En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 766 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boos à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 847,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
Typologie
Au , Saint-Étienne-du-Rouvray est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9].
Elle appartient à l'unité urbaine de Rouen[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 50 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[10],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (63,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (58,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
zones urbanisées (34,8 %), forêts (29,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (28 %), prairies (3,4 %), eaux continentales[Note 4] (1,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 13 152, alors qu'il était de 12 654 en 2015 et de 11 726 en 2010[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Étienne-du-Rouvray en 2020 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,9 %) inférieure à celle du département (4,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 45 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (47,9 % en 2015), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 pour la France entière[I 4].
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %)
0,9
4,1
9,7
Logements vacants (en %)
7,9
8,1
8,2
Voies de communication et transports
Saint-Étienne-du-Rouvray est à une heure et demie de Paris et à une heure et quart de Caen, par l'autoroute A13. La ville est un lieu de passage – et de halte – pour ceux qui venant du Nord de la France, traversent l'agglomération vers la Normandie ou la Bretagne, mais aussi Alençon et Le Mans via l'A28.
Depuis juillet 2008, la ville est desservie par la rocade Sud, périphérique du grand Rouen. Elle offre deux accès supplémentaires par le sud au territoire communal, par la Vente Olivier et par le technopôle du Madrillet.
Saint-Étienne-du-Rouvray est desservie par le tramway de Rouen, localement dénommé « métro de Rouen » depuis le prolongement vers le technopôle du Madrillet en 1997. La ligne Technopôle traverse la ville avec cinq stations à une fréquence d'une rame toutes les six minutes en heure de pointe. Le tramway permet de rejoindre le centre-ville de Rouen en une vingtaine de minutes et Sotteville-lès-Rouen en quelques minutes.
Cinq lignes de bus (F3, F6, F9, 41 et 42) du Réseau Astuce s'articulent autour de la ligne de « métro » et offrent la possibilité de rejoindre des communes voisines non desservies par le tramway telle que Oissel.
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Le nom de la localité est attesté sous les formes Sanctum Stephanum vers 1025, Sancti Stephani en 1032 et 1035[14], De Sancto Stephano au XIIIe siècle, Sanctus Stephanus en 1337, Saint-Etienne jouxte Rouvray en 1362 et en 1365, Saint Etienne de Rouvray entre 1605 et 1616[15], Saint Estienne du Rouvray en 1715, Saint Etienne du Rouvray en 1757[16].
Le nom de la commune est issu de l'hagiotoponymesaint-Étienne et de la forêt de Rouvray qui borde la ville, ce qui donna Saint-Étienne-du-Rouvray[17]. Rouvray dérive du mot rouvres qui, en vieux français, signifie chêne (Quercus Robur), du latin robora. Il désigne alors le territoire d'une chênaie (ou rouvraie).
Histoire
Préhistoire
Des outils néolithiques (2 000 ans av. J.-C.) tout comme des traces d'habitat gallo-romain (200/300 ans apr. J.-C.) témoignent d'une occupation ancienne du site en bordure des zones anciennement inondables, aux alentours de l'actuelle avenue du Bic-Auber.
Moyen Âge
Un hameau appelé Sancti Stephani et dépendant de l'abbaye de Saint-Wandrille est signalé au IXe siècle dans une charte royale. Marques de l'arrivée puis de l'implantation des Vikings tout au long de la Seine, des toponymes d'origine scandinave (la Haie Brout, les Longs Boëls, le Fossé Roger) se rencontrent encore dans certains quartiers. Le bourg se développe ensuite le long de la route reliant Rouen à Paris. Aux XVe et XVIe siècles, la paroisse compte cinq cents habitants. La population cultive les terres arables en bord du fleuve et pratique l'élevage sur les terres incultes, forêts, landes et taillis.
Temps modernes
L'église Saint-Étienne, rue de Paris, construite au XVIe siècle, dépendait du diocèse de Lisieux.
Révolution française et Empire
À la Révolution française, en 1790, Saint-Étienne-du-Rouvray se constitue en commune avec administration politique.
Époque contemporaine
De la ville industrielle à la conscience ouvrière
Le bourg commence à prendre son caractère urbain et industriel à partir du milieu du XIXe siècle, avec l'arrivée du chemin de fer et les débuts de la révolution industrielle.
En 1843, l'arrivée du chemin de fer ouvre la voie au développement de la commune. Les premiers trains à vapeur de la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest relient Paris à Rouen. L'arrivée du train favorise l'implantation d'entreprises et le bourg rural devient peu à peu une cité industrielle. En 1865, la Société cotonnière s'implante à Saint-Étienne-du-Rouvray. Elle est alors la plus grosse entreprise de Normandie qui emploiera jusqu'à 2 000 personnes. La ville commence à changer avec l'implantation de nouveaux quartiers construits pour les ouvriers, comme la Cité Neuve, de nouvelles rues…
Au début du XXe siècle, l'ouverture des ateliers ferroviaires de Quatre-Mares (1913), l'arrivée de la Fonderie Lorraine en 1916 et des Papeteries de la Chapelle (1928) viennent renforcer le caractère industriel de la ville. Dans le même temps, les premières grèves et grands mouvements de revendication forgent la conscience ouvrière. 1911 est ainsi marquée par une importante grève des salariés de la Cotonnière qui réclament la journée de 10 heures. Les solidarités s'organisent comme en témoigne la création de l'Émancipation par les ouvriers de la Cotonnière, en 1893. Cette société coopérative obtient des prix bas pour les denrées de première nécessité, mais offre également un secours aux malades et colis aux grévistes.
Après la Première Guerre mondiale, et la révolution bolchevique d'octobre 1917, la conscience ouvrière trouve également une expression politique. En 1923, trois ans après le congrès de Tours qui voit se séparer la majorité communiste (SFIC) de la minorité socialiste (SFIO), Saint-Étienne-du-Rouvray est l'une des premières villes de France à devenir communiste. En 1935, alors que la Société cotonnière ferme, dans un contexte de profonde récession, la commune et de nombreux Stéphanais adhèrent au Front populaire.
Histoire récente
Le , aux alentours de 9 h 25, deux individus islamistes font irruption dans l'église de la ville par une porte située à l'arrière de l'édifice. Ils prennent six personnes en otage, un prêtre, trois religieuses et un couple de fidèles. Les assaillants sont équipés d'armes blanches, dont des couteaux, et de fausses bombes. La police, prévenue par une religieuse qui a réussi à s'échapper, ne peut entrer, les otages étant obligés de faire barrage. La BRI tue les assaillants, sur le parvis de l'église. Le prêtre de l'église, Jacques Hamel, se sacrifie pour sauver ses fidèles, et est égorgé. Le mari d'un couple de paroissiens est quant à lui gravement blessé à la gorge. Daech revendique l'attaque le jour-même.
Lors du premier tour des élections municipales de 2014 dans la Seine-Maritime, la liste PCF-PS-EELV menée par le maire sortant Hubert Wulfranc obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 5 472 voix (84,90 %, 33 conseillers municipaux élus dont 7 métropolitains), devançant très largement celle EXG menée par Philippe Briere, qui a recueilli 973 voix (15,09 %, 2 conseillers municipaux élus). Lors de ce scrutin, 54,13 % des électeurs se sont abstenus[19].
Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans la Seine-Maritime, la liste d'union de la gauche PCF-LFI-PS menée par le maire sortant (PCF) Joachim Moyse — qui avait succédé en 2017 à Hubert Wulfranc comme maire de Saint-Étienne-du-Rouvray après son élection comme député — obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 3 599 voix (78,94 %, 32 conseillers municipaux élus dont 6 métropolitains), devançant très largement celles menées respectivement par[20] :
- Brahim Charafi[21] (DVC,624 voix,13,69 %, 2 conseillers municipaux élus) ;
- Noura Hamiche[22] (NPA, 336 voix, 7,37 %, 1 conseiller municipal élu).
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 70,88 % des électeurs se sont abstenus.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[40],[Note 5].
En 2021, la commune comptait 28 508 habitants[Note 6], en évolution de +0,14 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Le premier recensement fait au XIXe siècle remonte en 1812, Saint-Étienne avait alors 1,328 habitants. En 1857, sa population était de 1,345 habitants. En 1822 : 1,491 habitants ; en 1828 : 1,390 ; en 1836 : 1,494 avec 414 ménages ; en 1841 : 1,482 avec 370 ménages ; en 1846 : 1,585 avec 424 ménages ; en 1856 : 1,580 avec 443 ménages ; en 1861 : 1,633 avec 461 ménages.
C'est à partir de 1863 que commença, par la suite de la construction de la grande usine de la Société Cotonnière, le mouvement ascendant de la population de Saint-Étienne. Au recensement de 1866, on constatait à Saint-Étienne 2,157 habitants, répartis en 565 ménages. En 1872 : 2,153 habitants avec 681 ménages et 614 maisons. Ce recensement qui fut des plus complets portait également sur le nombre des animaux domestiques. Il révélait l'existence à Saint-Étienne de 147 chevaux, 263 vaches, 1 âne, 164 moutons, 32 porcs, 19 chèvres, 130 chiens, 1284 poules, 176 pigeons et 62 canards.
Saint-Étienne-du-Rouvray est la troisième ville de l'agglomération rouennaise en termes de population. Une ville tout à la fois forte de sa jeunesse avec près d'un habitant sur trois âgé de moins de 19 ans, mais également riche de l'expérience de sa population : les plus de 60 ans représentent un habitant sur cinq.[réf. nécessaire]
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 42 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,1 % la même année, alors qu'il est de 26 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 13 960 hommes pour 14 540 femmes, soit un taux de 51,02 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,9 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[42]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,6
90 ou +
1,5
5,7
75-89 ans
8,4
13,5
60-74 ans
14,5
16,9
45-59 ans
17,0
19,5
30-44 ans
18,2
20,8
15-29 ans
19,4
23,0
0-14 ans
20,9
Pyramide des âges du département de la Seine-Maritime en 2021 en pourcentage[43]
De gueules aux deux léopards affrontés d’or, armés et lampassés d’azur, mouvant des flancs et supportant une roue dentée d’argent soutenus de trois trangles ondées du même, au chef cousu d’azur chargé d’une crosse issante aussi d’or accostée de deux chênes rouvres aussi d’argent[44]
Détails
Les deux léopards d'or sur champ de gueules rappellent les armes de la Normandie. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Personnalités liées à la commune
Jean-Baptiste Rondeaux, né le 1er septembre 1775 à Rouen et mort le 13 novembre 1864 à Saint-Étienne-du-Rouvray. Négociant à Rouen. Maire de Rouen en 1792, conseiller général, député, membre de la chambre de commerce. Grand-oncle d'André Gide.
Gérard Gosselin, artiste peintre né en 1933, installé à Saint-Étienne du Rouvray depuis 1957, enseignant puis fondateur et président de l'Union des arts plastiques de Saint-Étienne-du-Rouvray.
Bibliothèque Elsa Triolet, Saint-Étienne-du-Rouvray, Bibliothèque Elsa Triolet : 1949 1987 : trente-huit ans d'une association au service des Stéphanais, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 1987, 30 p.
Centre socioculturel Georges Déziré, Regards sur l’église Saint-Étienne, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 2002.
Yves-Marie Deniel, Un jour en 1936, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 2006.
Pierre Duchemin, Histoire de Saint-Étienne-du-Rouvray, Rouen, A. Lestringant, 1892, 391 p.
Pierre Duchemin, Histoire de Saint-Étienne-du-Rouvray, Paris, Office d’édition et de diffusion du livre d’histoire, coll. « Monographie des villes et villages de France » (no 1350), (ISBN2-84126-078-X)
Olivier Gosse, On appelle ça de l'humanité : mémoire du quartier Hartmann des années 1940 à 2008, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 2009.
Georgette Gosselin, Les débuts du chemin de fer, 89 lithographies de Daumier, 14e festival culturel, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 1976.
Georgette Gosselin, Lutes d’hier et d’aujourd’hui, 1843-1996 : les communistes de Saint Étienne du Rouvray, Ed. de la section de Saint-Étienne-du-Rouvray du Parti communiste français, 1996
Groupe Archives Quatre-Mares, Les Ateliers de Quatre-Mares : huit décennies au service de la réparation des locomotives, Paris, La Vie du rail & des transports, , 311 p. (ISBN2-902808-63-1)
Groupe Histoire & Patrimoine, Saint-Étienne-du-Rouvray au temps du Front Populaire, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 2006.
Groupe Histoire & Patrimoine, 1866, en avant la musique, 140 ans de pratiques musicales à Saint-Étienne-du-Rouvray, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 2007
Groupe Histoire & Patrimoine, 160 ans de commerce et d'artisanat stéphanais, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 2010
Atelier Histoire & Patrimoine, Vivre, survivre, résister : Saint-Étienne-du-Rouvray pendant la Seconde Guerre mondiale, Lyon, Médiris, 2015
Guy Pessiot, Les communes de l'agglomération de Rouen, vol. 2 : De Maromme à Ymare, Rouen, Ed. des Falaises, , 261-512 p. (ISBN978-2-84811-063-9)
Guy Pessiot, Histoire de l'agglomération rouennaise : La rive gauche : La Bouille, Grand-Couronne, Grand-Quevilly, Moulineaux, Oissel, Petit-Couronne, Petit-Quevilly, Saint-Étienne-du-Rouvray, Sotteville-lès-Rouen, Rouen, Éd. du P'tit Normand, , 288 p. (ISBN2-906258-21-0, lire en ligne), p. 176-209
Nathalie Ponsard, Lectures ouvrières à Saint-Étienne-du-Rouvray, des années trente aux années quatre-vingt dix : lecture, culture, mémoire, Paris, L'Harmattan, coll. « Logiques historiques », , 341 p. (ISBN978-2-296-02592-9)
Claude Soloy, Saint-Étienne-du-Rouvray de la Préhistoire à 1945, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 1971.
Saint-Étienne-du-Rouvray (préf. de Michel Grandpierre), Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 1980, 65 p.
Saint-Étienne-du-Rouvray, Rouen, PTC, coll. « Guides de ville », , 79 p. (ISBN2-35038-006-8)
Saint-Étienne-du-Rouvray, 1986, 24e festival culturel : 1936, le Front Populaire, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 1986.
Saint-Étienne-du-Rouvray : Citoyen de demain, Paris, Ed. Franciade, , 60 p. (ISBN2-908151-02-2)
Saint-Étienne-du-Rouvray : Citoyen de demain, Paris, Ed. Franciade, 1996, 64 p.
1906-1986, Saint-Étienne-du-Rouvray : une ville, un espace, une histoire, un travail de la classe de 3e3 du collège Pablo Picasso, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 1986, 39 p.
1959/1999 : Saint-Étienne-du-Rouvray, 40 ans, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 1999, 29 p.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Rouen comprend une ville-centre et 49 communes de banlieue.
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Adigard des Gautries Jean. Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 (suite). Annales de Normandie, 8e année, no 3, 1958. Page 157.
↑Hadrien Mathoux, « Municipales : la gauche communiste triomphe face à "l'imam centriste" à Saint-Etienne-du-Rouvray : Le maire sortant PCF, Joachim Moyse, a été confortablement réélu avec 78,94% des suffrages. Brahim Charafi, adhérent au MoDem et épinglé pour des messages sur les "sionistes", a réuni 13,68% des voix », Marianne, (lire en ligne, consulté le ).
↑« L'adieu à Michel Grandpierre : Une vie dédiée à sa ville », Le Stéphanais - Bimensuel d'informations locales, no 96, 14-28 janvier 2010 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
↑« Saint-Étienne-du-Rouvray : Hubert Wulfranc cède son fauteuil : Élu député, Hubert Wulfranc cède demain son fauteuil », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le )« Élu député de la 3e circonscription, et dans le cadre de la loi sur le non-cumul des mandats, Hubert Wulfranc démissionne de son poste de maire qu’il occupait depuis 2002. Il continuera cependant de siéger en tant que conseiller municipal ».
↑Thomas Rideau, « Seine-Maritime. Le député Hubert Wulfranc (PCF) annonce sa démission : Le député du Parti communiste, Hubert Wulfranc, a annoncé lors du conseil municipal de Saint-Étienne-du-Rouvray, sa démission de son mandat de député. Explications », 76 actu, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Envie d’authenticité » : élu adjoint à Saint-Étienne-du-Rouvray, Hubert Wulfranc renonce à être député : Membre du parti communiste, le député de la troisième circonscription de Seine-Maritime depuis 2017, Hubert Wulfranc renonce à son mandat de parlementaire pour se consacrer entièrement à Saint-Étienne-du-Rouvray. Lors du conseil municipal du 14 décembre 2023, il a été élu quatrième adjoint », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
↑Aurélien Delavaud, « Saint-Étienne-du-Rouvray. À Saint-Étienne-du-Rouvray, le nouveau maire s'inscrit dans la continuité : Élu le jeudi 6 juillet 2017 par le conseil municipal, Joachim Moyse prend la suite d'Hubert Wulfranc, élu député communiste et touché par le non-cumul des mandats, à la mairie de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime). Devenu numéro un, l'ancien bras droit veut maintenir le cap défini par son prédécesseur », Tendance Ouest, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Joachim Moyse », sur saintetiennedurouvray.fr (consulté le ).
↑« Municipales : Joachim Moyse, maire de Saint-Étienne-du-Rouvray, présente les grands thèmes de son programme : En attendant la composition de sa liste, Joachim Moyse, maire sortant, présente les grands thèmes de son programme », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Municipales 2020. Joachim Moyse réinstallé dans son fauteuil de maire à Saint-Étienne-du-Rouvray : Joachim Moyse (PCF) a été élu maire à Saint-Étienne-du-Rouvray le jeudi 28 mai 2020. Il est secondé par dix adjoints », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).