La ville de Montaigu (Vendée), pour un motif de conservation, acheta en 1844 le château éponyme au marquis de Juigné qui le tenait de ses ancêtres. La transaction se fit à l'audience des criées du Tribunal de première instance du département de la Seine, à Paris[1].
Jacques-Marie-Anatole Le Clerc était le fils aîné de Charles Marie Leclerc (° 1764 † 1826), marquis de Juigné, chevalier de Saint-Louis (1796), colonel, et de Anne-Éléonore-Eulalie ( † 1803), fille de François-Charles du Floquet, comte de Réals.
Il avait une sœur, Anne-Eulalie-Agathe (° ), mariée, le à Paris, avec Jean-Baptiste de Percin de Montgaillard (1767-1846), marquis de La Valette, dont une fille.
Ascendants de Jacques Marie Anatole Le Clerc de Juigné
16. Samuel, baron de Juigné
8. Samuel-Jacques Le Clerc, baron de Juigné ( † 1734)
En 1866 avec Pauline Louise Euphrasie (Chaligny, - Beaune, ), fille de François Sallonnier de Chaligny (1770-1833), sous-préfet de Château-Chinon (1815-1830), veuve d'Alphonse Pierre Routy de Charodon (1804-1865).
Le marquis de Juigné eut un fils de chacune de ses deux premières unions :
(1°) Charles Marie Chrétien (né le ). Il avait hérité de sa mère, du château de Brou, qu'il revend en 1844 à Charles Floréal Thiébaut, fondeur de bronzes d'art à Paris ;
↑ abc et d« Le Clerc, marquis De Juigné, (Charles-Philibert-Gabriel) », dans Jean-Baptiste-Pierre Jullien de Courcelles, Histoire généalogique et héraldique des pairs de France : des grands dignitaires de la couronne, des principales familles nobles du royaume et des maisons princières de l'Europe, précédée de la généalogie de la maison de France, vol. VI [détail de l’édition] (lire en ligne), p. 177-178