La commune possède de nombreux lieux-dits et écarts. Parmi eux, les plus importants sont:
la Chabasse
le Fiol
Narbonne
Repote
Legris
Legat
les Genettes
le Mas
les Granges
les Chelles
la Domaye
la Valette
Meymont
Communes limitrophes
Cinq communes sont limitrophes d'Olliergues. Il est tenu compte, pour le placement des communes dans le tableau, des centres-bourgs des communes et non pas des chefs-lieux de commune. Ainsi, Saint-Gervais-sous-Meymont est au sud-ouest mais au nord-ouest par la route[2] :
Le territoire communal est également traversé par les routes départementales no 37 (en direction du Brugeron et de La Chapelle-Agnon) et no 87 (en direction d'Augerolles).
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 926 mm, avec 10,1 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cunlhat », sur la commune de Cunlhat à 8 km à vol d'oiseau[6], est de 10,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 010,2 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
Typologie
Au , Olliergues est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10].
Elle est située hors unité urbaine[11] et hors attraction des villes[12],[13].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (56 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (53,7 %), prairies (34,2 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %), zones urbanisées (3,3 %), terres arables (2,8 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Toponymie
Le nom d'Olliergues est une francisation du nom occitan du village Olhèrgues[15],[16].
Histoire
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Politique et administration
Découpage territorial
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Sur le plan administratif, Olliergues dépendait du district d'Ambert en 1793 puis de l'arrondissement d'Ambert de 1801 à 1926, de Thiers de 1926 à 1942 et à nouveau d'Ambert depuis 1942. Elle a été chef-lieu de canton de 1793[17] à mars 2015 ; à la suite du redécoupage des cantons du département, la commune est rattachée au canton des Monts du Livradois.
Le conseil municipal, élu à la suite des élections municipales tenues en 2020, est composé de quinze élus, dont deux adjoints et douze conseillers municipaux[Oll 1].
La gestion des déchets, de l'eau et du service public d'assainissement non collectif a été assurée par le SIVOM de l'arrondissement d'Ambert jusqu'en 2016[Oll 3]. Le SIVOM a été dissous et la compétence déchets est désormais assurée depuis le par la communauté de communes Ambert Livradois Forez.
La commune bénéficie de la collecte sélective des déchets en porte-à-porte[20].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[22].
En 2021, la commune comptait 743 habitants[Note 2], en diminution de 0,13 % par rapport à 2015 (Puy-de-Dôme : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Elle gère une école maternelle et une école élémentaire. Il existe également un collège (Alexandre-Varenne)[Oll 4].
Santé
La commune possède un cabinet médical, ainsi qu'une maison de retraite[Oll 5].
Quatre infirmiers, une pédicure/podologue et un pharmacien sont installés dans la commune[Oll 5].
Les centres hospitaliers les plus proches sont à Thiers et à Ambert[Oll 5].
Sports
Tour de la communauté de communes du Pays d'Olliergues : course par étapes juniors de niveau national avec régulièrement des sélections étrangères qui y viennent en préparation comme en 2004 quand l'équipe des Pays-Bas était venue en stage. La course se déroule chaque année le troisième week-end de mai dans la région d'Olliergues.
Économie
Commerces
Il existe dans la commune des commerces « de première nécessité » : un commerce d'alimentation générale, une boucherie-charcuterie, une boulangerie-pâtisserie, une fromagerie, un tabac-presse[Oll 6].
Un hôtel-restaurant, deux banques et un bureau de poste sont implantés à Olliergues[Oll 6].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Château ayant appartenu à la famille du maréchal de Turenne. Restauré, il abrite le Musée des vieux métiers, riche de la tradition artisanale régionale.
Église inscrite à l'inventaire des monuments historique en 1961, avec clocher en bois et beau tombeau en granit ainsi que des peintures murales du XVe siècle.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Jean Roux, De la renaissance d'une langue occitane littéraire en Auvergne au début du XXe siècle, perspectives et avenir (Thèse en études occitanes sous la direction d'Hervé Lieutard), Montpellier, Université Paul-Valéry, soutenue en 2020 (lire en ligne).
↑(oc) Gabriel Chantelauze, « Los Turques en Livradoès », Parlem. Vai-i qu'as paur ! Revista trimestrala auvernhata, Clermont-Ferrand, Institut d'études occitanes, vol. Los estrangèirs chas nautres en Auvèrnha, no 2, mai-juin-juillet 1984, p. 5 (lire en ligne [PDF], consulté le ).