Il est élu en 1966 au sixième fauteuil de la section d'économie politique, statistique et finances de l'Académie des sciences morales et politiques[5], dont il devient le président pour l'année 1974[4].
Émile James, L'Adoption d'une monnaie de compte internationale considérée comme un remède à l'instabilité des changes, thèse pour le doctorat (sciences politiques et économiques), Paris, imprimerie-éditions de la « Vie universelle », 1922, 267 p.[7]
Émile James, La clause « payable en or » et le Cours forcé (étude de jurisprudence française et étrangère), thèse pour le doctorat (sciences juridiques), Toulouse, imprimerie Vve Bonnet, 1924, 211 p.[8]
Émile James, « Les Formes d'entreprises » in Traité d'économie politique (dir. Henri Truchy), Paris, Recueil Sirey, 1935, 604 p.[9]
Émile James, Les comités d'entreprises : étude de l'ordonnance du 22 février 1945, Paris, Librairie générale de droit et de jurisprudence, 1945, 163 p.[10]
Émile James, Histoire de la pensée économique au XXe siècle, Paris, Presses universitaires de France, 1955, 2 volumes, 711 p.[12]
Émile James, Histoire sommaire de la pensée économique, Paris, Montchrestien, 1955 (réédité en 1959, 1965 et 1969), 336 p.[13]
Émile James, Problèmes monétaires d'aujourd'hui, étude des fondements d'une théorie et d'une politique monétaires modernes, Paris, Sirey, 1963 (réédité en 1970), 354 p.[14]
Émile James, Notice sur la vie et les travaux de Louis Baudin (1887-1964) lue dans la séance du 19 décembre 1966 del'Académie des sciences morales et politiques, Paris, imprimerie Firmin-Didot et Cie, 1966, 20 p.[15]
Marcel Boiteux, Notice sur la vie et les travaux d’Émile James (1899-1992) lue durant la séance du 25 octobre 1994 de l'Académie des sciences morales et politiques, Paris, Institut de France, 1994, 23 p.