Hôtel de ville de Paris

Hôtel de ville de Paris
Façade principale (ouest) de l’Hôtel de Ville en 2017.
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L’hôtel de ville de Paris, communément appelé l’Hôtel de Ville[a], est le bâtiment qui héberge les institutions municipales de Paris depuis 1357.

Paris ayant connu diverses insurrections, l'hôtel de ville est souvent le point de ralliement d'émeutiers, insurgés et révolutionnaires. D'Étienne Marcel à la Fronde, de la Révolution aux journées révolutionnaires de juillet 1830 et février 1848, de la Commune à la Libération de Paris, l'hôtel de ville est un lieu chargé d'histoire[b].

Situation et accès

Il est situé place de l'Hôtel-de-Ville, dans le 4e arrondissement de Paris.

Ce site est desservi par les stations de métro Hôtel de Ville et Châtelet.

Historique

Du XIVe siècle à la Commune

La corporation des nautes — les marchands de l’eau — ancêtre de la municipalité de Paris avait obtenu une juridiction installée en 1250 près du Grand Châtelet au lieu-dit la vallée de la misère sur le quai de la Mégisserie dans une maison à l'enseigne du bénitier puis transférée au début du XIVe siècle au parloir aux bourgeois, à l'emplacement de l'actuel no 20 de la rue Soufflot jusqu'à l'acquisition de la Maison aux Piliers au nom de la municipalité en par Étienne Marcel[1].

C'est là que, depuis lors, se dresse le centre des institutions municipales de Paris.

La Maison aux Piliers tombant en ruines au XVIe siècle, les officiers municipaux demandent et obtiennent du roi François Ier en 1529 qu'elle soit remplacée par un véritable palais de style Renaissance qui est dessiné par l'architecte italien Boccador[2]. Sa construction débute en 1533 avec la première pierre posée le par le prévôt des marchands de Paris Pierre Violle[3], et s'achève en 1628. La partie sud est édifiée sous François Ier et Henri II de 1533 à 1551, sa partie nord sous Henri IV et Louis XIII de 1605 à 1628 (sous la direction du prévôt des marchands de Paris Robert Miron), les guerres de religion ayant interrompu les travaux[4],[5].

À l'occasion de cette reconstruction, Charles Leconte, charpentier maître d’œuvre de l'hôtel de ville, est le premier à faire flotter un train de bois d’œuvre pour les besoins des travaux sur l'Yonne et la Seine, train arrivé à Paris le [6],[7].

En 1652, lors de la Fronde, des émeutiers incendient les portes de l'hôtel de ville et massacrent des membres de l'assemblée municipale[8].

Le , un feu d'artifice est tiré place de Grève devant l'hôtel de ville pour la publication de la Paix[9].

Au XIXe siècle l'agrandissement et la reconstruction partielle de l'hôtel de ville ont été menés d'après les plans de Godde et Lesueur de 1837 à 1848, tout en préservant la façade Renaissance. Antoine Vivenel, entrepreneur général, dirigeait le chantier. Quatre peintres, dont Jean-Victor Schnetz, sont appelés pour célébrer les grandes révolutions parisiennes sur les murs de l'ancienne salle du Trône. Cet agrandissement a fait disparaître les rues et édifices suivants[10] :

Gravures de Theodor Josef Hubert Hoffbauer
vue d'artiste exécutée pour une publication de 1885.
La place de Grève et l'hôtel de ville en 1583.
La place de Grève et l'hôtel de ville en 1740.
La place de Grève et l'hôtel de ville en 1830.
La place de Grève et l'hôtel de ville en 1842.
La place de Grève et l'hôtel de ville en 1867.
La place de Grève et l'hôtel de ville en 1871 pendant la Semaine sanglante.

Vacance du pouvoir de Charles X (29 au 31 juillet 1830)

Le duc d'Orléans quitte le Palais-Royal pour se rendre à l'Hôtel de Ville, 31 juillet 1830,
Horace Vernet, 1832,
château de Versailles[11].

Dans la matinée du , Charles X quitte Paris pour le château de Saint-Cloud et les troupes royales doivent se replier dans le bois de Boulogne. François Guizot appelle à la nomination d'une commission municipale provisoire, chargée formellement de ravitailler la capitale. Dans le Moniteur universel, cette commission est appelée « Gouvernement provisoire »[12]. Elle est composée de cinq députés : Casimir Perier, le général Mouton, Pierre-François Audry de Puyraveau, François Mauguin et Auguste de Schonen, et s'installe à l'hôtel de ville dans l'après-midi du . Le 31 juillet, alors que les députés ont offert au duc d'Orléans, qui l'a acceptée, la lieutenance générale du royaume, la commission municipale cherche à se transformer en exécutif provisoire et nomme des commissaires aux différents départements ministériels. Ces commissaires, dont la plupart seront confirmés dans leurs fonctions par Louis-Philippe d'Orléans le lendemain 1er août, forment, pendant à peine une journée, le ministère nommé par la commission municipale de Paris.

À partir de 1834, l'hôtel de ville accueille le conseil municipal de Paris.

Second Empire

Sous le Second Empire, l'Hôtel de ville est utilisé par le nouveau régime pour mettre en scène son pouvoir[13]. Ainsi, dès 1852, lors du plébiscite en faveur de Napoléon III, on pavoise l'Hôtel[14] aux couleurs de l'Empereur et c'est là-bas qu'est faite la proclamation impériale[15]. Il deviendra aussi le siège de la Préfecture, en plus d'accueillir de grandes fêtes comme lors de la venue de la reine Victoria[16]. Pour dégager son accès, Haussmann fera raser neuf rues pour créer l'avenue Victoria.

La guerre de 1870 et la Commune de Paris

Dans le contexte de la guerre franco-prussienne de 1870, alors que la nouvelle de la défaite de Sedan est connue et que, sous la pression de la foule qui a envahi le palais Bourbon, le Corps législatif ait prononcé la déchéance de l'empereur Napoléon III, le gouvernement de la Défense nationale est constitué à l'hôtel de ville[17].

Pendant la Commune de Paris, dirigés notamment par Jean-Louis Pindy, l'Hôtel de ville devient le siège du Conseil de la Commune et de la Garde nationale. Au cours de la Semaine sanglante, les Communards mettent le feu à plusieurs bâtiments afin de ralentir la progression de l'Armée des Versaillais. Les 23 et , ils incendient l'hôtel de ville, son annexe de l'avenue Victoria et une partie du palais de Justice. Les archives et la bibliothèque partent en fumée. Ainsi, les deux collections de l'état civil parisien — celle de la ville et celle du greffe — antérieures à 1860 sont perdues : la première dans l'incendie de l'hôtel de ville et la seconde dans celui du palais de Justice. Des vestiges déblayés de l'hôtel de ville sont exposés, dans la capitale, au parc Monceau[18], aux jardins du Trocadéro, dans le square Paul-Langevin et au musée Carnavalet[19],[20].

Après la Commune

Le bâtiment est reconstruit entre 1874 et 1882 sur les plans des architectes Théodore Ballu et Édouard Deperthes. La façade, de style néo-Renaissance, s'inspire largement de celle du bâtiment disparu. Le nouvel édifice est néanmoins modernisé : électricité, téléphone, ascenseurs, chauffage central[8].

En 1937, un bunker est construit dans les sous-sols, dans le cadre de la défense passive.

La place de Grève, rebaptisée place de l'Hôtel-de-Ville le , est aménagée en espace piétonnier en 1982.

Plaque commémorant la Libération de Paris sur la façade rue de Rivoli.

Le , des combattants du Comité parisien de la Libération se retranchent dans l'Hôtel de Ville tout en harcelant les soldats allemands[21]. Le 25 août, le général de Gaulle y prononce un discours, où il déclare notamment : « Paris ! Paris outragé ! Paris brisé ! Paris martyrisé ! mais Paris libéré »[8].

Lieu de pouvoir où siège le Conseil de Paris et de prestige où sont reçus les hôtes du maire, l'hôtel de Ville est le plus grand bâtiment municipal en Europe. En 1977, la fonction de maire de Paris est recréée[8]. Jusqu'à cette date, l'actuel bureau du maire (155 m2) était celui occupé par le préfet de Paris. Le maire disposait à l'origine d'un appartement de fonction de 1 200 m2, donnant sur le jardin (alors privé) de l'hôtel de ville. En 2003, Bertrand Delanoë y a fait installer une crèche, réalisée par l'architecte Marc Dilet[22].

Architecture

Hôtel de ville vu depuis la tour Montparnasse, en 2016.

La façade principale, d'une longueur de 143 mètres et d'une hauteur de 18,80 mètres (26,80 mètres pour celle des pavillons d'angle et 50 mètres pour le campanile), comprend un avant-corps central correspondant à l'ancien monument construit sous la Renaissance. Il se relève à ses extrémités en deux pavillons flanqués chacun d'une tourelle carrée en encorbellement, dans lesquels sont percées deux portes d'accès aux cours, fermées par des grilles en fer forgé, portant les armes de la Ville de Paris. Ce corps central et ses deux pavillons sont élargis de chaque côté par une petite aile en retrait de six mètres qui se termine par un pavillon d'angle. Dans chaque travée s'ouvrent, au rez-de-chaussée et au premier étage, des baies plein cintre[c] et rectangulaires surmontées de mezzanines, encadrées de pilastres et de colonnes engagées. L'étage suivant de la façade intermédiaire comporte un comble percé de lucarnes en pierre qui renferment une baie rectangulaire. L'étage des pavillons est différent, avec une travée centrale comportant une baie plein cintre précédée d'un balcon à balustrade et deux travées latérales ornées de niches avec statues[d], étage surmonté d'un toit à la Mansart couronné d'une galerie à jour avec piédestaux d'angle supportant des vases à flamme. Le fronton central qui occupe trois travées est orné d'une horloge dont le cadran est accosté des figures du Travail et de L'Instruction, reliées à la balustrade par deux demi-frontons portant les figures couchées de La Seine et de La Marne. Au-dessus de l'horloge, une grande figure assise symbolisant la Ville de Paris est couronnée d'un fronton portant les armes de la Ville soutenues par deux figures couchées, allégories de La Prudence et La Vigilance. Derrière l'horloge se dresse le beffroi, campanile octogonal flanqué de quatre chimères accroupies et couvert d'un dôme à écailles amorti par un lanternon à balustrade en fer forgé. Les toitures sont couronnées de chevaliers du XVe siècle en cuivre repoussé tenant des oriflammes. Les grandes souches de cheminées sont couronnées d'un entablement à consoles surmonté d'un acrotère orné de rosaces et terminé par une corniche[23].

Sa surface totale est de 55 000 m2[24].

Statuaire de la façade

Jean Beausire, Élévation de l’arcade et du piédestal pour la statue de Louis XIV à l’Hôtel-de-Ville de Paris, 1688, Archives nationales.

La façade principale est ornée de personnages marquants de la ville de Paris, artistes, savants, politiciens, industriels. L'ancien hôtel de ville agrandi sous Louis-Philippe avait déjà été orné de statues en pied représentant les hommes illustres de la capitale. Elles ont pour la plupart été détruites lors de la Commune de Paris.

Sur le parvis sont situées deux statues de bronze, allégories de L'Art par Laurent Marqueste et de La Science par Jules Blanchard.

Salle des fêtes

La salle des fêtes de l'hôtel de ville de Paris a été conçue comme une réplique « républicaine » de la galerie des Glaces du château de Versailles construite deux siècles plus tôt[25].

Après avoir été incendié durant la Commune de Paris (1871), l'hôtel de ville a été reconstruit en style néo-Renaissance durant la Troisième République. Les fresques sur les voussures de la salle des fêtes représentent seize provinces de France[25]. Elles sont l'œuvre des quatre peintres Jean-Joseph Weerts, François-Émile Ehrmann, Paul Milliet et Ferdinand Humbert[26].

Voussures Nord
par Jean-Joseph Weerts
Voussures Est
par François-Émile Ehrmann
Voussures Sud
par Paul Milliet
Voussures Ouest
par Ferdinand Humbert

Certaines provinces françaises manquent dont la Franche-Comté, le Limousin ainsi que le Bourbonnais. En outre, l'Alsace annexée à l'Allemagne en 1871 (récupérée en 1919 par le Traité de Versailles) est absente, tandis que l'Algérie annexée à la France à partir de 1830 (devenue indépendante en 1962 à la suite d'un référendum sur l'autodétermination) est présente sous la forme d'une femme voilée[25].

Peinture et statuaire

Jardin

Visites

L'Hôtel de Ville se visite gratuitement après inscription préalable auprès du service des relations publiques de la Ville de Paris. Les espaces proposés à la visite sont tous les salons de réception (salons des Arcades, salon Jean-Paul Laurens, salon Bertrand et salle des fêtes), l'escalier d'honneur et la salle du Conseil de Paris[27].

Il est aussi ouvert lors des Journées européennes du patrimoine.

Notes et références

Notes

  1. Selon les conventions typographiques en usage dans la présente encyclopédie en ligne quand, dans un texte, il est non ambigu qu'il s'agit bien de l’hôtel de ville de Paris.
  2. Voir l'article Chronologie de Paris.
  3. Baies dont l'allège est décorée d'une table renfoncée, ornée de cercles de moulures, surmontant des fenêtres de soupiraux.
  4. Niches entre deux pilastres ioniques au rez-de-chaussée, entre deux pilastres corinthiens au premier étage, et au deuxième étage entre deux colonnes corinthiennes engagées ornées de chutes de draperies sur le fût, au tiers de leur hauteur, et qui supportent un motif décoratif formé de deux consoles renversées avec écusson sommé d'une couronne murale.

Références

  1. Jean Favier, Le bourgeois de Paris au Moyen-Âge, Paris, Taillandier, , 667 p. (ISBN 978-2-84734-845-3), p. 94.
  2. Henri Stein, Boccador et l'Hôtel de ville de Paris, Société de l'Histoire de Paris, , 14 p..
  3. Pierre Casselle et Françoise Masson, L'Hôtel de ville de Paris, Imprimerie nationale, , p. 19.
  4. Louis Saurel, Histoire vivante de Paris, Agence Parisienne de Distribution, , p. 88.
  5. Cadastre de Paris par îlot (1810-1836), plan 34e quartier « Hôtel de Ville », îlots no 20 et 21, F/31/89/27.
  6. Gustave Cotteau et Victor Petit, Description de la vallée de l'Yonne : voyage neuvième, Auxerre, Annuaire de l'Yonne, , 23 (pp. 263-291) (lire en ligne), p. 282.
  7. Flotteurs - Un peu d'histoire sur lemorvandiaupat.free.fr.
  8. a b c et d « L'histoire de l'Hôtel de Ville en sept dates marquantes », paris.fr, 6 juillet 2020.
  9. Vue perspective d'un feu d'artifice tiré devant l'hôtel de ville pour la publication de la paix à Paris.
  10. Félix et Louis Lazare, Dictionnaire administratif et historique des rues de Paris et de ses monuments.
  11. Tableau d'H. Vernet, Versailles
  12. Alphonse Maréchal, Histoire de la Révolution de 1830 : Précédée de la fin de l'Histoire de la restauration de Dulaure, Degorce-Cadot, , 504 p. (lire en ligne), « Fin de la Restauration », p. 417.
  13. « Le décor disparu de l'Hôtel de Ville de Paris | Dossier de l'Art n° 176 », sur www.dossiers-art.com (consulté le ).
  14. « Fichier:Hôtel de Ville pavoisé - plébiscite novembre 1852.jpg — Wikipédia », sur commons.wikimedia.org (consulté le ).
  15. « Proclamation de l'Empire, Vive Napoléon III ! L'Élu de 7,824,189. Proclamation de l'Hôtel-de-ville. - Départ de S. M. de Saint-Cloud. -Entrée de l'Empereur à Paris. -Entrée aux Tuileries. - Proclamation de l'Empire sur la place de la Concorde. Les élections ont commencé sous les auspices les plus heureux [etc.] : [estampe] », sur Gallica (consulté le ).
  16. Carte d'invitation à la fête donnée par la Ville de Paris à l'Hôtel de Ville en l'honneur de la reine Victoria et du prince Albert le "Jeudi 23 Août 1855, à 8 h 1/2" (lire en ligne).
  17. Michel Winock, « La République est mal partie », L'Histoire no 469, mars 2020, pp. 46-53.
  18. « Vestiges de l’Hôtel de ville au Parc Monceau », breves-histoire.fr, consulté le .
  19. Alexandre Gady, « La porte de l'ancien Hôtel de Ville de Paris. Découverte et identification d'un vantail orné de bronzes de Perlan », Revue de l'Art, 1999, 125, pp. 38-43.
  20. Pia de Quatrebarbes, « Reconstruire un visage, c’est tellement d’émotion », humanite.fr, 25 avril 2019.
  21. Sarah Leduc et Linternaute.com, « Combat de l'Hôtel de Ville », sur www.linternaute.com (consulté le )
  22. Selon un article paru en 2021, l'appartement a été transformé en salons et en bureaux, et la crèche est installée un étage en dessous (Sophie de Ravinel, « Comment Anne Hidalgo construit ses équipes pour la présidentielle de 2022 », sur Le Figaro, (consulté le )).
  23. Marius Vachon, L'Hôtel de ville de Paris, 1535-1905, Plon-Nourrit, , p. 85.
  24. « Paris : des capteurs pour mieux chauffer l'hôtel de ville », lemoniteur.fr, 17 mars 2023.
  25. a b et c Visite virtuelle de l'Hôtel de Ville, mairie de Paris.
  26. Lucien Lambeau, L'Hôtel de ville de Paris, Renouard, collection « Les Richesses d'art de la ville de Paris », 1908, p. 129.
  27. « L'Hôtel de Ville : visites, expositions, location des salons », sur paris.fr.

Voir aussi

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Bibliographie

  • Victor Calliat, L’Hôtel de Ville de Paris, mesuré, dessiné, gravé et publié par Victor Calliat, Carilian-Goeury et V. Dalmont, Paris, 1844.
  • Antoine Jean Victor Le Roux de Lincy, Histoire de l'hôtel de ville de Paris, suivie d'un essai sur l'ancien gouvernement municipal de cette ville, chez J. B. Dumoulin, Paris, 1846 (lire en ligne).
  • Marius Vachon, L'ancien hôtel de ville de Paris, 1533-1871, A. Quantin imprimeir-éditeur, Paris, 1882 (lire en ligne).
  • Préfecture du département de la Seine. Direction des travaux, « Hôtel de ville », dans Inventaire général des œuvres d'art appartenant à la Ville de Paris dressé par le service des beaux-arts, t. 2 Édifices civils, Paris, Imprimerie centrale des chemins de fer A. Chaix et Cie, (lire en ligne), p. 7-118
  • Marius Vachon, Le nouvel hôtel de ville de Paris, 1872-1900, Édition du Conseil municipal, Paris, 1900 (lire en ligne).
  • Lucien Lambeau, L'Hôtel de ville de Paris, Paris, Imp. par l'École Estienne, 1908 ((lire en ligne).
  • Pierre Casselle et Françoise Masson, L'Hôtel de ville de Paris, Imprimerie nationale, .
  • Sandra Rude, L'Hôtel de ville de Paris, Éditions du Chêne, .
  • Flaminia Bardati, « Le projet de Domenico da Cortona pour l’hôtel de ville de Paris », dans sous la direction d'Alain Salmagne, Hôtels de ville. Architecture publique à la Renaissance, Presses universitaires François-Rabelais, Presses universitaires de Rennes, Tours, 2015, p. 307-318, (ISBN 978-2-86906390-7) (lire en ligne).
  • Alexandre Maral, « Les médaillons de l'Hôtel de Ville de Paris. Dessins inédits du musée franco-américain du château de Blérancourt », La Revue des Musées de France - Revue du Louvre, no 4,‎ , p. 39-45

Articles connexes

Liens externes

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