trop à l'étroit dans les petites cages de la fauverie : elle ne présente ainsi plus de tigres, et le jaguar noir Aramis a rejoint le parc zoologique de Paris à sa réouverture.
La fauverie en 1979 lorsque des tigres étaient encore présentés.
Panthère de Chine du Nord jouant avec son petit.
Intérieur de la fauverie.
Singerie
L'actuelle singerie a été construite en 1934 par l'architecte François-Benjamin Chaussemiche, à l'emplacement de l'ancien « Palais des singes » édifié de 1833 à 1836. Afin de mieux prendre en compte les besoins de ces animaux, elle couvre une superficie de 2 000 m2[34]. Elle se compose d'une construction centrale dont le pourtour constitue les lieux de vie des singes, avec des espaces visibles depuis l'intérieur et l'extérieur, ainsi que de deux grandes cages rotondes attenantes, à l'est et à l'ouest, dont ne subsistent aujourd'hui que les bases. Les visiteurs peuvent observer les animaux de l'extérieur, et en particulier la loge extérieure des orangs-outans qui fait saillie sur la face sud, ou bien entrer dans le bâtiment par un large vestibule, situé sur la face nord. Ce vestibule était à l'origine décoré de singes célèbres y ayant vécu et l'intérieur de la construction centrale contenait un jardin intérieur ovale orné d'une vasque de mosaïque bleue contenant des poissons exotiques[35].
La rotonde est de la singerie en 1934.
Intérieur de la singerie, vue sur les loges des orangs-outans.
Loge extérieure des orangs-outans.
Vue rapprochée de la loge extérieure des orangs-outans.
Agrets de la partie ouest de la singerie, aujourd'hui en partie démontée.
Elle présente aujourd'hui des macaques à queue de lion, des mangabeys couronnés, des mangabeys noirs, des cercopithèques de l'Hoest et cinq orangs-outans de Bornéo : un mâle, Banggi, et quatre femelles, Java, Tamü, Théodora et Nénette. En plus de l'attrait pour le public, ils contribuent à la préservation de l'espèce et à la recherche comportementale sur les Primates[36]. Toutefois, les responsables du zoo ont estimé en 2015 que leur enclos nécessite des aménagements importants pour assurer leur bien-être et agrandir l'espace qui leur est dévolu[37]. Faute de financements suffisants, ces grands singes pourraient quitter le jardin des plantes[38]. Une campagne de financement participatif est lancée à cet effet fin 2018.
Le 17 octobre 2018, Théodora a donné naissance à une petite femelle, nommée Java. Le père est le mâle résident, Banggi[39],[40].
Le plus ancien bâtiment toujours en place de la Ménagerie est la Rotonde, construite sous Napoléon, entre 1802 et 1812, sur les plans de Jacques Molinos, qui s'est inspiré d'une rosette de la Légion d'honneur. Après avoir servi à présenter de gros animaux, notamment des éléphants, la Rotonde a abrité dans la période 1990-2005 un « microzoo » créé par le professeur Yves Coineau et présentant sous microscopes la flore (spores, pollens) et la faune invisibles à l'œil nu[41],[42]. Aujourd'hui, l'intérieur est voué aux locaux techniques et les enclos extérieurs sont utilisés pour présenter les tortues géantes des Seychelles et les grues à cou blanc.
Un éléphant d'Afrique à la rotonde, dans les années 1900.
La face nord-ouest de la Rotonde.
Enclos des tortues géantes, au pied de la face sud-ouest de la rotonde.
La face sud-ouest de la Rotonde.
La conservation des Aldabrachelys gigantea des Seychelles, est une des missions de la Ménagerie.
La grande volière vue depuis le pied de la Rotonde.
La grande volière.
Intérieur de la grande volière.
Intérieur de la grande volière.
Cormorans pies, dans la grande volière du jardin des plantes de Paris.
Autres installations
Des colonnes de pierre en forme de ruines attestent du goût romantique du XIXe siècle en matière paysagère ; elles sont parfois prises pour des ruines de l'abbaye St-Victor, mais en fait, avant la révolution française, celle-ci se trouvait sur l'emplacement des actuels Institut de physique du globe et « campus Jussieu » (voir Terre d'Alez) tandis que l'actuelle ménagerie comptait des bosquets, des dépôts de bois, des potagers et déjà des enclos pour les animaux du Jardin du Roi.
La Ménagerie compte également un laboratoire vétérinaire, conçu par Charles Rohault de Fleury en 1846, non visitable par le public. Des fosses aux ours, construites en 1805 sur des plans de Jacques Molinos, présentent aujourd'hui des binturongs et des pandas roux. Une nurserie, permettant l'éclosion de œufs en milieu contrôlé, ainsi que la présentation des dendrolagues de Goodfellow et des grands tatous velus, complètent l'ensemble.
En 2016, une souscription nationale est lancée pour sauver de la décrépitude la « fabrique » des chevaux de Przewalski, construite en 1890[43], dans le style des chaumières du « hameau de la Reine » construites pour Marie-Antoinette à Versailles[44]. Sa rénovation est achevée début 2019. Les autres « fabriques » de la Ménagerie sont progressivement restaurées à leur tour.
La girafe Zarafa, arrivée à la Ménagerie le 30 juin 1827, était accompagnée par son soigneur égyptien dont l'une des occupations aurait été de la brosser pour décrocher les tiques et pour qu'elle ait belle allure : cela serait à l'origine des expressions populaires « peigner la girafe », « peindre la girafe » (pour un travail dont on ne comprend pas l'utilité)[45] ou « se peigner à la girafe » (en raison des nombreuses illustrations, coiffures et objets au décor dit « à la girafe » alors à la mode[46]). Elle a également inspiré un couple de personnages typiques du Carnaval de Paris : La girafe et son cornac[47].
Devant la galerie d'herpétologie, la statue du Charmeur de serpents de Charles-Arthur Bourgeois (1862) est installée en 1868[48]. L'y rejoint vers 1883 le Chasseur de crocodiles » du même sculpteur[49]. D'abord ornant, à partir de 1876, le « Jardin des reptiles », la statue Ève tentée par le serpent du sculpteur Gaston Guitton est, en 1936, transférée par le Muséum à son aquarium et musée de la mer de Dinard[50]. En 1952, cette statue est jugée « indécente et immorale » par une organisation religieuse locale qui la vandalise[50]. Mieux admise par la suite, elle est restée à Dinard, dans l'établissement hôtelier qui a succédé à l'« aquarium et musée de la mer » sur leur ancien site[51].
Le poète autrichien Rainer Maria Rilke a écrit un poème sur la panthère du Jardin des plantes, intitulé La Panthère.
Dans Le Livre de San Michele (1929), le docteur Axel Munthe raconte ses longs face-à-face avec le gorille de la galerie des primates et la communication émotionnelle non verbale qui s'établissait parfois entre eux.
En 2007, Stéphane Audeguy publie Histoire du lion Personne (Seuil) où il narre, indirectement, la vie d'un lion sauvé enfant au Sénégal puis envoyé en France, et qui est témoin de la création de la Ménagerie du Jardin national (devenue Jardin zoologique).
↑Certains animaux survécurent, comme les singes jugés trop proches des humains pour être tués, les lions et les tigres trop dangereux, et les hippopotames parce que le prix de 80 000 francs qu’on en demandait était hors de portée des bouchers.
↑Yves Laissus, Le Muséum national d'histoire naturelle, PAris, Gallimard, coll. « Découvertes », (1re éd. 1995), 128 p. (ISBN2-07-053323-9).
↑« Rhinocéros : quand le Jardin des Plantes pleurait Périclès (1874) », FIGARO, (lire en ligne, consulté le )
↑ a et bMaryvonne Leclerc-Cassan, Dominique Pinon & Isabelle Warmoes, Le parc Zoologique de Paris des origines à la rénovation, Somogy éditions d'Art, , 296 p., p. 20-21
↑Cécile Fromont et Frédérique Lafon, « Fréquentation des lieux d'exposition du jardin des Plantes de Paris », La Lettre de l'OCIM, no 55, (lire en ligne)
↑(en) Michele Majer, « La Mode à la girafe: Fashion, Culture, and Politics in Bourbon Restoration France », Studies in the Decorative Arts, vol. 17, no 1, automne-hiver 2009-2010, p. 123–161 (ISSN1069-8825, DOI10.1086/652666).
Cette palette s'appuie sur la fréquentation des parcs en 2016 (ou l'année la plus proche en cas de donnée absente), les chiffres exacts se trouvent dans la page de discussion de la palette, les sources se trouvent dans les articles correspondants.
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