La commune de L'Étang-la-Ville est située au cœur de la forêt domaniale de Marly, à cinq kilomètres au sud-ouest de Saint-Germain-en-Laye. Versailles se trouve à une dizaine de kilomètres à vol d'oiseau et à 15 kilomètres par la route. La ville se trouve dans un vallon encaissé ouvert au nord-est vers Marly-le-Roi et Mareil-Marly. Les dénivellations sont importantes entre le bas de la ville, à l'est, à 65 mètres et le plateau boisé, à l'ouest, qui culmine à 178 mètres.
par la ligne du tramway 13 Express, qui fut mise en service le et relie la gare de RER A de Saint-Germain-en-Laye à la gare de Saint-Cyr en interconnexion avec les lignes du RER C et des lignes N et U. Il s'agit d'une ligne de train-tram qui emprunte en grande partie l'ancienne ligne de chemin de fer de la Grande Ceinture et qui atteint le centre de la commune de Saint-Germain-en-Laye via un tracé de type tramway urbain. Elle dispose également de deux gares sur la commune : l'une en interconnexion avec la ligne L, Saint-Nom-la-Bretèche - Forêt de Marly, l'autre, la halte de L'Étang - Les Sablons, située à proximité du centre-ville dans les coteaux des Sablons ;
Le sentier de grande randonnéeGR 1 (tour de l’Île-de-France) traverse la partie boisée de la commune dans sa plus grande longueur, longeant la limite sud-ouest du territoire, de Marly-le-Roi à l'est jusqu'à Saint-Nom-la-Bretèche à l'ouest.
La commune abrite également de nombreuses sentes et chemins piétonniers qui lui donnent un caractère pittoresque (ruelle à Goupy, chemin du Dessus-des-Jardins...).
La commune en revanche est dépourvue de voie cyclable, bien qu'elle soit appréciée tant de vététistes qui viennent rejoindre les pistes de la forêt de Marly, que des cyclotouristes qui apprécient ses routes en pente. Néanmoins, dans le cadre du plan vélo 2019-2026 lancé par la communauté d'agglomération Saint Germain Boucles de Seine, la commune sera bientôt traversée dans sa longueur par le Réseau Express Vélo[2]. Depuis 2021, deux bornes de réparation pour vélos sont installées en libre-service (gare de l'Étang-la-Ville et parking Charles-de-Gaulle en face de la mairie).
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 655 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Trappes à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 686,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
Typologie
Au , L'Étang-la-Ville est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9].
Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[11]. Cette aire regroupe 1 929 communes[12],[13].
Morphologie urbaine
La commune est divisée en plusieurs quartiers.
Le centre-ville, située le long de la rue principale commerciale qui mène à l'église, est située en fond de vallée. Il est dominée à l'est par le quartier bien nommé de la Montagne (ancien hameau de Le Pecq avant 1822)[14], avec ses rues escarpées munies d'escaliers. Dans le prolongement du centre-ville se situe Le parc, avec la mairie et des résidences d'immeubles et le pré du Cher Arpent, en cours de lotissement. En montant vers la gare de Saint-Nom, se trouvent les quartiers du Nid d'Aigle et du Jouet d'Eau. Enfin, au sud de la voie de chemin de fer, l'Auberderie et le Fond du chêne, et au nord de celle-ci Les Sablons[15].
L'habitat se compose d'anciennes maisons villageoises groupées en centre-ville et à la Montagne, et de propriétés cossues, disséminées sur la commune et édifiées peu après l'arrivée du chemin de fer pour abriter les parisiens en villégiatures. Nombre de ces grandes propriétés sont détruites dans les années 60 et 70, au profit de lotissements (Pré de l'île ...). Celles qui subsistent sont progressivement divisées, au profit d'habitat individuel, de lotissement et de résidence de petits immeubles.
Les quartiers situés à l'extérieur de la ligne de chemin de fer (l'Auberderie, les Sablons, le Fond du Chêne) ont été lotis dans les années 70.
L'habitat en surface au sol se compose à 68% d'habitat individuel (contre 34 % en moyenne dans la communauté d'agglomération dont elle fait partie), 24% d'habitat collectif (contre 23 %), 4 % d'espace artificiel (voirie, parking...) et 5 % de bâtiment utilitaires (bureaux, écoles, commerces... contre 19 %)[16].
La diversité des reliefs et des paysages conduit à un PLU morcelé en nombreuses zones.
Le prix moyen de l'immobilier (vente) en 2023 est de 5400 € / m² pour les maisons et de 4569 € pour les appartements[17]. Les habitants sont à 79 % propriétaires et à 18 % locataires.
La commune est déficitaire en logements sociaux, ce qui lui vaut d'être déclarée comme carencée au titre de la loi SRU. Considérant le non-respect des objectifs de construction de logements sociaux sur la période 2017-2020, la commune est redevable d'une pénalité financière sévère pour les années allant de 2021 à 2023.
Toponymie
Vers 825, selon l'abbé Lebeuf, l'abbaye Saint-Germain-des-Prés possédait une chapelle dans la forêt de Creva (forêt de Cruye), au lieu-dit Maisons ou Maisons Rouge, en la paroisse de L'Etang[18]. Elle est connue sous le nom de chapelle Chevaudos ou Chevaudeau depuis le XIIIe siècle.
Le nom de la localité est attesté sous les formes latines : apud Stagnum en 1140 ou 1150[19], 1180[20], Stagnum juxta les Neffliers 1273[21], de Stanno Ville 1352[20], Stanno villa ou villa Stanno en 1626[22], Stagnum Villae[23].
En français : L'Etang sous Marly 1290[24], L'Etang la Ville vers le XIVe ou XVe siècles[25], L'Etang les Sources[26] en 1789, L'Etang en 1793, L'Étang-les-Sources en 1801[27].
L'étang, depuis longtemps asséché, fut d'abord occupé par des prés. Il se trouvait à l'emplacement de l'actuel parc Fonton, situé en centre-ville.
Héraldique
Les armes de L'Étang-la-Ville se blasonnent ainsi :
coupé, au premier d'azur au chevron d'or accompagné, en chef, de deux étoiles du même et, en pointe, d'un mouton d'argent, au second d'argent à la fasce ondée d'azur.
La première partie du blason reprend les armes de la famille Séguier qui joua un rôle important dans l'histoire de la ville : D'azur au chevron d'or accompagné de deux étoiles de même en chef, et un mouton tranquille d'argent en pointe. Dans la seconde partie, la bande ondée d'azur symbolise l'eau de l'étang autour duquel s'est construite la ville[28].
Histoire
Allée couverte du Cher Arpent au début du XXe siècle (faussement reconstruite dans le parc du château).
Le site est habité depuis la préhistoire, comme en témoignent l'allée couverte retrouvée au XIXe siècle au lieu-dit le « Cher Arpent » et le menhir de la Haute Pierre, aujourd'hui disparu. Il doit son nom à un étang qui occupait autrefois le fond du vallon et était alimenté par des sources à flanc de coteau.
Le château a été construit au XVIIe siècle par Pierre Séguier. Le château et la seigneurie furent ensuite acquis par la famille Fonton de Vaugelas qui y resta jusqu'en 1790. Le domaine a ensuite appartenu à Monsieur Blossier, écuyer et ancien huissier au Châtelet, à Monsieur Révélière, commissaire général de la Marine, Messieurs Cars et Alléon, tous alliés à la famille de Fonton. Le château sort ensuite de la famille pour être la propriété successive de trois architectes qui seront tous maires de la commune : Philippe-Alphonse de Metz (1807/1879), Alfred-Louis Adam (1824/1890) puis Louis de Pellerin de Latouche (1857/1920)[29]. Après le décès de ce dernier, le domaine est vendu à la famille Desombre. Occupé par les Allemands durant la Seconde Guerre mondiale, le château est dévasté et le domaine démembré. Voué à la démolition, le bâtiment est sauvé par la mobilisation des Stagnovillois et rénové de 1967 à 1969 pour accueillir la mairie[30]. Le parc est loti (actuelle résidence du Parc).
Le village est longtemps à vocation agricole, habité par des vignerons. Après les ravages causés aux vignes, les cultivateurs reconvertissent les terres en terrains maraîchers et plantent de nombreux arbres fruitiers installés sur les coteaux pour approvisionner les marchés de Versailles, Saint-Germain-en-Laye et Paris.
À partir de l'ouverture de la ligne de chemin de fer allant de Saint-Cloud à Saint-Nom-la-Bretêche en 1884, la population change progressivement. La commune sert désormais de lieux de villégiatures aux bourgeois parisiens qui font édifier des maisons de campagne et de lieu de distraction au sein de plusieurs restaurants et guinguettes implantés dans le village et la forêt.
À la fin du siècle, plusieurs peintres du mouvement des nabis - Ker-Xavier Roussel, Edouard Vuillard - habitent et visitent le village, qui est représenté sur plusieurs tableaux.
À compter des années 1960, la commune accueille de nouveaux habitants, résidant dans la commune et travaillant à Paris puis dans le centre d'affaires de La Défense, multipliant par quatre la population en 30 ans.
La commune relève du Conseil de Prud'hommes de Saint-Germain-en-Laye, et de Versailles pour les Tribunaux judiciaire et de commerce et la Cour d'Appel.
Les commissariats de Marly-le-Roi et de Saint-Germain-en-Laye sont également compétents. La commune possède une police municipale.
L'étude devant aboutir en un an à l'adoption du projet de commune nouvelle divise les habitants des communes concernées[37]. Le projet provoque la démission du conseil municipal de la ville limitrophe de Mareil-Marly, qui rejettera le projet quelques mois plus tard. La municipalité de L'Etang-la-Ville décide en septembre 2018 de se retirer du projet[38]. L'ancienne ville de Fourqueux au contraire a fusionné après des délibérations houleuses avec la commune nouvelle de Saint-Germain-en-Laye à effet du 1er janvier 2019.
En 2020, la liste Unis pour Agir, classée DVC par la préfecture[39], a remporté les élections municipales avec 25,10% des inscrits.
Ingénieur conseil[41] Diplômé de l'École nationale des impôts Président de l'agence départementale de conseil aux communes[42] Réélu en 1995, 2001, 2008 et 2014
Élections départementales, résultats des deuxièmes tours :
Élections départementales de 2015 : 71,07 % pour Elisabeth Guyard et Philippe Pivert (UD), 28,93 % pour Thibaud Eychenne et Angéline Silly (PS), 43,53 % de participation[54].
Élections municipales, résultats des deuxièmes tours :
Élections municipales de 2020 : 47,95 % pour Daniel Cornalba (DVC), 37,87 % pour Sylvie Seng (DVD), 14,17 % pour Jean-Luc Auffret-Cariou (DVC), 52,87 % de participation[57].
La commune dispose d'une crèche publique installée en centre-ville et de crèches privées, bilingues anglaises.
La commune est située dans l'académie de Versailles.
Le groupe scolaire public du Haut-des-Guérines est composée d'une école maternelle (5 classes de petite, moyenne et grande section) et d'une école primaire[59](9 classes du CP au CM2). Les deux écoles disposent d'espaces spécifiques mais sont mitoyennes et partagent les installations sportives et un bâtiment annexe affecté aux activités périscolaires. L'école primaire dispose d'un accord avec le lycée international de Saint-Germain-en-Laye pour favoriser la scolarité des enfants bi-nationaux[60].
Des écoles alternatives Montessori sont accessibles sur les communes voisines de Saint-Nom-la-Bretêche et Bailly.
Le collège Louis-Lumière[61] et le lycée Louis-de-Broglie[62], établissements publics du secteur sont situés sur la commune limitrophe de Marly-le-Roi, qui accueille la moitié des enfants de la commune.
L'autre moitié des enfants est scolarisée dans les nombreux établissements publics et privés de Saint-Germain-en-Laye (lycée international, école Saint-Erembert[63], Institut Notre-Dame…).
Un Pôle Ado, située en centre-ville, est ouvert le mercredi, le week-end et durant les vacances scolaires.
L'offre d'études supérieures sectorielle est concentrée sur les communes de Saint-Germain-en-Laye et Versailles (classes supérieures de lycées, université de Saclay-Versailles-Saint-Quentin).
Santé
Sont notamment installés à l'Etang-la-Ville deux médecins généralistes, deux chirurgiens-dentistes, six kinésithérapeutes et plusieurs infirmières ainsi qu'une pharmacie. La création d'une maison médicale est une des nombreuses promesses de campagne lors des dernières élections municipales de 2020.
L'Etang-la-Ville relève des services d'urgence des hôpitaux de Poissy et Saint-Germain-en-Laye. Une clinique privée est également située non loin à Port-Marly.
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Sports et loisirs
L'association" le Canard de l'Étang informe les stagnovillois des activités dans la commune et dans les environs. Les installations de la commune sont :
Le complexe de l'Auberderie : il comprend un stade de football, cinq terrains de tennis dont deux couverts et une maison des Associations équipée de plusieurs salles utilisées par les associations.
Le centre-ville comprend la salle Fonton, accolée au parc du même nom.
La commune est bordée par la forêt qui comprend un parcours sportif peu entretenu, des sentiers de randonnées, des pistes de vélo et des itinéraires de VTT.
La commune voisine de Marly-le-Roi est pourvue d'une piscine située en lisière de L'Étang-la-Ville.
Culte
La commune ne dispose que d'un lieu de culte catholique, l'église Sainte-Anne, située en centre-ville, membre du groupement paroissial de Marly-le-Roi avec les paroisses de Port-Marly et du Pecq. Le prêtre du secteur officie à Sainte-Anne pour une messe dominicale et à Saint-Thibaut au Pecq quotidiennement. La paroisse dispose également d'un presbytère et d'une salle paroissiale gérée par l'association paroissiale. Elle dépend de l'évêché de Versailles.
Une église protestante unie est implantée à Marly-le-Roi. Les synagogues et mosquées les plus proches sont à Saint-Germain-en-Laye et La Celle-Saint-Cloud.
Culture
La commune est prisée par de nombreux artistes qui y résident à l'année et qui participent aux temps forts culturels :
Les portes ouvertes des artistes permettent de découvrir une quinzaine d'ateliers d'artistes durant un weekend de juin[64]
Le Salon des arts et le Salon des Créateurs de L'Étang-la-Ville, organisés au mois de novembre.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[65]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[66].
En 2021, la commune comptait 4 673 habitants[Note 4], en augmentation de 0,69 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,4 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 142 hommes pour 2 317 femmes, soit un taux de 51,96 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,32 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[68]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,9
90 ou +
1,5
9,6
75-89 ans
10,7
17,5
60-74 ans
16,5
25,5
45-59 ans
26,3
13,0
30-44 ans
13,8
15,1
15-29 ans
14,5
18,3
0-14 ans
16,7
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2021 en pourcentage[69]
Allée couverte du Cher Arpent : monument mégalithique de la fin de l'époque néolithique (environ 2500 ans av. J.-C.), découverte en 1878, en partie détruite et faussement remontée dans un autre emplacement dans le parc du château.
Église Sainte-Anne : édifice en pierre de styles roman et gothique dont l'origine remonte au XIIe siècle. Elle est classée à l'inventaire des monuments historiques depuis 1926.
Château Séguier, de style Louis XIII, actuellement occupé par la mairie, construit au XVIIe siècle par Pierre Séguier, chancelier de France sous Louis XIII et membre fondateur de l'Académie française. Il a servi de lieu de tournage pour le film Les Diaboliques de H.G. Clouzot en 1954.
La croix Saint-Jacques, érigée au centre du village, a la particularité d'avoir été détruite lors des troubles révolutionnaires de 1789-1790, puis reconstruite. D'après la tradition locale, ce serait là que la sorcière "Gonbaud" aurait été conduite au bûcher.
Ker-Xavier Roussel (1867-1944), peintre et sculpteur habite l'Étang-la-Ville, hameau de la Montagne, de 1899 à sa mort.
Edouard Vuillard (1868-1940), peintre du mouvement des nabis, beau-frère de Ker-Xavier Roussel, peint plusieurs tableaux lors de son séjour en 1885 à la Joconette, au hameau de la montagne de l'Etang-la-ville.
Max Ophüls (1902-1957), cinéaste, y prépara son dernier scénario, pour le film Lola Montès (1955), dont l'échec commercial mettra fin à sa carrière de metteur en scène.
Jean Rousselot (1913-2004), poète, y habite de 1955 à sa mort en 2004.
Jean Bouchéty (1920-2006), musicien et chef d'orchestre, né et issue d'une vieille famille stagnovilloise
Gérard Plouviez (1922-1998), comédien, parodiste et artiste de music-hall (Gérard Séty),
Guy Degrenne (1925-2006), créateur de la marque éponyme, habita une maison dans le quartier du Nid d'Aigle.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
↑L'aventure de la Grande Ceinture par Bruno Carrière et Bernard Collardey, La Vie du rail, 1992, pages 34 et 190.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Cercle généalogique de Versailles et des Yvelines, Paysages d'Yvelines à la fin du XVIIIe siècle : Le cadastre de Bertier de Sauvigny, Archives départementales des Yvelines, .
↑Abbé Lebeuf, Histoire du diocèse de Paris, doyenné de Châteaufort. (1757), t. 7, p. 247.
↑Abbé Lebeuf, Histoire du diocèse de Paris, doyenné de Châteaufort. (1757), t. 7, p. 243.
↑ a et bE. Nègre, Toponymie Général de la France, t. 2, , p.1078.
↑L. Merlet et Aux.Moutie, Cartulaire de l'Abbaye de Notre-Dame des Vaux de Cernay 1251-1300 (1857), t. 1(2), p. 706.
↑Abbé Lebeuf, Histoire du diocèse de Paris, doyenné de Châteaufort. (1757), t. 7, p. 244.
↑Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
↑Mémoires de la Société de l'histoire de Paris et de l'Île-de-France, (1885), t. 11, p. 217.
↑BEZAUD (A.) RAMIERE de FORTANIER (A.) Guide des archives des Yvelines et de l'ancien département de Seine-et-Oise: Séries anciennes (séries A à H) (2002).
↑La grande histoire des Yvelines, Monique Bardy, Édijac, 1989.
↑Emmanuel Guillemain d'Echon, « Grand Paris en grande couronne : blocage en vue autour de Roissy et Évry », La Gazette des communes, (lire en ligne, consulté le ).
↑Benjamin Derveaux & S.B., « Fusion Saint-Germain - Mareil-Marly - Fourqueux - L’Etang-la-Ville : « On risque de perdre notre identité » : Si à Saint-Germain-en-Laye, les habitants semblent indifférents au projet de fusion des quatre communes, dans les trois autres villes, certains sont inquiets », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ).
↑Benjamin Derveaux, « Saint-Germain-en-Laye : Sciences-po a planché sur la fusion des communes : Les étudiants ont travaillé sur le projet de rapprochement entre les villes de Saint-Germain-en-Laye, Fourqueux, Mareil-Marly et L’Etang-la-Ville. Ils ont présenté leurs conclusions aux élus », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ).
↑Benjamin Derveaux, « Fusion Saint-Germain - Mareil-Marly - Fourqueux - L’Etang-la-Ville : « On risque de perdre notre identité » », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ).
↑Sébastien Birden, « L’Etang-la-Ville sort du projet de fusion avec Saint-Germain : Le maire Jean-Yves Bouhourd (DVD) explique sa décision par l'intérêt limité de ce projet. », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ).
↑« On freine sur les fêtes, les cérémonies, le fleurissement... » : Jean-Yves Bouhourd, président de l'agence départementale de conseil aux communes », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ).