Pour les communes moyennes les plus proches, Rupt est distante de 13 km de Remiremont, 23 km de Gérardmer, 30 km d’Épinal, 30 km de Lure, 35 km de Belfort et 50 km de Vesoul.
Rupt-sur-Moselle fait partie de la région naturelle des Hautes-Vosges Lorraines dans la CC des Ballon des Hautes-Vosges. C'est un terroir marqué par un climat tempéré humide ou les influences océanique, continentale et montagnardes se croisent, des sols à dominante sableuse, un relief accidenté composé en majorité d'une végétation de type hêtraie-sapinière.
Géologie et relief
Le village est entièrement situé dans l'étage montagnard à proprement parler, reconnaissable par l'altitude croissante des crêtes oscillant au-delà de 800 m et son fond de vallée à plus de 400 m. Les pentes forestières sont principalement constituées de résineux et d'essences montagnardes (sapins, épicéas, hêtres, etc.) adaptées au climat.
Ses 45,55 km2 s’étendent le long de la vallée glaciaire de la Haute-Moselle, qui prend sa source une vingtaine de kilomètres en amont à Bussang. La commune est située au sud-ouest du massif des Vosges et est encadrée par des montagnes d’altitude moyenne (800 à 900 m). Le sommet de Bélué (868 m)[1], coiffé d'une chaume, est le point culminant le plus connu de la commune avec sa vue dégagée sur le sud de la Haute vallée de la Moselle ainsi que des Hautes-Vosges. Mais le véritable point culminant se trouve plus loin dans le massif, sur la crête de la Charme, un petit plateau rocheux (le Haut des Huttes ou le Groffer) à proximité des Fraiteux, où il atteint tout juste les 900 m. Le Bélué lui est situé à l'est du village, dont le centre et l’église se trouvent directement à son pied.
La vallée de la Haute-Moselle et le hameau du Chêne.
Vue sur le village et la crête du Bambois.
Le Bambois depuis la vallée de la Charme.
Le village et les sommets du Fort et du Bambois.
Val de Grandrupt vu depuis les pentes de Bélué.
De nombreux autres sommets entourent la vaste commune, avec au nord : La Beuille (758 m) dominant le hameau de Lépange, sur la crête Nord/Ouest : le Fenot (806 m), le Bambois (818 m) et le Fort (781 m), la crête sud-est débute au col du Mont de Fourche (620 m) puis elle arrive sur la commune de Ferdrupt au sommet du Linqueny (758 m) en passant par la Bouloye (685 m), le Haut des Breuches (703 m), le Haut des Ravières (731 m). La crête nord-est est la plus élevée, avec l'Avuxon (884 m) et la crête de la tourbière de la Charme (877 m) qui s'étire vers le sud-est jusqu'à 900 m d'altitude avant de retomber au col du Rhamné (855 m). On peut citer également le plus petit sommet de la commune, la Broche le Prêtre, reconnaissable à sa forme de pain de sucre (655 m) qui domine le hameau des Meix.
Sur le territoire de la commune, deux vallées secondaires citées plus haut partent de la vallée principale vers le nord-est (vallées du Dessus de Rupt (vallée de la Charme) et de Grandrupt) les deux vallées peuvent être reliées entre elles par le col de la croix du lait (789 m) qui sépare aussi le Bélué du reste de la crête sommitale nord-est (Longegoutte). Au milieu du domaine montagneux loin du village se trouvent différents refuges/chalets à disposition des voyageurs et randonneurs le temps de se ressourcer ou de s'abriter de la météo changeante. Nous en dénombrons neuf : chalets des Fraiteux (840 m), de Bélué (855 m), de la Beuille (630 m), de l'Impératrice (750 m), de la Fouillotte (620 m), de la Vrille (850 m), des Hanneaux (870 m), des Sapins (660 m) et de la Charmotte (640 m).
La ligne de crête au sud de la commune constitue la ligne de partage des eaux entre le bassin de la mer du Nord (Rhin) et de la Méditerranée (Rhône). Le point le plus bas de cette ligne de crête, le col du Mont de Fourche (621 m), permet un accès vers la vallée du Breuchin et Luxeuil-les-Bains. Depuis cette zone, au Fort de Rupt se trouve l'un des trois départs du Domaine skiable des 1 000 étangs, domaine de ski nordique disposant de 15 km de pistes qui s'étendent sur les communes de Rupt-sur-Moselle, La Rosière, La Montagne et le Girmont-Val-d'Ajol[2].
de nombreux ruisseaux et petits torrents prennent leur source sur les hauteurs de Rupt :
l'affluent le plus élevé est le ruisseau de Grandrupt (890 m) qui alimente la vallée du même nom et qui débute sur la crête sommitale nord-est,
la Goutte du Seux (870 m) qui alimente le ruisseau du Dessus de Rupt,
le ruisseau de Ramonchamp,
le ruisseau de de Moinrupt,
le ruisseau du Géhard,
le ruisseau de Méreille,
le ruisseau de Pres des Gouttes,
le ruisseau de Ferdrupt,
le ruisseau des Charmes,
le ruisseau de Xoarupt,
le ruisseau de Morbieu,
le ruisseau de Chaudefontaine,
le ruisseau de la Croslière,
le ruisseau de Longchamps,
le ruisseau de Foulot,
le ruisseau du Chêne,
le ruisseau de Halotey,
le ruisseau de l'Etang des Maux-Cailloux.
On peut aussi citer en prime, les petits torrents de Parrier et de la Sauture qui se rejoignent à 480 m et se jettent directement au village depuis leur source sur le versant ouest de Bélué à 640 et 760 m.
Syndicat intercommunal d'assainissement du Haut-des-Rangs, couvre un territoire de cinq communes des Vosges : Rupt-sur-Moselle, Vecoux, Dommartin-lès-Remiremont, Saint-Amé, Le Syndicat.
En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de 1 °C)[5] la classification en hiver rude est toutefois de plus en plus discutable puisque la station météo de Rupt-sur-Moselle enregistre 2.3°c de moyenne pour janvier, mois le plus froid.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 701 mm, avec 15 jours de précipitations en janvier et 11,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ballon de Servance », sur la commune de Haut-du-Them-Château-Lambert à 10 km à vol d'oiseau[6], est de 6,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 882,9 mm.
La température maximale relevée sur cette station est de 31,2 °C, atteinte le ; la température minimale est de −20,1 °C, atteinte le [Note 2],[7],[8].
Les relevés des dernières années tendent à évoluer vers une légère augmentation de la pluviométrie ainsi que de la température moyenne.
Jusque fin 2007, la RN 66 (de Remiremont à Bâle), traversait le bourg et constituait son centre névralgique. La plupart des commerces se trouvent aujourd’hui le long de cette route renommée (Route nationale 66 (France)). La nouvelle route nationale passe plus au sud, à flanc de montagne, et domine le village. Le long de la Moselle, plusieurs usines (dont certaines encore en activité) et cités ouvrières rappellent le passé industriel (textile) de la commune.
Après le TGV qui desservait la gare de Remiremont, la LGV Est européenne, (Ligne à Grande Vitesse), est devenue une réalité. Ce qui réduit les durées de trajets à 2 h 45 Remiremont / Paris, en assurant ainsi un réel désenclavement des vallées ;
Au , Rupt-sur-Moselle est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14].
Elle appartient à l'unité urbaine du Thillot[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant huit communes, dont elle est ville-centre[Note 4],[15],[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Remiremont, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[16]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (70 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (71,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (68 %), zones agricoles hétérogènes (13,2 %), prairies (10,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,6 %), zones urbanisées (3,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous la forme Ruz en 1302[20].
Rupt prononcé « ru » est issu du mot ru « rivière »[21].
Par le décret du , Rupt a pris le nom de Rupt-sur-Moselle.
Histoire
La commune de Rupt-sur-Moselle date de 1789. Elle a été formée d'une partie du ban de Longchamp, qui était une terre de surséance, possession indivise du duché de Lorraine et de l'abbaye de Remiremont. En 1832, la commune a perdu une partie de son territoire (au sud-est) au profit de la création de la commune de Ferdrupt.
Au niveau politique, l'histoire de la commune du Moyen Âge à 1766 est très liée à celle du duché de Lorraine, auquel elle appartenait.
Au cours du Moyen Âge, le territoire de la commune est défriché par des paysans qui pratiquent un élevage extensif de moyenne montagne.
Au XIXe siècle, la quasi-totalité du territoire était déboisée, offrant un paysage bien différent de celui observé aujourd'hui. Les conditions de vie des habitants, de la fin du Moyen Âge à la fin du XIXe siècle, ont peu changé. Les terres peu fertiles et accidentées ne permettaient pas une agriculture prospère et la plupart des familles vivaient en autosubsistance, avec quelques animaux d'élevage. Les fermes étaient éparpillés sur tout le territoire, parfois regroupés en petits hameaux qu'on peut encore voir aujourd'hui (Maxonchamp, Le Chêne, Longchamp).
En 1790, Rupt est versé dans le district et le canton de Remiremont mais rejoint dès l'an VIII le canton de Ramonchamp.
Une profonde transformation de la vie de la commune sera liée à l'annexion de l'Alsace par l'Allemagne en 1870. De nombreux entrepreneurs alsaciens, qui avaient leurs industries dans les vallées voisines, fuient la domination allemande et s'installent dans la vallée de la Moselle, alors peu touchée par l'industrialisation. Les conditions naturelles (présence de bois et de cours d'eau pour fournir de l'énergie) étaient semblables à celles rencontrées de l'autre côté du massif. Progressivement, les paysans quittent leurs conditions de vie misérables pour travailler dans les usines textiles et peupler les cités ouvrières modernes.
Le déclin de l'agriculture se poursuivra pendant le XXe siècle et l'abandon des fermes au profit de l'industrie permettra le renouveau de la forêt, qui a presque reconquis l'ensemble du territoire communal à la fin du XXe siècle (excepté le fond de vallée). Les activités agricoles sont aujourd'hui marginales, même si elles jouent un rôle important dans l'aménagement du paysage.
À partir des années 1970, les crises industrielles que connaîtront la France et surtout la Lorraine entraîneront la fermeture de nombreuses usines textiles. Quelques-unes subsisteront en s'orientant vers de nouvelles productions (sous-traitance automobile, composants plastiques).
D'or, à la branche de chêne de sinople mise en barre.
Commentaires : La branche de chêne était le signe distinctif du ban dépendant de l’abbaye de Remiremont. Ces armoiries ont été adoptées par la commune lors de son jumelage avec Stadecken-Elsheim en 1980.
Les sections de Remanvillers, Xoarupt et Ferdrupt, d'une population de 1 170 habitants, sont séparées de la commune de Rupt-sur-Moselle en 1832 pour former celle de Ferdrupt.
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].
En 2022, la commune comptait 3 458 habitants[Note 6], en évolution de −0,95 % par rapport à 2016 (Vosges : −2,96 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
La quasi-totalité de la population est installée sur la rive droite de la rivière, dans le centre-ville (autrefois appelé Lette) et la ville elle-même au pied du Haut de Bélué, en raison de l'isolement et du climat, la zone montagneuse n'est quasiment pas habitée, sauf dans le bas des vallées de la Charme et de Grandrupt le reste des habitations de montagne sont généralement des refuges ou des gîtes. La ville intra-muros est composée de plusieurs petits quartiers :
Le Centre
Napoléon Forel
La Dermanville
La Roche
Le Pré Martin
Larger
De nombreux hameaux sont disséminés sur le territoire de la commune (nord : Lépange, Les Meix, Maxonchamp ; sud : le Chêne, Longchamp, Saulx ; est : la Charme (Dessus de Rupt) ; ouest : le Riffin)
Services publics
Mairie
Pompiers
Groupes scolaires (maternelles, primaires) au centre et en périphérie, et collège dans la ville
La majeure partie du territoire (75 %), accidentée et montagneuse, est recouverte de forêts (feuillus et résineux), qui gagnent du terrain sur les espaces défrichés. Le fond de la vallée, plat et large de 0,2 à 1 km, est occupé par la ville, des pâturages et quelques cultures (maïs), utilisés pour l’élevage bovin (production de lait).
Le groupe espagnol Antolin fabrique des pièces pour automobiles, surtout des pare-soleil, dans une ancienne usine Rockwell, qui emploie 440 salariés[34].
Valrupt, du groupe français Valmont, est un tissage de coton qui a été mis en règlement judiciaire[35]. Il fait l'objet d'une reprise par Thomas Huriez (Modetic), un des seuls fabricants français de jeans sous la marque « 1083 »[36]. 70 emplois seront sauvés après scission de l'entreprise. La partie housses de literie et linge de maison est confiée à un grossiste d'Aubervilliers Cote d'Amour[37].
Cimest (Compagnie Industrielle des Moulages de l'Est), du groupe français Plastivaloire, usine des pièces plastiques pour la téléphonie et l'automobile, employait 101 salariés. Elle a fermé pour raisons économiques le .
La menuiserie Couval, fabricant de portes et fenêtres en PVC, a été reprise en 2009 par le groupe Hilzinger[38].
Jusqu'à la fin des années 1990, la commune possédait la particularité d'avoir une mine de fluorine en activité.
Culture locale et patrimoine
Sobriquets
Lépange : On a donné le sobriquet de « Loups » aux habitants de Lépange à cause d'un procès où quelques-uns d'entre eux, à la faveur d'un déguisement en loups-garoux, commirent plusieurs vols qui les firent condamner à être pendus[39].
Personnalités liées à la commune
Dieudonné Thiébault (1733-1807), homme de lettres, président de la Société libre des sciences, lettres et arts de Paris.
Louis Courroy, maire de Rupt-sur-Moselle de 1953 à 1965.
Ernest Wittmann, sculpteur et peintre, mort à Rupt-sur- Moselle en 1921.
Jean Desbordes, écrivain, poète, résistant, il fut torturé rue de la pompe à Paris, où il décédera en martyre (son nom est gravé au Panthéon dans la liste des écrivains morts pour la France pendant la guerre 1939-1945)[40].
Jean Montémont, instituteur, résistant et peintre, né à Rupt-sur-Moselle le et mort à Remiremont le [41].
Robert Parmentier, jaciste et responsable agricole, qui participa à l'élaboration des statuts des GAEC et présida l'Union des groupements pour l'exploitation agricole[43].
Léon Fresse, militant syndicaliste et écrivain[44].
Étienne Fels, industriel textile, archiviste, archiviste-paléographe, archéologue et historien[45].
Victor Augustin Collin, ancien maire du Val d'Ajol, de 1878 à 1883[46].
Georges Poull, historien, écrivain, industriel textile.
Causons-en ! (Commission Paritaire : 0911K 85300), St-Michel / Meurthe (88470), Edition, Distribution : Studio graphique C. Chapat, (ISSN1767-9672)
Magazine n°67, Promenons-nous dans les Vosges : Rupt-sur-Moselle pp. 10 à 29
Archives départementales des Vosges, Série H, Clergé régulier avant 1790, Répertoire numérique détaillé établi par André Philippe, archiviste départemental (1905-1937), présenté par Raymonde Florence, Epinal 1924 / 2004 : pp. 137 à 181 : 7 H Prieuré du Saint-Mont : Les archives sont importantes ; elles sont riches notamment pour quelques localités telles que Bayon, Dommartin-lès-Remiremont (depuis le XIIIe), Saint-Amé (depuis le XIVe siècle), et Saint-Étienne-lès-Remiremont (depuis le XIIIe siècle). Biens du prieuré (Sommaire du fond VII H : p. 141) : *Bayon, La Bresse et Biffontaine ; *Dommartin-lès-Remiremont ; *Éloyes et Laveline-du-Houx ; *Ramonchamp et Rancourt ; *Remiremont ; *Rupt ; *Saint-Amé ; *Saint-Étienne ; *Saint-Nabord, Le Thillot et Vagney ; *Les Vallois et Chaillon (Meuse) ; *Divers
Histoire des communes de Rupt, Ferdrupt et Dommartin et des communes environnantes par Clément Perrin de Longchamps de .(Document récompensé d'une médaille de première classe par la société d'émulation des Vosges lors de la réunion générale, à Épinal, le )
(fr) Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine du Thillot comprend trois villes-centres (Ramonchamp, Rupt-sur-Moselle et Le Thillot) et cinq communes de banlieue.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑L'Usine Nouvelle, « La menuiserie Couval entre dans le giron d’Hilzinger France - Quotidien des Usines », usinenouvelle.com/, (lire en ligne, consulté le ).
↑Le département des Vosges : statistique historique et administrative, Nancy, 1847
↑Association d’Étude pour la Coordination des Activités Musicales (ASSECARM), Orgues Lorraine Vosges, Metz, Éditions Serpenoise, (ISBN2-87692-093-X), p. 518-524.