Isabelle Lonvis-Rome
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Isabelle Lonvis-Rome, née le à Bourg-en-Bresse (Ain), est une magistrate, autrice et femme politique française.
Elle a été notamment juge de l'application des peines et présidente de cours d'assises au cours de sa carriÚre. Entre 2000 et 2002, elle conseille la garde des Sceaux Marylise Lebranchu. Devenue inspectrice générale de la Justice, elle est nommée haute-fonctionnaire à l'égalité femmes-hommes au ministÚre de la Justice en 2018.
Le , elle est nommĂ©e ministre dĂ©lĂ©guĂ©e chargĂ©e de l'ĂgalitĂ© entre les femmes et les hommes, de la DiversitĂ© et de l'ĂgalitĂ© des chances au sein du gouvernement Ălisabeth Borne. Elle n'est pas renouvelĂ©e dans ses fonctions lors du remaniement du , entraĂźnant son dĂ©part du gouvernement.
Ă compter du , elle devient ambassadrice pour les droits de lâhomme chargĂ©e du devoir de mĂ©moire relatif Ă la dimension internationale de la Shoah et aux spoliations[1],[2].
Biographie
Famille
NĂ©e Ă Bourg-en-Bresse, Isabelle Lonvis grandit Ă Saint-Ătienne-sur-Reyssouze (Ain), oĂč son pĂšre, ancien rĂ©sistant, est directeur d'Ă©cole et sa mĂšre institutrice ; elle a un frĂšre, mĂ©decin[3],[4].
Elle a été mariée à Yves Rome, conseiller en formation continue, homme politique membre du Parti socialiste, ancien député, sénateur et président du conseil général de l'Oise[5],[6]. Elle en est divorcée depuis 2016[réf. nécessaire].
CarriĂšre de magistrate
DĂ©buts Ă Lyon
Isabelle Lonvis est ancienne Ă©lĂšve de lâĂcole nationale de la magistrature. En 1987, pour son premier poste[7], Isabelle Lonvis Ă©pouse Passet est juge de l'application des peines Ă Lyon (1987-1992[8]). Toujours au tribunal judiciaire de Lyon, elle est nommĂ©e secrĂ©taire gĂ©nĂ©rale de la PrĂ©sidence[9] (1992-1995[10]), puis juge d'instruction (1996-1998[8]).
En administration centrale
En 1998, elle rejoint la DĂ©lĂ©gation interministĂ©rielle Ă la ville, oĂč elle est cheffe du bureau de la prĂ©vention de la dĂ©linquance[9] (1998-2000[11]).
Elle quitte ce poste en 2000 pour devenir conseillĂšre technique chargĂ©e de la protection judiciaire de la jeunesse, de lâaide aux victimes et de lâaccĂšs au droit[12], au sein du cabinet de la garde des Sceaux Marylise Lebranchu (2000-2002[13]).
Retour en juridiction
Ă son retour en juridiction, elle occupe le poste de vice-prĂ©sidente chargĂ©e de lâinstruction Ă Amiens (2003-2006[8]). De 2006 Ă [10], elle travaille au tribunal de grande instance de Pontoise, chargĂ©e des affaires familiales, puis des rĂ©fĂ©rĂ©s et juge des libertĂ©s et de la dĂ©tention[9].
En 2012, elle devient conseillÚre à la cour d'appel de Versailles[14] et présidente des cours d'assises de Nanterre, Versailles, Pontoise et Chartres (2012-2018[10]).
Haute fonctionnaire à l'égalité femmes-hommes du ministÚre de la Justice
Le , elle est nommĂ©e haute-fonctionnaire Ă l'Ă©galitĂ© femmes-hommes au ministĂšre de la Justice, par la garde des Sceaux Nicole Belloubet[15]. Au ministĂšre de la Justice, Isabelle Rome est la premiĂšre haute fonctionnaire Ă lâĂ©galitĂ© femmes-hommes Ă exercer ce poste Ă temps plein[15]. Elle a pour mission dâamĂ©liorer lâaccĂšs des femmes Ă des postes de hiĂ©rarchie, d'assurer un meilleur Ă©quilibre vie privĂ©e/vie professionnelle, de lutter contre les stĂ©rĂ©otypes et de rĂ©introduire la mixitĂ© dans les mĂ©tiers de la justice[14]. Le ministĂšre de la Justice avait Ă©tĂ© rappelĂ© Ă lâordre en 2016 pour le manque de femmes aux postes de direction[16].
Sous l'impulsion de la garde des Sceaux Nicole Belloubet, et sous la responsabilitĂ© d'Isabelle Rome, le , le ministĂšre de la Justice publie son premier baromĂštre de l'Ă©galitĂ© femmes-hommes[17]. Le mĂȘme jour, un texte d'engagement pour une parole non sexiste[17] est signĂ© et adoptĂ© par l'ensemble des directions du ministĂšre, l'inspection gĂ©nĂ©rale de la justice, les quatre Ă©coles du ministĂšre (ENM, ENG, ENAP, ENPJJ) et par les premiĂšres structures signataires (cours, TGI, directions interrĂ©gionales de la PJJ, directions et structures de l'administration pĂ©nitentiaire)[18],[19]. Elle publie son premier rapport d'activitĂ© en juin 2020[20],[21].
Le deuxiĂšme baromĂštre ĂgalitĂ©, sur l'accĂšs des femmes et des hommes aux postes Ă responsabilitĂ©, est publiĂ© le [22]. Le texte d'engagement pour une parole non sexiste est signĂ©, le mĂȘme jour, par la nouvelle directrice du secrĂ©tariat gĂ©nĂ©ral, par la nouvelle directrice de la direction de la protection judiciaire de la jeunesse (DPJJ) et par le nouveau directeur des services judiciaires (DSJ) du ministĂšre de la Justice[23].
Isabelle Rome est chargĂ©e par la garde des Sceaux Nicole Belloubet de coordonner un plan d'action de lutte contre les violences conjugales[24]. Elle conduit le groupe de travail du ministĂšre de la Justice dans le cadre du Grenelle consacrĂ© Ă ce sujet du au , et veille Ă la mise en Ćuvre des mesures qui en sont issues[25],[26],[27],[28],[29],[30].
Un vade-mecum « Secret médical et violences au sein du couple »[31] a été élaboré avec le Conseil national de l'Ordre des médecins et la Haute Autorité de santé afin d'accompagner la loi du [32] introduisant un nouveau cas de dérogation au secret médical.
Avec Ăric Dupond-Moretti, Isabelle Rome prĂ©sente le bilan des mesures mises en Ćuvre par le ministĂšre de la Justice Ă la suite du Grenelle sur les violences conjugales[33],[34],[35].
Ministre dans le gouvernement Borne
Le , elle est nommĂ©e ministre dĂ©lĂ©guĂ©e chargĂ©e de l'ĂgalitĂ© entre les femmes et les hommes, de la DiversitĂ© et de l'ĂgalitĂ© des chances au sein du gouvernement Ălisabeth Borne.
En , elle annonce que le gouvernement versera 400 000 euros chaque année pendant trois ans à la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (LICRA) « afin de soutenir ses actions de lutte contre le racisme, l'antisémitisme et la haine anti-LGBT+ »[36].
En , elle propose lâidĂ©e dâune formation spĂ©cialisĂ©e au sein des tribunaux sur le sujet des violences intrafamiliales[37].
En , elle exprime son désaccord concernant les photos de MarlÚne Schiappa dans Playboy, considérant que ce choix ne fait pas avancer la liberté des femmes[38].
Le , elle prĂ©sente, aux cĂŽtĂ©s d'Ălisabeth Borne, le plan « Toutes et tous Ă©gaux - 2023-2027 ». Il prĂ©voit notamment la crĂ©ation de pĂŽles spĂ©cialisĂ©s violences intrafamiliales dans chaque tribunal et la mise en place d'une structure de prise en charge globale et complĂšte des femmes victimes de violences dans chaque dĂ©partement.
En , elle prĂ©sente le nouveau plan 2023-2026 du gouvernement pour « lutter contre la haine envers les personnes homosexuelles et trans ». Le plan prĂ©voit notamment le renforcement des centres dâinformation et dâaccompagnement LGBT via une enveloppe de 10 millions dâeuros[39].
Le , elle est remplacée par BérangÚre Couillard[40] lors d'un remaniement ministériel.
Nommée en premiÚre présidente de chambre à la cour d'appel de Versailles[41]auprÚs du premier président Jean-François Beynel, elle est chargée de la mise en place des PÎles spécialisés pour les violences intra-familiales[42] et lance le programme de mentorat Femmes Entraide Justice pour favoriser la mixité sociale et l'accession paritaire aux postes les plus élevés de la justice, en partenariat avec l'université de Versailles Saint-Quentin (UVSQ) et Sciences Po Saint-Germain-en-Laye[43].
Elle publie en La fin de l'impunité (éditions Stock), livre dans lequel elle propose notamment l'inscription de la définition du féminicide dans la loi[44] et l'introduction de la notion de non-consentement dans la définition du viol[45],[46] ainsi que la définition légale du contrÎle coercitif[47]
Nommée le par décret du président de la République, elle devient ambassadrice pour les droits de l'homme pour la France[48].
Engagements associatifs
Ă Lyon
Pendant ses annĂ©es Ă Lyon (1987-1998), Isabelle Rome est membre de l'APUS (Association des praticiens de l'urgence sociale) et du ComitĂ© rhodanien dâaccueil des rĂ©fugiĂ©s et demandeurs dâasile[12].
En banlieue lyonnaise, Ă Vaulx-en-Velin, elle lance, avec d'autres acteurs, en 1998, lâopĂ©ration « Objectif citoyen », soit 72 rencontres organisĂ©es dans les quartiers pour sensibiliser les jeunes Ă la loi[12].
Dans l'Oise
Elle est prĂ©sidente-fondatrice de lâassociation « Femmes de LibertĂ© » (anciennement appelĂ©e « Paroles de Femmes en Picardie »[49]), qu'elle a crĂ©Ă©e dans l'Oise en 2002[12]. Cette association a pour but de faciliter la parole des femmes, de tous horizons et milieux, autour des valeurs rĂ©publicaines[14]. Isabelle Rome prĂ©side cette association pendant douze ans, jusquâen 2014[9], organisant des dĂ©bats, des cafĂ©s-citoyens ou des ateliers dâĂ©criture. En 2011, elle participe Ă l'inauguration d'une plaque commĂ©morative sur la maison de SĂ©verine Ă Pierrefonds[50]. Elle avait deux ans plus tĂŽt Ă©crit la prĂ©face de l'ouvrage d'Ăvelyne Le Garrec, SĂ©verine : Vie et combats d'une frondeuse.
Ouvrages
- Vous ĂȘtes naĂŻve, Madame le juge, Ăditions du Moment, 2012.
- Dans une prison de femmes : une juge en immersion, Ăditions du moment, 2014.
- Plaidoyer pour un droit Ă lâespoir, Enrick B. Ăditions, 2018, prĂ©face de Benjamin Stora.
- Liberté, égalité, survie, Stock, 2020.
- L'emprise et les violences au sein du couple, dir. avec Ăric Martinent, Dalloz, 2021, prĂ©face d'Ăric Dupond-Moretti.
- Ensemble pour les droits des femmes !, co-Ă©crit avec Giula Clara Kessous, Alternatives, 2022.
- La fin de l'impunité, éditions Stock, février 2024.
- Les droits des femmes, BD coécrite avec Juliette Mel et Mouche Cousue, Lextenso, mars 2024.
- RĂ©sistance, Renaissance, ouvrage collectif en soutien aux femmes afghanes, Ă©ditions Labor & Fides, 2024.
Notes et références
- â « Isabelle Lonvis-Rome nommĂ©e ambassadrice pour les droits de lâhomme. », sur leblogdinfo.blogspot.com, (consultĂ© le ).
- â « DĂ©cret du 24 avril 2024 portant nomination d'une ambassadrice pour les droits de l'homme, chargĂ©e du devoir de mĂ©moire relatif Ă la dimension internationale de la Shoah et aux spoliations », sur LĂ©gifrance - JORF n°0097 du 25 avril 2024.
- â « Isabelle Rome, la ministre racontĂ©e par ses proches », sur macon.magville.fr,
- â « Saint-Ătienne-sur-Reyssouze fiĂšre dâIsabelle Lonvis, enfant du pays devenue ministre », sur Le ProgrĂšs,
- â N.S., « Isabelle Rome : "J'ai rĂ©ussi sans mon mari" », sur Le Parisien,
- â « Isabelle Rome, le juge est une femme », sur Le Parisien,
- â Cinq choses Ă savoir sur Isabelle Rome, ministre dĂ©lĂ©guĂ©e Ă lâĂgalitĂ© entre les Femmes et les Hommes, ouest-france.fr, 20 mai 2022
- â a b et c « Le code pĂ©nal dans une main, le cĆur dans l'autre », Ouest-France, (lire en ligne, consultĂ© le )
- â a b c et d « Mme Isabelle ROME - Haut Conseil Ă l'EgalitĂ© entre les femmes et les hommes », sur www.haut-conseil-egalite.gouv.fr (consultĂ© le )
- â a b et c « Isabelle Rome : magistrate, Ă©crivain, Ă©clairĂ©e et humaniste â Courrier plus », sur lecourrierplus.fr (consultĂ© le )
- â « Isabelle Lonvis - Nominations au Journal officiel de la RĂ©publique française », sur jorfsearch.steinertriples.ch (consultĂ© le )
- â a b c et d « [LES ACTEURS] Isabelle Rome, Haute fonctionnaire Ă lâĂ©galitĂ© femmes-hommes - Tendance Droit », Tendance Droit, (lire en ligne, consultĂ© le )
- â « Justice ; Cabinet et services rattachĂ©s au Ministre ; Cabinet (1993- 2002) », Archives nationales, (lire en ligne)
- â a b et c « Isabelle Rome : La juge va porter les droits des femmes », Le Parisien, (lire en ligne)
- â a et b « Isabelle Rome, haute fonctionnaire pour lÂĂ©galitĂ© femmes-hommes », justice.gouv.fr, (lire en ligne, consultĂ© le )
- â Mathieu Delahousse, « Une magistrate pour veiller Ă la promotion des femmes dans la Justice », L'Obs, (lire en ligne, consultĂ© le )
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- â « Var Matin, "Il est important d'insuffler une culture de l'Ă©galitĂ© pour sensibiliser les jeunes gĂ©nĂ©rations" », sur www.pressreader.com, (consultĂ© le )
- â « La semaine juridique, "spĂ©cial femmes et droit", Ă©dition PDF »,
- â « Rapport d'activitĂ© - Isabelle Rome », sur MinistĂšre de la justice,
- â « LâĂ©galitĂ©, une volontĂ© », sur LA SEMAINE JURIDIQUE,
- â « Publication du deuxiĂšme baromĂštre EgalitĂ© femmes-hommes », sur justice.gouv.fr (consultĂ© le )
- â « JournĂ©e internationale pour les droits des femmes », sur justice.gouv.fr (consultĂ© le )
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- â Laurence Neuer, « Violences conjugales : « Notre seul mot d'ordre est la protection des victimes » », sur Le Point, (consultĂ© le )
- â « Comment la justice adapte ses procĂ©dures face aux violences conjugales », Le Monde.fr, (lire en ligne, consultĂ© le )
- â « Violences conjugales : vers la levĂ©e du secret mĂ©dical », sur L'Obs
- â « Contre les violences conjugales, l'Espagne Ă l'avant-garde », sur France Culture (consultĂ© le )
- â « Violences conjugales en France : le phĂ©nomĂšne d'emprise sera pris en compte par la loi », sur France 24, (consultĂ© le )
- â « Violences conjugales : Isabelle Rome estime qu'il faut "agir vite" et de "maniĂšre adaptĂ©e" dans ces affaires qui sont trĂšs spĂ©cifiques », sur Europe 1 (consultĂ© le )
- â « Soignants et victimes de violences conjugales », sur justice.gouv.fr (consultĂ© le )
- â « Loi du 30 juillet 2020 visant Ă protĂ©ger les victimes de violences conjugales », sur Vie publique.fr (consultĂ© le )
- â Par ZoĂ© Lauwereys Le 24 novembre 2020 Ă 17h06, « Violences conjugales : «Les tĂ©lĂ©phones dâurgence ont Ă©vitĂ© 619 agressions» », sur leparisien.fr, (consultĂ© le )
- â « Violences conjugales : « La prise de conscience des juges est massive, Ă lâimage de celle de la sociĂ©tĂ© » », sur L'Obs (consultĂ© le )
- â Plana Radenovic, « ĂgalitĂ© femmes-hommes : aprĂšs le Grenelle contre les violences conjugales, Isabelle Rome devient ministre », sur jdd.com, (consultĂ© le )
- â Lutte contre le racisme: le gouvernement va verser 400.000 euros par an sur 3 ans Ă la Licra, nicematin.com, 12 juillet 2022
- â Ilyes Ramdani, « Violences conjugales : lâAssemblĂ©e vote la crĂ©ation de juridictions spĂ©ciales », sur Mediapart (consultĂ© le )
- â MarlĂšne Schiappa dans Playboy : "C'est comme lutter contre lâantisĂ©mitisme dans Rivarol", tacle la ministre Isabelle Rome, midilibre.fr, 6 avril 2023.
- â AgnĂšs Leclair, 10 millions dâeuros pour le nouveau plan contre les discriminations anti-LGBT, lefigaro.fr, 9 juillet 2023
- â « Remaniement : BĂ©rangĂšre Couillard nommĂ©e ministre dĂ©lĂ©guĂ©e Ă l'ĂgalitĂ© femmes-hommes », sur francebleu.fr, (consultĂ© le )
- â ActeursPublics, « Lâex-ministre dĂ©lĂ©guĂ©e Isabelle Lonvis-Rome reprend des fonctions dans la justice | Nominations | Acteurs Publics », sur acteurspublics.fr (consultĂ© le )
- â « Isabelle Rome, la vie dâaprĂšs », sur causette.fr, (consultĂ© le )
- â « Les Ă©tudiantes de nos PrĂ©pa Talents du service public mises Ă lâhonneur le 8 mars par la cour dâappel de Versailles. », sur sciencespo-saintgermainenlaye.fr, (consultĂ© le )
- â Anne-Marie Rocco, « Isabelle Rome : « Il nây a pas de dĂ©finition lĂ©gale du fĂ©minicide » », sur Challenges, (consultĂ© le )
- â ClĂ©mence Mary et Anastasia VĂ©crin, « Isabelle Rome : «Le viol reste en France le grand impuni, il faut que cela change» », sur LibĂ©ration (consultĂ© le )
- â « Isabelle Rome : « La violence de la sociĂ©tĂ© envers les femmes est structurelle » », sur La Vie.fr, (consultĂ© le )
- â « La violence Ă lâĂ©gard des femmes est structurelle Ă toutes les sociĂ©tĂ©s », sur Le Point, (consultĂ© le )
- â ActeursPublics, « Lâex-ministre Isabelle Rome devient ambassadrice pour les droits de lâHomme | Nominations | Acteurs Publics », sur Lâex-ministre Isabelle Rome devient ambassadrice pour les droits de lâHomme | Nominations | Acteurs Publics (consultĂ© le )
- â « Le trait d'union - n°39 », Journal municipal de Bailleur-Sur-ThĂ©rain, (lire en ligne)
- â « Les femmes honorent SĂ©verine », sur Le Parisien, (consultĂ© le )
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