Ville industrielle, accueillant de nombreux sièges sociaux d'entreprise, elle constitue la partie nord du pôle scientifique et technologique Paris-Saclay, en cours d'aménagement depuis 2010.
La superficie de la commune est de 893 hectares ; l'altitude varie entre 102 et 179 mètres[2].
La commune est située sur un plateau dominant Paris et bénéficie donc d’une altitude privilégiée, ce qui lui permet de ne pas ou peu souffrir des possibles inondations lors des fortes pluies, l’eau se déversant en aval dans la cuvette de Chaville.
Environ 313 hectares de forêt domaniale (domaine forestier de Meudon) couvrent une partie du territoire de la commune et offrent aux Véliziens de grands espaces de verdure naturels. De plus Vélizy possède plus de 65 hectares d’espaces verts.
Hydrographie
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Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 681 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Toussus-le-Noble à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 677,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Voies de communications et transports
Voies routières
Vélizy se situe à une quinzaine de kilomètres de Paris intra-muros et à une quinzaine de minutes de trajet en voiture en passant par la N118. La commune est desservie par l'A86, par la RN 118 et la RN 12. À partir de 2024, la commune devrait être desservie par un nouvel échangeur de l'A86 au niveau de Vélizy 2[9].
La ville souhaite améliorer l’accès à son territoire. Pour délester le trafic sur les axes structurants (A86 et N 118), un nouvel échangeur organisant le franchissement de l’autoroute est en construction ; ce projet devrait aboutir en 2024.
Le , le maire de la ville, Pascal Thévenot, envisage la création d'un téléphérique entre le pont de Sèvres et la commune afin de désengorger la RN 118 ; ce sont 5 000 à 6 000 voyageurs par heure et par sens qui pourront être transportés[10].
Pistes cyclables
En parallèle à cette amélioration de la circulation automobile, la commune n’oublie pas les circulations douces et poursuit le développement de son réseau cyclable initié il y a plusieurs années. Ainsi ce sont près de 20 pistes cyclables (mixtes avec les piétons ou exclusivement réservées aux cyclistes) qui ont été ou vont être aménagées sur la ville, pour permettre une continuité du nord au sud et de l’est à l’ouest. Ce projet de circulation « propre » est dynamisé par l’arrivée du tramway dont le tracé sera en grande partie longé par des pistes cyclables : avenues Louis-Breguet, de l’Europe et Morane-Saulnier notamment. Les bandes et pistes existantes ainsi que celle des communes avoisinantes comme celle de la RD 53 qui relie Vélizy à Chaville et Jouy-en-Josas seront reliées.
Urbanisme
Typologie
Au , Vélizy-Villacoublay est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11].
Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[13]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].
Il y a sept quartiers d'habitation : Mozart, le Clos, le Mail, Louvois, la Pointe Ouest, Happy Vélizy et Vélizy-le-Bas (avec l'Ursine et le Bocage) jouxtant la commune de Chaville.
Logement
En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 8 856, alors qu'il était de 8 839 en 1999[a 1].
Parmi ces logements, 94,5 % étaient des résidences principales, 1 % des résidences secondaires et 4,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 17,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 81,2 % des appartements[a 2].
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 47,6 %, en hausse par rapport à 1999 (43,6 %). La part de logements HLM loués vides n'était plus que de 18,8 % contre 29,7 % en 1999, leur nombre ayant beaucoup diminué depuis 1999 : 1 574 en 2009 contre 2 510 en 1999[a 3].
Projets d'aménagement
La commune, consciente du besoin en logements a initié, depuis 2007, plusieurs grands projets d’aménagement et de construction. D’ici 2014, près de 1 700 logements sont ainsi prévus d’être construits dont 700 logements destinés aux étudiants et jeunes actifs. La plupart d’entre eux est issue du programme local de l’habitat (PLH) de la commune, couvrant la période 2011-2016. Cette transformation de la commune s’effectue avec une double préoccupation : contenir la pression et les prix de l’immobilier tout en préservant la qualité du cadre de vie. L’objectif du PLH est d’atteindre une population de 25 000 habitants en 2016. Les programmes immobiliers (Carré d’Alcyon, Villa Azur, Galilée, Alizé…), et le réaménagement de quartiers, comme celui de Louvois ou Europe, traduisent cette ambition.
Toponymie
Pour Vélizy
Vileriacum en 829[17], Villesoblen en 1169, Vilesi en 1226[18], Vilisiacum en 1238[19], Villesis en 1241[20], Velisi en 1276.
Nom possible d’un domaine gallo-romain appelé *Vilitiacum qui aurait donné Vélizy[21].
Un lieu-dit : Urcines, rappelle une paroisse disparue, s'étendant sur le plateau[21]. Attesté sous la forme Orsinne en 1559[22].
Pour Villacoublay (Villacoublay sera accolé à Vélizy en 1937.)
Villes-Coble[18], Villa Escoblen au XIIe siècle[23], Villa Escobleu au XIIe siècle[18], Villescoublain au XIVe siècle[23], Villacoublai au xve siècle[24].
Villa Escoblen, cité au XIIe siècle, était une ferme sans importance[17]. Ledesmallus, chevalier de Vilescoblen, aurait vendu à l’évêque de Paris une propriété sise à l’emplacement de l’actuel Villacoublay[24].
Histoire
Les dates importantes de l’histoire de Vélizy-Villacoublay
Ancien Régime
Autrefois Vélizy n'était qu'un simple hameau du village d'Ursine, village qui était au milieu des bois. Ursine, ou Ursines, fut érigé en paroisse au XIIIe siècle[25].
Le territoire était formé de trois seigneuries distinctes, Vélizy, Villacoublay et Ursine, mentionnées à partir du XIe siècle, qui, au Moyen Âge, étaient les propriétés de l'Hôtel-Dieu de Notre-Dame de Paris. C'est ensuite la famille Louvois, déjà propriétaire des seigneuries de Chaville et de Meudon, qui acquiert progressivement ces territoires.
En 1674, lorsque Louvois eut acheté la seigneurie de Chaville, il fit transporter l'église, qui était à Ursine, à Vélizy. L'archevêque de Paris avait autorisé cette translation parce que cette église était située dans un endroit bas et marécageux, qu'elle était en ruines et que l'air malsain du presbytère faisait « que les curés y vivaient peu »[25]. À la place de la vieille église d'Ursine, Louvois fit creuser un étang pour alimenter son parc de Chaville.
Si l'été Ursine était un lieu de villégiature agréable, frais et verdoyant, situé au milieu de territoires de chasse il en était autrement en hiver, ou le lieu, avec ses pluies, ses froids, ses brouillards humides et malsains qui se dégageaient des marécages n'en faisait plus un séjour agréable et salubre. Ainsi après la Saint-Denis, le 3 octobre, le seigneur, sa suite et bon nombre des habitants avaient déjà déserté la vallée pour aller s'établir sur le haut de la colline, à Vélizy. C'est ainsi qu'Ursines s'est dépeuplé et s'est vu transplanté à Vélizy. Le rond-point d'Ursine est le souvenir du village à l'origine de Vélizy-Villacoublay[25]. Ces domaines sont entrés dans le domaine royal progressivement à partir du XVIIe siècle et à la fin du XVIIIe siècle pour celui de Vélizy.
C’est à Vélizy, le , que le général Exelmans, à la tête des dragons, culbuta deux régiments de hussards prussiens qu'il chassa jusqu'à Rocquencourt, où ils furent complètement détruits par des détachements de l’armée française. À la suite de ces combats, les gardes nationaux de la contrée ayant pris les armes et tiré sur les cavaliers prussiens, le lendemain les troupes prussiennes, en représailles, brûlèrent presque complètement le village et le pillèrent, ce qui lui fit donner le surnom de Petit Moscou[26],[27],[28].
Pendant le siège de Paris, durant la guerre de 1870, les Prussiens utilisent la cour de la ferme Rabourdin[29] comme parc d'artillerie. C'est également à proximité de cette ferme qu'eut lieu, le 19 septembre 1870, la première bataille de Châtillon et l'épisode sanglant de la Grange Dame Rose où quelques zouaves ont lutté contre une nombreuse troupe ennemie et ont été massacrés après une résistance opiniâtre.
1937 : L’aérodrome de Villacoublay a pris une telle importance au niveau international que le conseil municipal de Vélizy décide, le , que le nom de Villacoublay soit réuni à celui de Vélizy et que la commune prenne le nom de « Vélizy-Villacoublay ». Le a lieu la "Fête de l'air", un grand meeting aérien qui préfigure le salon du Bourget d'après-guerre.
Le lors de l'invasion allemande, la Luftwaffe bombarde la base de l'armée de l'air. Deux cents bombes sont larguées par vagues successives en 35 minutes. On dénombre 9 morts, 26 blessés et 17 avions endommagés ou détruits. De plus, quelques maisons du village, qui pâtit alors pour la première fois de sa proximité avec la base militaire, sont touchées, mais les fermes restent intactes.
Le , les Allemands entrent à Vélizy-Villacoublay et réquisitionnent les bâtiments publics, la mairie, les groupes scolaires Ferdinand-Buisson et Jean-Macé ainsi que les fermes de la commune. Ils exigent aussi la collaboration des habitants sans pour autant l’obtenir. Les rapports entre les habitants et les occupants seront froids voire inexistants jusqu’à la libération de la ville en .
De à la base aérienne est utilisée par la Luftwaffe allemande, et devient une cible importante pour les Alliés, surtout les Américains qui se donnent pour objectif de détruire la piste et les hangars :
Le le bombardement américain neutralise la piste, mais Le Clos et Vélizy-Village sont grièvement touchés, bilan : 34 morts, 106 blessés dont 46 graves et plus de 200 maisons endommagées ou détruites.
Le et le le bombardement touche aussi la grande ferme de Villacoublay, principale réserve de vivres du village.
De nombreux cratères, témoins de ces bombardements, sont encore visibles en forêt de Meudon, dans la partie nord du plateau de Vélizy.
Le les Allemands évacuent la base. Vélizy est libérée par les forces alliées le .
Après-guerre
1952 : la Ville est récompensée de sa loyauté pendant la Seconde Guerre mondiale par une citation à l’ordre de la Nation, assortie de l’attribution de la Croix de guerre avec étoile d’argent.
1957 : par délibération du conseil municipal du Villacoublay adopte de nouvelles armes (voir Héraldique) : un écu à la française, « d'azur à deux vols d'argent en forme de V posés l'un au-dessus de l'autre, accompagnés en chef d'une étoile et en pointe de deux quintefeuilles et entre chacun des vols, de deux épis de blé tigés et feuillés posés l'un en bande, l'autre en barre, le tout d'or ». Ces armoiries évoquent la double vocation de la ville, agricole (les épis de blé) et aéronautique (les ailes, l’étoile qui guide les aviateurs). De plus, les deux V évoquent le double nom de la commune : Vélizy-Villacoublay.
1962 : Sous l’impulsion de Robert Wagner (maire de Vélizy-Villacoublay de 1953-1988 et qui avait déjà initié la construction d’une centaine de pavillons entre 1957 et 1958) la construction d’une première tranche de 2000 logements d’un grand ensemble immobilier est lancée, elle annonce une véritable ville nouvelle.
1965 : Construction d’une caserne des compagnies républicaines de sécurité (CRS), elle héberge aujourd’hui en tant que direction zonale Paris - Île-de-France les groupements no 1 et no 61 de CRS.
1972 : ouverture du centre commercial régional Vélizy 2.
1974 : achèvement des grands ensembles immobiliers de la ville et inauguration de la nouvelle mairie en présence de Jacques Chirac, Premier ministre.
1991 : création de l’Institut universitaire de technologie (IUT) de Vélizy, composante de l’université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines. Il propose des formations professionnelles qui délivrent un diplôme universitaire et technologique (DUT) et des licences professionnelles. Ces formations sont dispensées dans les domaines des technologies industrielles et tertiaires (industrie, commerce, services).
2002 : livraison du centre culturel de Vélizy-Villacoublay : « l’Onde » conçue par l’architecte Claude Vasconi. Ce centre compte notamment en son sein une école de musique, une école de danse et une salle de spectacle et un théâtre de 670 places.
2011 : Implantation de l’Institut des sciences et techniques des Yvelines (ISTY), délivrant deux diplômes reconnus par la commission des titres d’ingénieurs (CTI) en informatique et mécatronique.
: Date de mise en service du tramway T6, nouvelle ligne allant de Châtillon à Viroflay en passant par Vélizy-Villacoublay.
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Distinctions et labels
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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[51],[Note 4].
En 2021, la commune comptait 22 713 habitants[Note 5], en évolution de +7,7 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,8 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 11 330 hommes pour 11 319 femmes, soit un taux de 50,02 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,68 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[53]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,3
90 ou +
1,2
6,0
75-89 ans
9,2
10,3
60-74 ans
14,5
19,2
45-59 ans
18,8
22,4
30-44 ans
21,1
22,5
15-29 ans
17,8
19,3
0-14 ans
17,4
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2021 en pourcentage[54]
Le pôle est constitué de bâtiments administratifs (comportant les laboratoires LISV, LISP et PRISM), d'un parc informatique composé d'une trentaine de salles, d'un bâtiment d'études (deux amphithéâtres et quatre étages de salles de travaux dirigés), et d'un restaurant administré par le centre régional des œuvres universitaires et scolaires (CROUS).
Manifestations culturelles et festivités
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Santé
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Sports
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arménien : église apostolique arménienne de Chaville.
orthodoxe : église Notre-Dame-Souveraine de Chaville.
protestant : église protestante de France de Vélizy-Villacoublay.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 39 599 €, ce qui plaçait Vélizy-Villacoublay au 2 695e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[59].
Emploi
En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 17 056 personnes, parmi lesquelles on comptait 78,4 % d'actifs dont 73,9 % ayant un emploi et 4,6 % de chômeurs[a 4].
On comptait 6 567 emplois dans la zone d'emploi, contre 38 997 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 9 785, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 6] était de 409,5 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offrait quatre emplois par habitant actif[a 5].
Entreprises et commerces
Au , Vélizy-Villacoublay comptait 1 898 établissements : 3 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 88 dans l'industrie, 141 dans la construction, 1 459 dans le commerce-transports-services divers et 207 étaient relatifs au secteur administratif[a 6].
Ces emplois sont principalement localisés dans la « zone d'emplois » INOVEL Parc qui jouxte la base aérienne 107 Villacoublay et les centres commerciaux Westfield Vélizy 2, L’Usine mode et maison, Art de vivre. Les entreprises les plus importantes sont :
Au , Vélizy-Villacoublay comptait quatre hôtels pour un total de 530 chambres : un de niveau « 1 étoile », un de niveau « 2 étoiles » et deux de niveau « 4 étoiles »[a 9].
Inovel Parc
En parallèle à l’aménagement des quartiers d’habitation, la ville accueille le pôle d’affaires d’envergure Inovel Parc. Il représente une des plus fortes concentrations d’entreprises de l’Ouest parisien. Environ 1 000 entreprises emploient plus de 45 000 salariés, répartis dans des activités économiques diversifiées, notamment les filières technologiques comme l’informatique, les télécommunications, l’automobile et l’aéronautique. Vélizy-Villacoublay regroupe 5 % de la recherche et du développement privé en France. Ce pôle d’innovation possède aussi un réseau relationnel actif de dirigeants au sein de plusieurs associations inter-entreprises (grandes entreprises, PME, DRH…).
L’arrivée récente d'entreprises (Thales, Inéo ou Carmat, Dassault-Systèmes, Altran…) et la construction de nouveaux programmes immobiliers d’entreprise (siège d’Eiffage France, New Vélizy…) accélèrent l’évolution d’Inovel Parc.
le musée des CRS, situé sur le site des CRS no 1 et no 61 ;
le centre culturel de l'Onde. Ce dernier bâtiment, conçu par l'architecte Claude Vasconi, a été livré en décembre 2002 et comprend une salle de 670 places, une salle pluridisciplinaire de 200 places, deux grandes salles de danse, une salle de répétition d'orchestre, douze studios, quatre salles de classe, un studio d'enregistrement et un studio pour percussions.
L'église Saint-Denis.
L'église Saint-Jean-Baptiste.
L'Onde, centre culturel.
Patrimoine culturel
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Vélizy et les médias
Vélizy 2 est le lieu initial d'émission de la radio libre RFM en 1981.
Villacoublay est le lieu principal de l'intrigue de la série d'animation française Clémentine destinée aux enfants et diffusée à la télévision sur Antenne 2 dans les années 1980.
En 2005, Vélizy est le lieu de tournage du film TV L'Évangile selon Aîmé avec comme acteur principal : Isaach de Bankolé, et en 2011 celui de quelques scènes du film Une pure affaire d'Alexandre Coffre.
Vélizy-Villacoublay, et plus précisément le centre commercial Vélizy 2, est l'un des lieux de tournage de l’émission Belle toute nue.
Durant l'été 2013, certaines scènes de la série Fais pas ci, fais pas ça saison 6 sont tournées dans différents lieux de Vélizy.
D'azur à deux vols d'argent en forme de V posés l'un au-dessus de l'autre, accompagnés en chef d'une étoile et en pointe de deux quintefeuilles et entre chacun des vols, de deux épis de blé tigés et feuillés posés l'un en bande, l'autre en barre, le tout d'or.
Logotype
La municipalité le définit ainsi :
L'articulation autour du nom de « Ville de Vélizy-Villacoublay » et sa forme circulaire traduisent un mouvement dynamique, reflet de la vie économique, culturelle et sportive locales. À l’image de la Ville, ce logotype véhicule cinq dimensions : l’esprit de convivialité qui anime ses quartiers, le dynamisme de son tissu économique avec plus de 45 000 emplois. Mais aussi son audace créative et technologique, son art de vivre entre habitat moderne et domaine forestier et sa volonté de s’inscrire dans des projets ambitieux… Cercles de compétences, de services, d’ami(e)s, ils expriment à la fois l’alliance, la diversité des activités et les multiples univers fédérés par Vélizy-Villacoublay. Son aura et son rayonnement… au-delà et par-delà la Ville..
Notes et références
Notes
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑ a et bRevue de l'histoire de Versailles et de Seine-et-Oise, Société des sciences morales, des lettres et des arts de Seine-et-Oise, Académie de Versailles, des Yvelines et de l'Ile-de-France, L. Bernard (Versailles), H. Champion (Paris), 1899-1976, page 28.
↑Gaëtane Bossaert, « La grande famille se déchire », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne) « Figure aussi sur sa liste Antoine Trani, l'ancien maire de Vélizy invalidé en 1990. ».
↑« M. Loisel (RPR), nouveau maire de Vélizy », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )« M. Raymond Loisel, premier adjoint au maire de Vélizy-Villacoublay, M. Antoine Trani (RPR), déclaré inéligible par le Conseil d'Etat le 21 février en raison de son statut professionnel d'« entrepreneur de services municipaux » (le Monde du 23 février ), a été élu maire jeudi 8 mars, à l'issue d'un conseil municipal très agité. M. Loisel a obtenu vingt-cinq voix, six étant allées au socialiste, M. Gérard Desseigne, qui s'était porté " candidat par principe ", et quatre au dissident du RPR, M. Henri Maingreaud ».
↑« Le maire, Raymond Loisel, démissionne », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne)« Raymond Loisel, maire (UMP) depuis quatorze ans, a annoncé sa démission de son mandat de maire. Il restera toutefois conseiller municipal. « Compte tenu de mon âge, 75 ans, de mon état physique, j'ai pensé que le moment était venu et qu'il était sage de laisser la place à quelqu'un de plus jeune. Je suis fatigué », indique l'élu ».
↑Florie Cedolin, « Pascal Thévenot élu maire de Vélizy : A l'issue du second tour des municipales, Pascal Thévenot a été élu maire de Vélizy avec 49,83% des voix. », 78 actu, (lire en ligne, consulté le )« Pascal Thévenot (UMP) a été élu maire de Vélizy avec 49,83% des voix, face à Joël Loison (DVD) rassemblant 37,08% des voix et Amroze Adjuward (PS) 13,07% ».
↑Laurent Mauron, « Municipales à Vélizy-Villacoublay : Pascal Thévenot en piste pour un deuxième mandat : Le maire sortant (Libres !) entend poursuivre l’aménagement de la ville sur le modèle de Louvois. », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ).
↑Laurent Mauron, « Municipales à Vélizy : le maire (DVD) croit en sa bonne étoile : Pascal Thévenot, qui l’avait emporté lors d’une triangulaire en 2014, espère un scrutin plus facile cette année. Il aura face à lui une liste de gauche, une plutôt centriste et une très à droite. », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le )« Ce n'est pas toujours facile de rééditer un premier succès mais Pascal Thévenot, le maire LR sortant de Vélizy-Villacoublay, qui termine son premier mandat, croit en son étoile pour conserver le fauteuil de maire en mars prochain (…) Côté politique, ce très proche de Valérie Pécresse s'affiche chez Libres !, la formation de la présidente de la région, et a reçu le soutien d'Ensemble pour les Yvelines, le groupe parrainé par Pierre Bédier, président (LR) du conseil départemental. En revanche, il ne veut pas entendre parler de la République en Marche (…) Têtes de liste : Pascal Thévenot (Libres !), Didier Blanchard (SE), Yasmine Benzelmat (DVD), Hugues Orsolin (EELV) ».
↑Florie Cedolin, « Vélizy-Villacoublay : Pascal Thévenot reconduit dans ses fonctions de maire : Lundi 25 mai s'est tenu le conseil municipal d'installation à Vélizy-Villacoublay (Yvelines). Sans surprise, Pascal Thévenot a été réélu dans ses fonctions de maire », 78 actu, (lire en ligne, consulté le ).