Il eut un rôle actif et essentiel lors de la Guerre de Trente Ans, qui opposa protestants et catholiques. Il prit naturellement parti pour ces derniers.
Allié de la France, il choisit pour coadjuteur Guillaume-Egon de Furstenberg mais, à sa mort, l'opposition des princes et du clergé allemands qui ne pouvaient admettre qu'un agent de la France devint prince-électeur empêcha ce dernier d'accéder à l'archiépiscopat et ce fut un prince-évêque hostile à la France, Jean-Louis d'Elderen, qui fut élu. Cependant, à la mort de d'Elderen, un autre membre de la Maison de Wittelsbach, Joseph-Clément de Bavière, devint archevêque et électeur de Cologne et prince-évêque de Liège.
Financièrement, à Liège, il relança les ducatons (pièces d'argent). Leur valeur d'époque : 5 florins Brabant-Liège. Certains sont à son effigie.
Joseph Daris, Histoire du Diocèse et de la Principauté de Liége pendant le XVIIe siècle, t. II, Liège, Louis Demarteau, , 449 p. (lire en ligne), « La principauté et le diocèse sous Maximilien-Henri de Bavière », p. 1-212
Baron Oscar de Schaetzen, Orfèvreries liégeoises, Fonds Mercator, Anvers. Deux fascicules supplémentaires ont été édités par la Société des Bibliophiles liégeois.