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La princesse Marguerite passe sa petite enfance en Angleterre, où elle voit le jour, du fait de la loi d’exil qui touche sa famille depuis la révolution de février 1848. C’est seulement à partir de la loi d'abrogation du que la princesse et sa famille peuvent revenir vivre en France[1].
Philippe Maurice Marie de Mac Mahon( - Paris † - Paris), 4e duc de Magenta, 8emarquis d'Éguilly« dit de Mac Mahon », marié (1°), le à Mollis (Suisse) (divorce en 1990) avec Claire-Marguerite Schindler (née le - Genève), marié (2°), le à Londres, avec Amelia Margaret Mary Drummond (née le - Glencarse), fille du capitaine Humphrey Ap Evans (puis Drummond) et (Jean) Cherry Drummond of Megginch (1928 † 2005), 16ebaronne Strange(en). Deux enfants de chaque mariage :
Anne Monique Marie ( - Château de Sully † - Neuilly), mariée, le (divorce le ), avec Gérard Louis Jacques Arnould Thénard (né le - Neuilly), baron Thénard ;
Amélie Marie Victoire (née le - Boulogne-Billancourt), mariée, le à Paradou, avec Hubert Clicquot de Mentque (né le - Pau)
Véronique Henriette Marie (née le , château de Sully), mariée, le à Paris (divorce en 1990), avec Pierre Jaboulet-Vercherre (né le - Brooklyn, New York), dont postérité.
Les titres portés par les membres de la maison d’Orléans nés après 1848 n’ont pas d’existence juridique en France et sont considérés comme des titres de courtoisie. Ils sont attribués par l'aîné des Orléans.
- : Son Altesse Royale la princesse Marguerite d'Orléans
- : Son Altesse Royale la duchesse de Magenta
Notes et références
↑Maxime Petit, Histoire de France contemporaine de 1871 à 1914, Larousse, , p. 40