Originaire de Missy, Jacqueline Thévoz fait des études au Conservatoire et à la Faculté des sciences sociales et politiques de l'Université de Lausanne.
Elle commence ensuite une carrière de journaliste. Elle ne se cantonne pourtant pas à cette activité. Chorégraphe, organisatrice de spectacles, professeur de musique et de rythmique, compositeur[réf. nécessaire] et écrivain[2], Jacqueline Thévoz compte à son actif une vingtaine d'œuvres de tous genres.
Elle écrit de la poésie Raison vagabonde (1959), Escales vers ma mort (1974), des romans Les termites (1982), Un matricide très pardonnable (1999), des nouvelles Mimile (1975), des essais, principalement sur la musique et la danse. En 1993, elle publie notamment Passage d'une comète, œuvre poétique en hommage au danseur Rudolf Noureiev. On lui doit également des écrits scientifiques, dont un traité sur la danse.
Membre de plusieurs associations, dont la Société suisse des écrivaines et écrivains, l'Association vaudoise des écrivains, la Société fribourgeoise des écrivains ainsi que la Société des gens de lettres de France[2], Jacqueline Thévoz reçoit dès 1949 de nombreux prix (parmi ceux-ci le Prix Follope de la Faculté des lettres de Lausanne). Elle est l'un des personnages portraiturés par Marie-Jeanne Urech dans Monotone, mon automne ? (2004).
Jean Dawint, l'extraordinaire châtelain de Cernex, aux Éditions Maison rhodanienne, 1977
Le château de Paradis, aux Éditions Maison rhodanienne, 1979, Médaille d'or de l'Académie internationale de Lutèce et médaille de bronze des Arts-Sciences-Lettres de la ville de Bordeaux
Le prince au palais dormant, aux Éditions Maison rhodanienne, 1980, Prix Louis Allègre