Cet article est une ébauche concernant une unité ou formation militaire française.
Le 361e régiment d'infanterie (361e RI) est un régiment d'infanterie de l'Armée de terre française constitué en 1914 avec les bataillons de réserve du 161e régiment d'infanterie.
À la mobilisation, chaque régiment d'active créé un régiment de réserve dont le numéro est le sien plus 200.
112e brigade d'infanterie, 56e division d'infanterie d'août 1914 à juin 1916, 6e région, 3e groupe de réserve.
Le 361e régiment d'infanterie, devait aux termes du journal de mobilisation, se constituer à Reims, lieu de repliement, pour la mobilisation, du régiment actif dont la portion principale était à Saint-Mihiel. Leur dépôt commun fut déplacé à Guingamp (Côtes-du-Nord).
Saint-jean-lès-Buzy, forêt de Chantilly (Bataille de Senlis), Bataille de l'Ourcq, Première bataille de l'Aisne
Bataille d'Hébuterne, bataille de Champagne, bois de la Raquette, Epine de Védégrange puis ferme de Navarin, Souain puis Champagne, Saint Soupplets.
Champagne, Saint Soupplets, bois Raquette, bois 157, Bataille de Verdun, Bras sur Meuse, fort de Douaumont, carrières d'Haudromont.
Dissolution du régiment juin 1916, certain soldats passent au 350e régiment d'infanterie.
Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes[1] :
Aucune citation du régiment.
Tentative de reconstitution du parcours sur Google Maps d'après les JMO
Adrien Henry en mai 1916, après retour de blessures.
Anonyme, Historique du 361e RI, Dactylographié, 1918, sans date