À partir de 1968, il travaille au sein de la Chambre de commerce et d'industrie de Berlin-Ouest. Il renonce à cet emploi onze ans plus tard et intègre le département d'Économie du gouvernement régional jusqu'en 1985.
Il est ensuite engagé par Citibank. Il est tout d'abord employé à New York, entre avril et , puis en prend la présidence à Francfort-sur-le-Main jusqu'en . Dès le mois suivant, il rentre au comité directeur de la Treuhandantsalt, chargée de la privatisation des biens de la RDA, à Berlin.
En 1980, il adhère au Parti libéral-démocrate (FDP). Il en est désigné vice-président à Berlin-Ouest trois ans plus tard et ce jusqu'en 1987. Il retrouve ce poste entre 1989 et 1994. Il intègre le comité directeur fédéral en 1990, et la présidence fédérale en 1993.
Il devient président du FDP de Berlin en 1994 pour un an, puis de nouveau de 2000 à 2004. À partir de 2001, il cumule ce poste avec celui de trésorier fédéral. À ce titre, il a enquêté sur « l'affaire du tract », une affaire mettant en cause un vice-président du parti, Jürgen Möllemann, à propos d'un tract jugé antisémite.
À Berlin
Il est nommé secrétaire d'État au département de l'Économie de Berlin-Ouest en 1982, puis sénateur (ministre régional) pour les Finances trois ans plus tard. Il doit renoncer à ce poste en 1989 avec l'arrivée au pouvoir d'une coalition rouge-verte.
Il critique en 1994 les « entraves à la création d’emplois » que contiendrait la législation européenne et se prononce pour une plus forte libéralisation du marché du travail[1].
Le , il se présente comme chef de file (« spitzenkandidat ») du FDP aux élections régionales, mais son parti ne franchit même pas la barre des 5 % requis pour siéger à la Abgeordentenhaus. Il retente sa chance aux élections anticipées du et obtient 9,9 % des suffrages, ce qui est insuffisant pour former une coalition noire-jaune avec l'Union chrétienne-démocrate d'Allemagne (CDU) et ses 23 %.