Puy-Guillaume

Puy-Guillaume
Puy-Guillaume
L'hôtel de ville de Puy-Guillaume.
Blason de Puy-Guillaume
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Thiers
Intercommunalité Communauté de communes Thiers Dore et Montagne
Maire
Mandat
Bernard Vignaud
2020-2026
Code postal 63290
Code commune 63291
Démographie
Gentilé Puy-Guillaumois
Population
municipale
2 690 hab. (2021 en évolution de −0,52 % par rapport à 2015)
Densité 108 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 57′ 40″ nord, 3° 28′ 29″ est
Altitude Min. 265 m
Max. 590 m
Superficie 25,02 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Puy-Guillaume
(ville isolée)
Aire d'attraction Thiers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Maringues
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Liens
Site web puy-guillaume.fr

Puy-Guillaume est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes, près de Thiers.

Les habitants de Puy-Guillaume, au nombre de 2 690 en 2021

Géographie

Localisation

Puy-Guillaume se trouve au nord-est du département du Puy-de-Dôme[1], à environ 300 mètres d'altitude et s'étend sur 25 km2, dans une plaine de moyenne montagne. Elle est adhérente du parc naturel régional Livradois-Forez.

Six communes sont limitrophes[2] :

Communes limitrophes de Puy-Guillaume
Limons Châteldon, Ris
Puy-Guillaume Saint-Victor-Montvianeix
Charnat Paslières
Rose des vents Aigueperse
22 km
Vichy
19 km
Le Mayet-de-Montagne
19 km
Rose des vents
Riom
27 km
N Roanne
47 km
O    Puy-Guillaume    E
S
Clermont-Ferrand
37 km
Thiers
12 km
Saint-Just-en-Chevalet
30 km

Lieux-dits et écarts

Géologie et relief

La superficie de la commune est de 2 502 hectares ; son altitude est comprise entre 265 et 590 mètres[3]. Le relief du centre-ville est quasiment plat. La ville n'est pas construite sur une butte ou sur une montagne mais est bâtie à une altitude supérieure de quelques mètres à celle de la Dore qui traverse la ville à l'ouest de la commune[4].

L'altitude de la mairie de Puy-Guillaume est de 286 mètres environ[4].

Hydrographie

La commune est traversée par la Dore, dont le centre-ville est situé en rive droite, ainsi qu'un affluent, la Credogne[2]. Plusieurs ruisseaux traversent également la commune. Les flots de l'Allier coulent à proximité de la commune[5].

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 837 mm, avec 9,8 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mayet-de-Montagne », sur la commune du Mayet-de-Montagne à 19 km à vol d'oiseau[8], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 979,2 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Voies de communication et transports

L'ancienne route nationale 106, devenue RD 906, en direction de Thiers.

Voies routières

Puy-Guillaume est traversée par l'ancienne route nationale 106 devenue route départementale 906, un axe routier important reliant Le Puy-en-Velay et Thiers au sud à Vichy au nord. L'autoroute A89 peut être empruntée à Thiers (échangeur 29) et l'autoroute A719 à Vichy.

Les autres départementales assurent un maillage local voire intercommunal : la D 4 en direction de Charnat, la D 44 vers Noalhat et de Dorat, la D 59 reliant le lieu-dit la Féculerie à la commune voisine de Châteldon, la D 63 en direction de Maringues et Limons à l'ouest et de Châteldon à l'est, la D 85, qui relie le lieu-dit Montpeyroux à la commune voisine de Châteldon, la D 114, en direction de l'abbaye de Montpeyroux et de Saint-Victor-Montvianeix, la D 342, ainsi que la D 343 contournant la ville par le sud-ouest.

Ligne ferroviaire

Une gare (non ouverte au service des voyageurs) est implantée sur la ligne de Saint-Germain-des-Fossés à Darsac.

Les gares les plus proches sont à Thiers, à Pont-de-Dore et à Vichy, et permettent de rejoindre Clermont-Ferrand en TER Auvergne-Rhône-Alpes.

Transport en commun

Puy-Guillaume est accessible par quatre lignes interurbaines du réseau Cars Région Puy-de-Dôme, gérées par la région Auvergne-Rhône-Alpes[12] :

Réseau Ligne Tracé
Cars Région Puy-de-Dôme P03 VichyThiersAmbertArlanc
P06 PeschadoiresMaringuesClermont-Ferrand
P55 Puy-Guillaume – Châteldon – Vichy
P56 Châteldon – Puy-Guillaume – Thiers

Urbanisme

Typologie

Au , Puy-Guillaume est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Puy-Guillaume[Note 1], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[14],[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Thiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[15]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (62,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (38,9 %), forêts (31,2 %), terres arables (14 %), zones agricoles hétérogènes (7,6 %), zones urbanisées (6,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,6 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine et quartiers

La commune est formée d'un centre-ville, d'une extension urbaine continue depuis l'ouverture de la verrerie en 1902 et de plusieurs lieux-dits à l'extérieur de l'agglomération. L'architecture de la ville ne présente que peu d'intérêt patrimonial du fait de son âge.

À l'extérieur du centre-ville s'est dessinée l'ancienne route nationale 106 avec très peu de courbes, voire rectiligne dans l'agglomération.

Inondations entre la commune de Puy-Guillaume et de Limons.

Risques naturels et technologiques

Le territoire de la commune est classé dans la zone de sismicité de niveau 3[19].

Puy-Guillaume est touchée par plusieurs risques[20]: feu de forêt, inondation, phénomène lié à l'atmosphère, rupture de barrage, séisme, transport de marchandises dangereuses.

Histoire

Le bourg

La commune est issue du regroupement des paroisses de Saint-Alyre et de Montpeyroux[PG 1].

Certains habitants vivaient de la batellerie, faisant de la commune un port actif de la Basse-Auvergne, jusqu'au milieu du XIXe siècle. Celui-ci assurait « le transit des bois, du charbon et du vin ». La Credogne, affluent de la Dore, « est doublée d'un bief qui alimente plus de douze moulins »[PG 1].

Les mariniers disparaissent au début du XXe siècle. Une verrerie, implantée en 1902, « donne une nouvelle impulsion à la commune ». Cette usine, toujours ouverte, emploie 315 personnes en 2016[21].

L'abbaye de Montpeyroux

L'abbaye de Montpeyroux est une ancienne abbaye cistercienne située au village de Montpeyroux, au sud-est du centre-ville de Puy-Guillaume.

Politique et administration

Découpage territorial

La commune de Puy-Guillaume est membre de la communauté de communes Thiers Dore et Montagne[15], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Thiers. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[22]. De 2010 à 2016, elle faisait partie de la communauté de communes entre Allier et Bois Noirs[23].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Thiers, à la circonscription administrative de l'État du Puy-de-Dôme et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[15]. Jusqu'en , elle faisait partie du canton de Châteldon[24].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Maringues pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[15], et de la cinquième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[24].

Élections municipales et communautaires

Élections de 2020

Le conseil municipal de Puy-Guillaume, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[25], pour un mandat de six ans renouvelable[26]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 23[27]. Les vingt-trois conseillers municipaux, issus d'une liste unique, sont élus au premier tour, le , avec un taux de participation de 41,20 %[28].

Quatre sièges sont attribués à la commune au sein du conseil communautaire de la communauté de communes Thiers Dore et Montagne[28].

Le conseil municipal est composé de vingt-trois membres, dont six adjoints et seize conseillers municipaux[PG 2].

Chronologie des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
[29] Michel Charasse PS[Note 3]
puis DVG
(et RDSE[30],[29])
Conseiller régional d'Auvergne (1979-1987, 1992)[29]
Sénateur du Puy-de-Dôme (1981, 1983-1988, 1992-2010)[30]
Conseiller général du canton de Châteldon (1988-2010)[29]
Vice-président du conseil général (1998-2001)[29]
Ancien ministre du Budget
Président du SIVOM du canton de Châteldon (2009)[29]
Nadine Chabrier PS Première adjointe de Michel Charasse, elle lui succéda lorsque celui-ci fut nommé au Conseil constitutionnel[31]
Conseillère communautaire de la communauté de communes[32]

(réélu en 2020)
En cours
(au )
Bernard Vignaud[33],[PG 2] DVG[34] Retraité[35]
Président de la communauté de communes entre Allier et Bois Noirs[32] (2014-2016)

Autres élections

Michel Charasse, homme politique français, a été maire de Puy-Guillaume de 1977 à 2010.

Aux élections municipales de 2014, la liste Union de la gauche de Nadine Chabrier, qui s'est représentée, a été battue au premier par la liste divers gauche de Bernard Vignaud, avec 51,37 % des suffrages exprimés. Ce dernier acquiert dix-huit sièges, dont huit au conseil communautaire. 76,85 % des électeurs ont voté (1 610 votants sur 2 095 inscrits)[34].

Équipements et services publics

Enseignement

Puy-Guillaume dépend de l'académie de Clermont-Ferrand. Elle gère l'école maternelle publique Fernand-Roux et l'école élémentaire publique François-Mitterrand[36].

Les élèves poursuivent leur scolarité au collège Condorcet, géré par le conseil départemental du Puy-de-Dôme, situé dans la commune[36].

Les lycéens se rendent à Thiers, au lycée Montdory pour les filières générales et STMG ou au lycée Jean-Zay pour les filières générales[37], STL[38] et STI2D[37].

Instances judiciaires

Puy-Guillaume dépend de la cour d'appel de Riom, du tribunal de proximité de Thiers, des tribunaux judiciaire et de commerce de Clermont-Ferrand[39].

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[41].

En 2021, la commune comptait 2 690 habitants[Note 4], en évolution de −0,52 % par rapport à 2015 (Puy-de-Dôme : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9421 3391 1871 3351 5161 6391 6731 7541 809
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7361 7911 8451 8221 8401 8851 8011 7421 695
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 8442 1542 3502 1372 2512 6282 5742 3252 327
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
2 4132 4202 5952 7072 6342 6242 6682 6122 743
2021 - - - - - - - -
2 690--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sports et loisirs

La ville de Puy-Guillaume dispose d'un grand nombre de clubs de sport : un club de football, de rugby, de basketball, de tennis, de judo, de gymnastique et de handball. La ville dispose d'une piscine municipale à l'ouest de la commune[réf. nécessaire].

Plusieurs parcs avec des aires de jeux viennent compléter l'offre de la commune[PG 3].

Économie

La plus grande entreprise de Puy-Guillaume en termes d'emplois est la Verrerie, une usine de fabrication de bouteilles en verre opérée par le groupe Owens-Illinois. Elle emploie en 2020 environ 350 employés et fabrique 600 unités (bouteilles, mais aussi pots en verre) à la minute, soit environ 500 tonnes quotidiennes. C'est une des plus anciennes usines auvergnates et la seule usine française de contenants en verre destinés à l'alimentaire. En 2017, le taux de recyclage de matière première est de 35 % et ne cesse d'augmenter[44],[45],[46],[47].

La commune se caractérise par l'absence de supermarché sur son territoire. Cette absence est le fruit d'une politique délibérée de son ancien maire Michel Charasse, qui refuse durant tous ses mandats l'implantation de grande surface commerciale, afin de ne pas défavoriser les petits commerces du centre-ville. Cette volonté est également celle de ne pas proposer un « bas de gamme alimentaire » à ses concitoyens, et de lutter contre la « déshumanisation [des] campagnes ». Cette politique est menée malgré des tentatives de corruption de la part de grandes enseignes. Elle est poursuivie par ses successeurs et couronnée de succès : en 2013, le village compte 38 commerces, notamment deux boulangeries, une chocolaterie, deux fleuristes, des coiffeurs, cinq bistrots ou un magasin de fruits, légumes et fromages[48],[49] ainsi qu'un marché très actif[50].

Culture et patrimoine

Un air de musique porte le nom de Mazurka de Puy-Guillaume. Celui-ci a été collecté par Jean-François Chassaing (Docteur en ethnologie). Ces airs populaires, généralement sans titre et anonymes, ont souvent été rebaptisés lors de leurs collectes, soit du nom de leur interprète, soit du nom du lieu de collecte[réf. nécessaire].

Lieux et monuments

Le château de la Bâtisse.

Puy-Guillaume compte deux monuments répertoriés à l'inventaire des monuments historiques[51] et vingt-six lieux et monuments (hors présentation communale) répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel[52]. Par ailleurs, elle ne compte aucun objet répertorié à l'inventaire des monuments historiques[53] et 41 objets (hors inventaire supplémentaire) répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel[54].

Figurent notamment à l'inventaire général, l'église paroissiale Saint-Barthélemy (XIXe et XXe siècles), remplaçant une chapelle du XVIIe siècle détruite[55], une école de garçons, au 58 rue Joseph-Claussat, construite en 1907[56], un cimetière, de la fin du XIXe siècle[57], un château (XVIe, 2e quart du XVIIIe siècle et XIXe siècle) au lieu-dit de la Mothe[58], le château de la Bâtisse (XVIe, XVIIIe, XIXe et XXe siècles) au lieu-dit de la Bâtisse[59], les pigeonniers sont inscrits aux monuments historiques en 1988[60], l'abbaye de cisterciens ou abbaye de Montpeyroux, fondée en 1126[61] et inscrite aux monuments historiques en 2000[62].

Le prieuré Saint-Alyre-ès-Montagne a été détruit[63].

Un autre édifice château des Audinots[réf. nécessaire].

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Blason de Puy-Guillaume Blason
D'azur à l'ancre de sable, cordée d'or à deux haches du même posées en sautoir.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Michel Charasse est exclu du PS en [29].
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

Site de la mairie

  1. a et b « Découvrir Puy-Guillaume » (consulté le ).
  2. a et b « Conseil municipal » (consulté le ).
  3. « Vie sportive » (consulté le ).

Autres sources

  1. Puy-Guillaume sur Lion 1906.
  2. a et b Carte de Puy-Guillaume sur le site Géoportail de l'IGN (consulté le ).
  3. Répertoire géographique des communes (IGN).
  4. a et b « PLAN PUY-GUILLAUME - Plan, carte et relief de Puy-Guillaume 63290 », sur cartesfrance.fr (consulté le ).
  5. Carte Google Maps de Puy-Guillaume, sur Google Maps (consulté le ).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Puy-Guillaume et Le Mayet-de-Montagne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Mayet-de-Montagne », sur la commune du Mayet-de-Montagne - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Mayet-de-Montagne », sur la commune du Mayet-de-Montagne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. Lignes d'autocar desservant Puy-Guillaume, sur laregionvoustransporte.fr, Conseil régional d'Auvergne-Rhône-Alpes (consulté le ).
  13. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Puy-Guillaume », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  15. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune de Puy-Guillaume ».
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Thiers », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  19. Décret no 2010-1255 du 22 octobre 2010 portant délimitation des zones de sismicité du territoire français. Puy-Guillaume n’est pas mentionnée dans les exceptions.
  20. « Puy-Guillaume | Risques majeurs en Auvergne », sur risques.auvergne.pref.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Le savoir-faire reconnu des personnels verriers », La Montagne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. « CC Thiers Dore et Montagne (No SIREN : 200070712) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  23. « CC Entre Allier et Bois Noirs (No SIREN : 200023489) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  24. a et b « Découpage électoral du Puy-de-Dôme », sur Politiquemania (consulté le ).
  25. Loi no 2013-403 du relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral, article 51, et son décret d'application no 2013-938 du .
  26. « Election des conseillers municipaux et du maire », sur le site de la DGCL.
  27. Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  28. a et b « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
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  31. « Nadine Chabrier élue maire », La Montagne,‎ , p. 6 (éditions du Puy-de-Dôme).
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  41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  49. Gilles Fumey, « Puy-Guillaume, les idéaux du village », Libération,‎ (ISSN 2262-4767, lire en ligne, consulté le ).
  50. Fanny Guiné, « Au marché de Puy-Guillaume (Puy-de-Dôme), les producteurs sont rois : “L'absence de supermarché joue énormément” », La Montagne,‎ (ISSN 0767-4007, lire en ligne, consulté le ).
  51. « Liste des monuments historiques de Puy-Guillaume », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  52. « Liste des lieux et monuments de Puy-Guillaume répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  53. « Liste des monuments historiques de Puy-Guillaume », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  54. « Liste des objets à Puy-Guillaume répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  55. « Eglise paroissiale Saint-Barthélemy », notice no IA00051133, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  56. « Ecole primaire (école de garçons) », notice no IA00051132, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  57. « Cimetière », notice no IA00051138, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  58. « Château », notice no IA00051150, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  59. « Château », notice no IA00051142, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  60. « Château de la Bâtisse », notice no PA00092255, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  61. « Abbaye de cisterciens ou abbaye de Montpeyroux », notice no IA00051149, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  62. « Abbaye cistercienne de Montpeyroux », notice no PA00092254, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  63. « Prieuré Saint-Alyre-ès-Montagne », notice no IA00051152, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

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