En 1980, il fait partie des quatre derniers candidats retenus pour devenir les premiers spationautes français, mais les deux candidats qui seront retenus seront Patrick Baudry et Jean-Loup Chrétien.
En 1989, il participe à l'opération Épervier en tant que commandant des éléments français au Tchad. Puis, du au , il participe également à l'opération Daguet en Arabie Saoudite, en tant que commandant des unités de l'Armée de l'air stationnées sur la base d'Al Ahsa en Arabie saoudite.
Nommé général en 1990, il conduit en 1992 les activités spatiales militaires au sein de l'état-major des armées.
Sa cérémonie d'adieu aux armes est organisée le sur la base aérienne 112 de Reims, en présence de Michèle Alliot-Marie, ministre de la Défense : « Vous laissez une Armée de l'air parfaitement opérationnelle, cohérente, servie par du personnel motivé dont la compétence est absolument reconnue par tous les Français et par nos alliés sur tous les théâtres d'opérations. Conscient des difficultés, vous avez tracé les axes d'évolution nécessaires. Vous quittez vos fonctions avec l'estime des hommes et des femmes de l'Armée de l'air, la reconnaissance de vos compatriotes et les remerciements de votre ministre. »
Décorations
Jean-Pierre Job a reçu les distinctions suivantes :