Ossas-Suhare

Ossas-Suhare
Ossas-Suhare
La mairie d'Ossas-Suhare.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays basque
Maire
Mandat
Maite Echeverria
2020-2026
Code postal 64470
Code commune 64432
Démographie
Gentilé Ozaztar
Population
municipale
87 hab. (2021 en évolution de −6,45 % par rapport à 2015)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 08′ 29″ nord, 0° 53′ 23″ ouest
Altitude Min. 182 m
Max. 854 m
Superficie 7,17 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Montagne Basque
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Ossas-Suhare
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Ossas-Suhare

Ossas-Suhare est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Ozaztar[1].

Géographie

Localisation

Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune d'Ossas-Suhare se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 66 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 33 km d'Oloron-Sainte-Marie[4], sous-préfecture, et à 11 km de Mauléon-Licharre[5], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mauléon-Licharre[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Sauguis-Saint-Étienne (1,3 km), Trois-Villes (1,4 km), Menditte (2,6 km), Alos-Sibas-Abense (2,6 km), Camou-Cihigue (3,0 km), Tardets-Sorholus (3,5 km), Aussurucq (3,6 km), Idaux-Mendy (5,0 km).

Sur le plan historique et culturel, Ossas-Suhare fait partie de la province de la Soule, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones[9],[10]. La Soule, traversée par la vallée du Saison, est restée repliée sur ses traditions (mascarades, pastorales, chasse à la palombe, etc)[11]. Elle se divise en Haute-Soule, Basse-Soule et Arbaille, dont fait partie la commune.

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Alos-Sibas-Abense, Aussurucq, Camou-Cihigue, Idaux-Mendy, Menditte, Sauguis-Saint-Étienne et Trois-Villes.

Hydrographie

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Ossas-Suhare.

La commune est drainée par le Saison, l'Apouhoura, Charoko erreka, Ossinague erreka, le ruisseau Guéchala, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 7 km de longueur totale[13],[Carte 1].

Le Saison, d'une longueur totale de 72,2 km, prend sa source dans la commune de Larrau et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Autevielle-Saint-Martin-Bideren, après avoir traversé 31 communes[14].

L'Apouhoura, d'une longueur totale de 10,7 km, prend sa source dans la commune d'Aussurucq et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Saison à Idaux-Mendy, après avoir traversé 3 communes[15].

Climat

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[16]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[17].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 435 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[18]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Licq-Athérey à 8 km à vol d'oiseau[19], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 528,1 mm[20],[21]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[22].

Milieux naturels et biodiversité

Réseau Natura 2000

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[24],[Carte 2] :

  • « le Saison (cours d'eau) », d'une superficie de 2 200 ha, un cours d'eau de très bonne qualité à salmonidés[25] ;
  • le « massif des Arbailles », d'une superficie de 12 784 ha, présentant une flore très diversifiée marquée par une nette influence atlantique et montagnarde. Cependant, les versants exposés au Sud Sud-Est et Est abritent une flore thermophile remarquable[26] ;

et une au titre de la « directive Oiseaux »[24],[Carte 3] :

  • la « Haute Soule : forêt des Arbailles », d'une superficie de 7 114 ha, présentant une grande diversité de milieux à des altitudes moyennes fournissant gîte et couvert pour la faune ornithologique pyrénéenne[27].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[28],[Carte 4] : les « bordures méridionale et orientale de la forêt des Arbailles » (2 763,19 ha), couvrant 4 communes du département[29] et la « forêt des Arbailles » (6 283,64 ha), couvrant 9 communes du département[30] et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[28],[Carte 5] :

  • le « massif des Arbailles » (14 782,04 ha), couvrant 13 communes du département[31] ;
  • le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[32].

Urbanisme

Typologie

Au , Ossas-Suhare est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[33]. Elle est située hors unité urbaine[2] et hors attraction des villes[34],[35].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (55,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (31,7 %), prairies (29,7 %), zones agricoles hétérogènes (22,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (4 %), terres arables (3,3 %)[36]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 6].

Lieux-dits et hameaux

Trois quartiers composent la commune d'Ossas-Suhare[37] :

Ossas

  • Plaza ;
  • Aria.

Suhare

  • Zühara (Suhare en français).

Risques majeurs

Le territoire de la commune d'Ossas-Suhare est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[38]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[39].

Risques naturels

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Saison et l'Aphurhura. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2009 et 2014[40],[38].

Ossas-Suhare est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[41]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[42],[43].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile et des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[44]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[45].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Ossas-Suhare.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[46]. 71 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 7]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[47].

Risque technologique

La commune est en outre située en aval de barrages de classe A[Note 8]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[49].

Toponymie

Attestations anciennes

Le toponyme Ossas est mentionné en 1178[50] (collection Duchesne volume CXIV[51]), et apparaît sous les formes Osas (XIIIe siècle[50], collection Duchesne volume CXIV[51]) et Ossus (1801[52], Bulletin des lois).

Le toponyme Suhare est mentionné en 1460[50] (contrats d'Ohix[53]).

Graphie basque

Son nom basque actuel est Ozaze-Zühara[1].

Histoire

Préhistoire

La grotte de Gatzarria est un des sites de référence régionaux pour le Paléolithique moyen et supérieur dans l'ouest des Pyrénées[54]. Elle se situe sur la commune de Suhare[55], au pied du massif des Arbailles, s’ouvrant sur le versant nord-est du mont Hargagne à une altitude d’environ 270 mètres[56]. Depuis longtemps connue, elle n’a révélé sa richesse archéologique qu'en 1950 : des vestiges paléolithiques sont identifiés par Pierre Boucher, professeur et archéologue, alors qu'il accompagne des spéléologues dans une tentative de désobstruction du boyau situé au fond de la cavité. De 1951 à 1953, Pierre Boucher, Georges Laplace et François Bordes effectuent des sondages. En 1965, Georges Laplace dirige les premières fouilles ; interrompues en 1957, il reprend ces travaux de 1960 à 1976[57].

La stratigraphie du site couvre plusieurs phases du Paléolithique moyen et aussi le passage entre le Paléolithique moyen et plusieurs phases du Paléolithique supérieur ancien. Andoni Sáenz de Buruaga[58],[59],[60] et Georges Laplace[61] consacrent plusieurs études aux objets de pierre taillée[62].

Le matériel archéologique de Gatzarria issu des fouilles Laplace est légué, après son décès en 2004, au Musée national de Préhistoire. Le matériel est par la suite étudié de nouveau (faune, industrie en matières dures animales, industries lithiques) et les datations revues[63]. De nouvelles interprétations sont proposées pour la chronostratigraphie et les industries[64],[65],[54]. S'y trouvent notamment une succession d'industries du Quina et du Vasconien[66].

XIXe siècle

La commune a été créée le [67] par la réunion des communes d'Ossas et de Suhare.

Politique et administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2014 Jean-Pierre Inçagaray    
2014 En cours Maite Echeverria EHBAI[68]  

Intercommunalité

La commune fait partie de neuf structures intercommunales[69] :

  • la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
  • le SIGOM ;
  • le SIVOM du canton de Tardets ;
  • le SIVU chargé du tourisme en Haute-Soule et Barétous ;
  • le syndicat AEP du pays de Soule ;
  • le syndicat d’assainissement du pays de Soule ;
  • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal Arbailla ;
  • le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque.

Population et société

Démographie

Le Terrier de Soule[70] de 1675 dénombre sept feux à Suhare.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[71]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[72].

En 2021, la commune comptait 87 habitants[Note 9], en évolution de −6,45 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
225222241166301309447384352
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
344324309280281262250258270
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
244239228211212235219180189
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1661561237110083838394
2017 2021 - - - - - - -
8487-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[73] puis Insee à partir de 2006[74].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

L'activité est essentiellement tournée vers l'agriculture (élevage et pâturages). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine

L'église Saint-Cyprien d'Ossas avec escalier extérieur.

Patrimoine civil

La grotte Sasiziloaga[75] remonte[76] au Paléolithique supérieur. Elle est située sur les quartiers Harregia et Ezpela. Elle présente des peintures rupestres préhistoriques et a été classée aux monuments historiques en 1953.

Patrimoine religieux

L'église Saint-Cyprien d'Ossas[77] date de la fin du XIXe siècle. Lors de la restauration de 1987 l'inscription suivante fut mise à jour : « Le peuple françois reconoit l' être suprême et l'imortalité de l'âme » (article I du décret du 18 floréal an II, ou , signé par Robespierre). Suhare possède également une église.

Équipements

Personnalités liées à la commune

Jean de Jaurgain, historien et généalogiste.

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
  5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  8. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[48].
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique d'Ossas-Suhare » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Ossas-Suhare », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Sites Natura 2000 de types zones de protection spéciale (ZPS) (Directive Oiseaux) », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. « ZNIEFF de type I sur la commune d'Ossas-Suhare », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  5. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Ossas-Suhare », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  6. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
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Références

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  11. Frédéric Zégierman 1999, p. 23.
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